Jacques DYKENS
by on 1 July, 14:54 pm
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"Pasteur est un imposteur par plagiat"

Ma démarche n'est pas de chercher à convaincre qui que ce soit, mais d'amener chacun à la rflexion, à l'ouverture d'esprit, à ne pas pratiquer la paresse intellectuelle qui conduit l'humain au mimétisme aveugle, à la peur et à sa propre destruction par ignorance.
Il est temps d'arrêter le mensonge Pasteurien, de big pharma, et de mettre un terme définitif au bal des hypocrites.

Sur le plan santé, il est important de comprendre le fonctionnement de notre système immunitaire et à ce sujet, il est nécessaire de se référer aux Travaux de BECHAMP - TISSOT - BERLINGER - Docteur Yrène GROSJEAN...(et tant d'autres qui prônent la médecine naturelle et une bonne hygiène alimentaire comme une bonne hygiène de vie).

Trente ans avant l'instauration de l'idée du monomorphisme, le microbiologiste Antoine Béchamp, docteur ès-Sciences, docteur en médecine, en chimie, et en pharmacie, découvrait, à la suite de travaux expérimentaux et d'observations minutieuses, que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d'évoluer pour former des bactéries qui continuent à vivre après la mort de la cellule dont elles proviennent.
Béchamp appela ces petits éléments autonomes, des "mycrozimas".

Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains, s'opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant les milieux scientifiques de l'époque.

Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme et provenant TOUJOURS de l'extérieur de l'organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile (ce qui est totalement faux bien entendu).

Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles dus à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des propriétés de putréfaction et de fermentation, ce qui est en effet la réalité.

Pasteur, qui était chimiste, n'avait pas compris l'importance capitale du milieu et de la bonne santé d'un organisme comme élément essentiel de résistance à la maladie.

Indifférent à l'ambition personnelle, Antoine Béchamp était modeste et confiant, sincère et enthousiaste, pénétré de l'idée du devoir, de la recherche et de la vérité et de la nécessité de la dire. Il négligera toujours toute publicité, et ne fera aucun effort pour rechercher des relations influentes.

Pasteur lui, était un homme médiatique, arriviste et sans scrupule, génie de la publicité et des relations publiques.

En 1900, Béchamp s'était un jour indigné en ces termes : "Je suis le précurseur de Pasteur comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie"...

Pourtant, Pasteur n'a jamais reconnu la pertinence des travaux de son rival. Pasteur était un imposteur attiré par la gloire et l'argent, pas par l'humain, et certainement pas à sa santé.

Si l'on veut enrayer le mal, ce n'est pas vers la maladie qu'il convient de pointer le doigt, mais bien vers les agents propagateurs de la maladie.

La thérapeutique se doit d'être énergétique, informationnelle, fonctionnelle et régulatrice. Elle ne doit jamais refouler le symptôme, mais permettre à l'organisme de le dépasser. Elle doit aider la vie, et non s'y opposer, elle ne doit pas être "anti-biotique", anti-vie...!

Figure emblématique, Pasteur est encore considéré en France et à l’étranger comme le père de la médecine scientifique moderne.Pourtant, il n'était ni plus ni moins qu'un usurpateur qui a passé sa vie à plagier les autres.
Non, il n'a pas inventé le vaccin contre la rage, ni la pasteurisation. Il n'a jamais sauvé des millions de vies non plus.
Pasteur fut un chercheur, mais très incompétent, et nombre de ses découvertes sont entachées d’irrégularités : chiffres faussés, vol des travaux de ses prédécesseurs...
Comment et pourquoi de tels actes ont-ils pu être possibles ?
Pasteur s’est appuyé sur les travaux de Béchamp, de Berthelot ou même de ses collaborateurs qu’il a rarement cités, et s'est arrangé pour que la médecine qui guérit soit remplacée par celle qui enrichit, qui rapporte gros. Pour lui, un malade guéri ne rapporte rien.
En 1878, Pasteur niait farouchement l’existence des enzymes, contre l’avis de Marcellin Berthelot, Claude Bernard et Antoine Béchamp.
Büchner aura le Prix Nobel en 1907 pour cette découverte de Béchamp.
1854 : Antoine Béchamp prouve que les fermentations sont dues à des organismes vivants microscopiques.
1865 : Pasteur s’occupe de la maladie du ver à soie. Or en 1854, Béchamp avait déjà découvert les origines de la maladie.
1867 : Béchamp communique à l’Académie des Sciences la nature parasitaire de la maladie du ver à soie et les moyens de l’éradiquer.
1867 : Lester, chirurgien anglais, invente l’antisepsie. Sa découverte reste peu connue mais sera reprise plus tard par Pasteur.
1868 : Sans citer Béchamp, Pasteur s’attribue la découverte de la maladie du ver à soie, découverte qu’il dédie à l’Impératrice Eugénie.
1879 : Galtier pose les principes de la vaccination contre la rage.
1880 : Toussaint invente le premier vaccin contre le charbon.
1881 : A Pouilly-le Fort, devant des médecins et des journalistes, Pasteur fait croire qu’il est l’inventeur du vaccin contre le charbon.
2 juin 1885 : Pasteur injecte le vaccin de la rage à un enfant de 11 ans qui meurt le lendemain. D’autres essais seront des échecs : les enfants meurent. La mort est attribuée à la rage, ce qui n’est pas prouvé.
1886 : Un enfant vacciné meurt suite à la vaccination. Le père porte plainte. L’autopsie confirme que c’est le vaccin qui l’a tué. Mais une contre-expertise mensongère pour sauver “l’évolution de la science” blanchit Pasteur.
1887 : Fondation de l’Institut Pasteur sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie.
Parmi les expériences publiques mises en scènes par Pasteur, celle de Pouilly-le-Fort, en 1881, est caractéristique des méthodes employées par le grand homme. La presse, de nombreux médecins, des vétérinaires et des hommes politiques sont invités à une séance de vaccination sur 2 groupes de vaches. Le premier groupe est vacciné contre le charbon. Le second ne l’est pas. Tous les animaux reçoivent ensuite une inoculation de la maladie. Quelques jours plus tard la différence est nette : les animaux du premier groupe survivent, pas ceux du second. C’est la grande victoire de Pasteur, la preuve de son génie.
Sauf qu’il s’agit d’un vaccin «emprunté» à Toussaint (qui ne fait pas partie de l’équipe de Pasteur) et amélioré par Roux et Chamberland qui, eux, font partie de son équipe. Certains que le vaccin mis au point par Pasteur serait un échec et devant la peur du ridicule, Roux et Chamberland avaient réussi à imposer cette tricherie. Aujourd’hui, Toussaint est oublié et, dans les documents d’histoire, sa découverte n’existe que rapportée au «vaccin» de Chamberland et de Pasteur.
Voila sur quoi fut fondée la "renommée" de cet escroc de Louis Pasteur.

Le gros problème avec la médecine moderne, c'est que les études de médecine n’apprennent pas à faire l’anamnèse, le diagnostic, le pronostic et le traitement mais à utiliser le Vidal pour éliminer un symptôme tout en en créant d’autres.
J'aimerais préciser que ce sont les Rockefeller qui ont crée les facultés de médecine telles qu’on les connaît aujourd’hui, et que la majorité des médocs autorisés sont basés sur la pétrochimie, c'est-à-dire, sur les résidus de pétrole de cette famille. 

"Tant que l'on se trouve dans le domaine des maladies fonctionnelles, c'est-à-dire tant que les tissus n'ont pas été trop sévèrement détruits par le processus pathologique, il est toujours possible et souhaitable d'agir par une méthode thérapeutique non agressive, respectant les fonctions physiologiques de l'organisme".

Toute thérapie visant à redonner à l'organisme la possibilité de retrouver ses propres capacités défensives considérera tout d'abord l'homme dans son ensemble, et son équilibre général, avant le symptôme.
L'accent repose sur des traitements individualisés, spécifiques, adaptés à chaque cas, et sur l'hygiène générale. Les moyens mis en oeuvre doivent réconcilier l'homme avec lui-même, lui faire prendre conscience de ses erreurs, le purifier, et régulariser ses fonctions par une alimentation saine et une médecine douce.

Hippocrate, le père de la médecine aurait dit au malade, il y a plus de deux mille ans, que l'aliment soit ton seul remède ! et demandé au médecin : De le guérir sans nuire !

Deux éléments que tous les médecins semblent ignorer (volontairement).

"Nous savons tous que si l'on avait donné que de l'herbe et du foin aux vaches, ces pauvres bêtes, au demeurant herbivores, n'auraient été ni malades et encore moins folles. Exactement comme si nous avions toujours mangé la nourriture que la nature a prévue pour notre système digestif, au lieu de faire de notre vie, l'enfer de souffrances, de misères, de guerres et de maladies que nous en avons fait, nous en aurions fait le paradis de santé et de bien-être auquel nous rêvons tous et pour lequel la nature nous a tout donné !

Alors que la plupart des humains sont clairement des omnivores par leur comportements, la question demeure de savoir si les humains sont anatomiquement adaptés à un tel régime incluant animaux et végétaux.

Il est important que chacun comprenne que lesystème digestif de l'être humain n'est pas conçu pour être carnivore (nouriture morte), mais bien frugivore, végétarien (nouriture vivante).  

 

L’appareil digestif humain comprend les particularités anatomiques d’un régime herbivore. Les êtres humains ont les lèvres musculeuses et une petite ouverture de la bouche. Bon nombre des soi-disant « muscles d’expression » sont en fait des muscles utilisés lors de la mastication. La langue agile et musclée, essentielle pour manger, est adaptée à la parole et à bien d’autres choses. L’articulation maxillaire inférieure, aplatie par une plaque cartilagineuse, est située bien au-dessus du plan des dents. Le muscle temporal est réduit . La caractéristique « mâchoire carrée » des mâles adultes traduit le processus combiné angle élargi de la mâchoire inférieure et du groupe de muscles masséter / ptérygoïde. La mâchoire inférieure humaine peut aller de l’avant pour engager les incisives, et aller d’un côté à l’autre pour écraser et broyer.

 Les dents de l’homme sont également semblables à celles des autres herbivores, à l’exception des canines (des canines de certains des grands singes sont allongées et sont considérées comme utilisées pour dissuader et / ou de défendre). Nos dents sont assez grandes et généralement butent les unes contre les autres. Les incisives sont bien à plat et de type bêche, utiles pour éplucher,couper et mordre des matériaux relativement tendres. Les canines ne sont ni dentelées, ni coniques, mais aplaties, émoussées et petites et fonctionnent comme des incisives. Les prémolaires et les molaires sont carrées, aplaties et nodulaires, et utilisées pour le broyage, et la trituration d’aliments plutôt mous.

La salive humaine contient une enzyme digestive glucidique, l’amylase salivaire. Cette enzyme est responsable de la majorité de la digestion de l’amidon. L’œsophage est étroit et adapté à de petites portions molles d’aliments mâchés. Manger vite, en essayant d’avaler une grande quantité de nourriture ou d’aliment fibreux et / ou mal mastiqués (la viande est la cause la plus fréquente) se traduit souvent par un étouffement chez les humains.

 L’estomac de l’homme est à poche unique, et modérément acide – Médicalement, quand une personne se présente avec un pH gastrique inférieur à 4-5 et qu’il y a des aliments dans l’estomac, c’est une cause de préoccupation – Le volume de l’estomac représente environ 21-27% du volume total de l’appareil digestif humain. L’estomac constitue une chambre de mélange et de stockage, mélangeant et liquéfiant les aliments ingérés, il régule leur entrée dans l’intestin grêle. L’intestin grêle humain est long, avec une moyenne de 10 à 11 fois la longueur du corps. (La taille moyenne de l’intestin grêle est de 6,6 à 9 m. La taille du corps humain mesurée à partir du sommet de la tête à la fin de la colonne vertébrale et en moyenne de 60 à 90 cm chez les individus de taille normale.)

 Le côlon humain illustre la structure à poche propre aux herbivores. Le gros intestin extensible est plus grand dans la partie proche de l’intestin grêle, et il est relativement long. Le côlon de l’homme est responsable de l’absorption par électrolyse de l’eau et de la production et de l’absorption des vitamines . Il existe également une fermentation bactérienne de matières végétales fibreuses,avec production et absorption de quantités importantes d’énergie alimentaire (chaîne courte d’acides gras volatiles) selon la teneur en fibres du régime alimentaire. La mesure du déroulement de la fermentation et de l’absorption des métabolites dans le côlon humain n’a commencé à être étudiée que récemment.

Les êtres humains sont donc bel et bien dotés d’un appareil digestif résolument herbivore. Il ne possède pas les caractéristiques structurelles mixtes attendues et trouvées chez les omnivores anatomiques, comme les ours et les ratons laveurs. Ainsi, en comparant l’appareil gastro-intestinal des humains à celui des carnivores, herbivores et les omnivores, nous devons conclure que l’appareil digestif des humains est conçu pour un régime alimentaire purement végétal.

Venons en à présent au système "immunitaire".

L'élimination d'un type de micro-organisme ne fait que créer une niche pour d'autres agents pathogènesLa science réductionniste (Big pharma) ne se soucie que des nuisibles et non de leur écologie. La seule solution qui convienne à la fois à cette science et à l'industrie des pesticides (Monsanto) est la production et la vente de poisons pour éliminer ce qu'elles considèrent comme étant des "nuisibles".

René Dubos écrivait encore à juste titre: dans son livre Mirage of Health :

"Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d'infortunées victimes chaque année. Mais ce qu'il y a d'extraordinaire c'est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite sans souffrir de la maladies [et on peut le dire analogiquement pour tous les autres virus ou bactéries].

Les "virus" et les bactéries ne sont pas les causes des maladies.

"Malgré les travaux de Béchamp, la grande majorité des microbiologistes actuels sont influencés par les "travaux" de Pasteur, et la doctrine du monomorphisme microbien est celle qui domine encore la pensée scientifique de la bactériologie moderne."

Béchamp découvrit l’élément primordial de la cellule vivante, le "microzyma" (redécouvert actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE)  : celui-ci pouvait devenir bactérie ou "virus" d’où le polymorphisme bactérien. Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine vers la phobie du microbe et la négligence du terrain. Considérez que le microbe n’est qu’une semence qui ne développera qu’au pro rata de ce que le terrain le lui permet !

« La science est la nouvelle religion, et le désinfectant, son eau bénite »  disait George Bernard Shaw.

On pourrait compléter par : "Impuissante à guérir, elle crée un nouveau dogme : le génome, détenteur du programme vital."

N.B. de Baudouin Labrique : les bactéries qui font partie des microbes sont la première trace de vie présente au fond des océans et sont donc à l’origine de ce que nous sommes. Elles sont responsables de 90 % des réactions chimiques.  Nous avons plus de 1000 milliards de microbes par m² de peau et se serrant la main, 34 millions de microbes passent d'une personne à l'autre ! Les microbes sont des milliards a être en chacun de nous sans que nous ne soyons pour autant malades  et de plus, ils sont partout. C’est ce qui explique la présence de "porteurs sains" de tous les microbes.   Les microbes ne s'activent en maladies que sur ordre du cerveau et que s'il y a un programme psychique sous-jacent. Ils n'interviennent seulement que dans la seconde phase (réparation) des maladies.
 

"La science matérialiste traque et tue sans relâche des « agresseurs » imaginaires qui ne sont autres que les constituants naturels de l’organisme dont la stéréochimie a changé, alors qu’ils ne sont que les témoins du terrain  des individus ! Après les bactéries, microbes et autres "virus" qui sont des constituants normaux de la cellule, voici que l’on invente la chasse au PRION ! Si l’on voulait bien chercher, une multitude d’autres constituants cellulaires seraient de bons candidats à se replier différemment ! L’escalade est loin d'être terminée !

 Combien de temps supporterons-nous encore des nuées de chercheurs dûment subventionnés pour injecter à qui mieux-mieux des cellules cancérisées ou des prions dans le foie, la rate, les ovaires, les testicules ou le cerveau d’animaux martyrs ? Comme si le fait de consommer des protéines ou de les injecter dans le cerveau était la même chose au niveau des résultats obtenus ! Et on laisse faire cela au nom de «  La Science » ?

 Les «  épidémies » ne frappent que des gens ou des animaux fragilisés et s’arrêtent spontanément sans la moindre intervention médicale. D’autant mieux, d’ailleurs, qu’il n’y a pas d’intervention médicale. Les autorités, conseillées par des «  experts » (ces savants de l’ignorance selon la revue Marianne) continuent à nous imposer les vaccinations — acte anti-scientifique s’il en est — faisant preuve de l’inculture et de l’irresponsabilité du corps médical qui, depuis Pasteur, répète sans jamais les remettre en question des dogmes éculés, depuis longtemps rejetés par nos voisins européens par le danger qu’ils représentent ! "

Il est assez interpellant de constater que dans des pays comme la Norvège ou la vaccination n'est pas obligatoire (depuis 1995), il n'y a pas plus de malades que là où elle est obligatoire ! Accrochez-vous ! Pour la Norvège : "Globalement, un état de santé meilleur que celui des autres pays européens, à l’exception des maladies cardiovasculaires pour lesquelles la Norvège est mal placée. C’est probablement lié à des questions de nutrition."  Si cela n'est pas en soi un désaveu de la prétendue efficacité des vaccins comme légitimement d'un aveu de sa nocivité, que les partisans de la vaccination à tous crins m'expliquent alors cela !

VACCINS ET VACCINATIONS -  LES VACCINS CATASTROPHES : 

Ce dossier a été constitué à partir d’extraits d’un texte de Jean-Pierre JOSEPH, écrivain sur www.mais-alors-on-nous-aurait-menti.org, du site www. arsitra.org (texte de Sylvie Simon) et du site http://www.ass-ahimsa.net/vaccins.html Les vaccins sont-ils réellement un progrès de santé sociale ou sont-ils un paravent derrière lequel se retranche patients pour calmer leurs angoisses de tomber malade et faire « comme tout le monde » et les médecins pour calmer, eux aussi, leurs angoisses de voir tomber malades leur patients et/ou pour faire comme « l’omerta médicale » le leur impose. Ce sujet est tellement vaste que je crains de l’aborder sur quelques pages seulement. Il nous concerne tous et nous affecte très différemment selon notre culture, notre éducation, notre formalisme, notre évolution personnelle, notre parcours médical, les influences familiales et professionnelles par exemple. L’acceptation, la « demi-acceptation/demi-refus » (on en accepte un exceptionnellement) ou le refus plus ou moins catégorique de l’acte vaccinal en dépendra. Dans tous les cas, chaque fois que nous accepterons que le médecin officie avec sa seringue emplie de la saumure chimique vaccinale, nous en subirons personnellement les conséquences. Les vaccins nous sont présentés comme « obligatoires » et la solution idéale même si, légalement, aucune vaccination n’est obligatoire en dans toute la CEE (sauf la France).

Etudions-les un peu. EFFICACES?

En fait, ils sont inefficaces, nous rendent malades (parfois très gravement) et détruisent notresystme de défense naturel ainsi que la qualité de notre vie quotidienne. Mais alors on nous aurait menti ?

• Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d'enfants vaccinés contre la coqueluche

• Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant « correctement vaccinées »

• En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. …

• Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas Or, il semblerait que l'arrêt des épidémies n'ait rien à voir avec les campagnes de vaccination. Nombre de graphiques démontrent à l'évidence que le nombre de décès causés par les maladies infectieuses avait déjà commencé à diminuer avant que les vaccinations ne deviennent disponibles.

La diphtérie a disparu en même temps dans les pays qui vaccinaient et dans ceux qui ne vaccinaient pas. En Suède, cette maladie a disparu sans aucune vaccination de masse. Selon certaines données épidémiologiques, la poliomyélite a disparu en Europe pendant les années 40 et 50 et ce, sans vaccination de masse. Quand les campagnes de vaccinations ont été implantées, le niveau était déjà rendu très bas grâce à une alimentation plus saine, des logements plus salubres, une meilleure hygiène, un statut social plus valorisant, etc.

Voilà plus de 50 ans, que des médecins, biologistes, scientifiques du monde entier tentent d'alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins et semblent dire aujourd'hui :

• Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces

• Qu'ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques, myopathies, autisme, allergies, etc.

• Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu'il sont censés prévenir !

• Que l'on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuse, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies.

L’illustre Claude Bernard (1813-1878) apparaît comme le moteur d'une nouvelle vision globale de l'être humain, une unité fonctionnelle où la notion de terrain devient essentielle. Après de nombreuses recherches sur les phénomènes digestifs, puis neurologiques, on lui doit le concept fondamental de milieu intérieur qui remplace celui d'humeurs (notion hippocratique) des classiques. Henri Bergson parle de lui en le comparant à un nouveau Descartes de la médecine, même Si la conception néo-humoriste de Bernard choquait nombre de praticiens. La querelle va bon train lorsqu'il concède: « En dernière analyse, je me dois de reconnaître un principe directeur qui échappe aux investigations rationnelles de la science. » La primauté du terrain sur l’agent infectieux est évidente pour lui et il s’illustre par la formule devenue célèbre « le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Ce terrain est en permanente autorégulation grâce à l’homéostasie. Claude Bernard est le père de la méthode expérimentale qui supplante l’empirisme de la simple observation. Il suppose aussi que la maladie pourrait n’être qu’une intention de se guérir et souligne les relations entre psyché et soma (le corps).

 

Parlons aussi de FIBROMYALGIE OU MYOFASCIITE À MACROPHAGES.

Les symptômes sont exactement les mêmes que ceux de la Fibromyalgie et le Syndrome de Fatigue Chronique !

La MFM est caractérisée cliniquement par des myalgies diffuses prédominant aux membres inférieurs, des arthralgies des grosses articulations, une asthénie et parfois une fièvre.

La Myofasciite à Macrophages touche les patients vaccinés par certains vaccins contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la lésion provoquée par l’aluminium est encore visible trois ans après la vaccination et parfois huit ans après !

On décèle cette lésion au point d’injection du vaccin (deltoïde) en pratiquant une biopsie musculaire. Malheureusement, il n’existe que 4 centres en France qui peuvent pratiquer cette biopsie (Paris, Créteil, Marseille et Bordeaux).

Il est important de savoir que la norme européenne pour le seuil d’aluminium à ne pas dépasser est de 15 mg/litre. Or, les dosages sur les vaccins peuvent être très au-delà (DTCP, HA, HB) = 650 à 1250 mg / litre ! 30 % des Myofasciites à Macrophages sont associées à une maladie auto-immune, le plus souvent une Sclérose en Plaques !

Les principales manifestations rapportées chez les patients présentant une myofasciite à macrophages sont :

des douleurs arthromusculaires diffuses, une fatigue invalidante répondant souvent aux critères internationaux du syndrome de fatigue chronique (SFC) des troubles cognitifs marqués d’allure organique, affectant typiquement la mémoire visuelle et la mémoire de travail, fréquemment associée à des anomalies de l’écoute dichotique.

Dans la mesure où, jusqu’à présent, la seule procédure admise pour en faire le diagnostic est la biopsie musculaire, il est vraisemblable que la prévalence de cette affection soit encore très sous-estimée…

D’autres manifestations neurologiques centrales, évocatrices d’une sclérose en plaque (SEP), peuvent être associées à la myofasciite dans une minorité de cas. Les manifestations cliniques des patients porteurs de myofasciite semblent apparentées : au déclin cognitif décrit chez les travailleurs exposés à l’aluminium inhalé ; au SFC et à la SEP, deux affections déjà associées dans la littérature à une surcharge de l’organisme en aluminium d’origine indéterminée ; au syndrome de la guerre du Golfe à l’origine duquel une surcharge aluminique d’origine vaccinale est fortement suspectée.

Résumé

Si la biopsie est le seul élément pathognomonique, les examens cliniques et biologiques permettent de distinguer objectivement la myofasciite à macrophages de la fibromyalgie et du syndrome de fatigue chronique idiopathique. Alors qu’attend-t-on pour enseigner cette nouvelle entité pathologique?

Pour rappel à tous les médecins :

Louis PASTEUR Dr ès science Agrégé de physique et de chimie Il a découvert la loi de polarisation des substances organiques (lévogyre, dextrogyre, racémique) Spécialiste génial en relations publiques et marketing publicitaire. Il a sauvé la France de la honte de la défaite militaire contre les Allemands par la dimension qu’il a su donner à ses prétendues découvertes scientifiques autour des vaccinations.

Antoine BÉCHAMP Agrégé en pharmacie Licencié ès sciences physiques Dr ès sciences physiques Professeur de physique et de toxicologie de l’École Supérieure de Pharmacie à Strasbourg Professeur de chimie médicale et de pharmacie à la Faculté de Médecine de Montpellier Doyen de la Faculté libre de Médecine et de Pharmacie de Lille Professeur de chimie organique et de chimie biologique à Lille, Antoine Béchamp découvrit l’élément primordial de la cellule vivante qu’il dénomma microzyma. Il démontra que celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus et en déduisit le polymorphisme bactérien. Il dénonça l’erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine vers la phobie du microbe et la négligence du terrain. Le pléomorphisme ou polymorphisme (du grec pléôn : plus abondant, et morphê : forme) est la capacité que possède un organisme (essentiellement les bactéries) de revêtir des formes différentes dans certaines conditions ou sous des influences déterminées.

AUCUN VACCIN N'EST EFFICACE. Il est important de le souligner.

Donc, si votre médecin vous propose un vaccin, vous savez à présent quoi lui dire. Au besoin, s'il insiste, demandez-lui de vous signer un doccument attestant sur son honneur, que les vaccins n'occasionnent aucun effets secondaires sur la santé, et qu'ils sont innoffensifs. (Chose qu'il ne fera jamais).

En cette période de pseudo pandémie et de pseudo virus, j'aimerais également vous informer sur le port du masque, qui réduit de 25% l'apport d'oxygène à votre organisme.

Je ne vais pas vous faire un cours complet d'anatomie, mais juste vous expliquer comment fonctionne le système respiratoire, pour que vous compreniez bien pourquoi cette obligation de porter le masque est dangereux pour l'organisme.

Comprenez bien que l'oxygène (l'AZOTE - l'air du dehors) est primordial pour la production d'énergie, puisque l'air extérieur apporte à votre organisme des molécules que l'on appelle : (ATP).
Sachez que plus votre organisme fournit de l'ATP à vos cellules, plus votre énergie vitale est importante.
Le O2, que vous inspirez, va donc permettre l'oxygénation de votre système respiratoire et sanguin.
Le O2 permet la vasodilatation (veines - artères) grâce à un un bon échange gazeux au niveau du système respiratoire, une bonne oxygénation du sang, et l'expulsion du dioxyde de carbone (déchets produits par les cellules qui contribuent au nettoyage de l'organisme (expulsion du dioxyde de carbone CO2).
Lorsque le corps n'est pas correctement oxygéné (appauvri en ATP - O2), cela produit un effet de constriction provoquée par l'impossibilité d'expulser le dioxyde de carbone CO2 et occasionne ainsi le rétrécissement des bronches - des veines - des artères), ce qui de fait provoque ce que l'on appelle : l'hypertension, les troubles cardiovasculaires et respiratoires.
Ce qui affaiblit par la même occasion tout votre système immunitaire et tout votre organisme..

Le port du masque, représente une barrière qui ne permet pas l'apport nécessaire en ATP à votre organisme, et provoque donc ce que l'on appel : l'HYPOXIE CELLULAIRE.

l'HYPOXIE CELLULAIRE. est une inadéquation entre les besoins tissulaires en oxygène. Elle peut être la conséquence de l'hypoxémie (diminution du taux d'oxygène dans le sang).

Qui plus est, il vous empêche d'évacuer correctement ce dioxyde de carbone (bactéries respiratoires CO2) qui reste bloqué entre votre masque, votre bouche et votre nez quand vous expirez, et que vous ré inspirez à chaque respiration.
Le port du masque produit également de l'humidité qui vient se coller à votre peau, et devient donc de fait un vivier pour les bactéries non évacuées. Vous êtes donc plus susceptibles d'attraper quelque chose à cause du masque.
Ceci dit, si vous avez la tête qui tourne, la migraine, que votre gorge et votre nez vous démangent, que vous toussez ou éternuez, que votre nez commence à couler, rassurez vous, ce n'est pas le COVID, c'est votre masque qui vous intoxique... A bon entendeur...!

Maintenant vous savez ce qu'il vous reste à faire ? Cessez d'avoir peur et de vous laisser manipuler par les médias, par les politiciens et surtout, par ces médecins qui feraient bien de reprendre quelques cours de vraie médecine, tous coupables et complices dans la création de la psychose que provoque la peur due à votre ignorance..

Les autres années, lors des périodes de grippes hivernales, il ne vous a jamais été demandé de porter de masque !
Et tous médecins qui se respectent vous diront qu'il n'a jamais été question de pandémie, mais bien d'épidémie de grippe saisonnière.
Comme je l'ai déjà souligné, notre meilleur médecin, c'est une alimentation saine, une bonne hygiène de vie. Si vous donnez de la merde à votre organisme, si vous l'empêchez d'être oxygéné correctement, ne vous étonnez pas qu'il vous lâche.

REVENONS EN AUX VACCINS.

VACCINS : AVEC QUOI SONT- ILS FABRIQUÉS?

Les vaccins sont composés de virus ou de bactéries. Par exemple, celui pour la coqueluche provenait à l'origine, du mucus de la gorge d'enfants atteints et celui de la typhoïde, de matière fécale décomposée de patients malades.

On retrouve aussi dans les vaccins différents produits chimiques, des antibiotiques, des stabilisateurs et des agents de conservation, des stabilisants spécifiques (chaque vaccin a le sien, du formol et d'autres additifs comme la gélatine hydrolysée à titre d'agent stabilisant, du phosphate d'aluminium, du tricrésol, des organochlorés, du phénylmercure, du phénol, du sorbitol, de la formaline et du thiomersal (sel de mercure), du sérum bovin ou foetal de veau ou d’autres animaux, du phénoxyéthanol, des cellules cancérisées et de l'hydroxyde d'aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, de l'albumine provenant de sang humain, de l'aspartame et des antibiotiques.

Rien d'étonnant à ce que ces cocktails vaccinaux aient de multiples effets secondaires: douleur au point d'injection, fièvre, courbatures, douleurs articulaires, crises d'asthme ou d'eczéma, allergies, choc anaphylactique, risque de mort subite du nourrisson, autisme, méningite, convulsions, encéphalite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose en plaque, diabète, lupus, polyarthrite rhumatoïde et cancers divers.

L'utilisation de vaccins multiples potentialise les risques d'effets secondaires de chaque vaccin et leurs interactions est « une bombe à retardement ».

Tous ces ingrédients sont toxiques, cancérigènes et allergènes. Ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et sont liés à l'apparition du SIDA qui je précise, n'est pas un virus, mais comme son nom l'indique : S= syndrome - I= immunitaire - D= déficiant - A= acquis. Donc, pour ^étre clair, un syndrome n'est pas un virus..

Les fabricants de vaccins argumentent que ces produits chimiques se retrouvent en petites quantités dans les vaccins et que leur innocuité fut testée sur des animaux de laboratoire, ce qui n'est pas pour nous rassurer.

Leurs effets toxiques, cumulatifs, leurs interactions entre eux et les virus ou microbes forment un imprévisible cocktail pour un bébé de petite taille comme pour un adulte.

Le mercure, un métal très toxique qui s'accumule dans le cerveau et les reins et peut causer des dommages importants au système nerveux. Il traverse le placenta pour atteindre le cerveau du foetus et contamine les nourrissons par le lait maternel).

Le thiomérsal, un sel composé d'éthylmercure et de thiosalicylate est un agent de conservation, un additif pour prévenir la contamination bactérienne et fongique (contient 49.6% de mercure ). Il fut introduit dans les vaccins dans les années 30 mais, suite à de nombreuses études sur ses effets secondaires graves, on tend à fabriquer des vaccins n'en contenant plus. Cependant, le thiomérosal se retrouve encore dans nombre de vaccins dont ceux contre l'hépatite B, la méningite et l'influenza. Ce dérivé mercuriel dans les vaccins est excessivement allergène, cancérigène et toxique car injecté directement dans le sang. Il s'accumule dans le cerveau et affaiblit le système respiratoire, digestif, nerveux et immunitaire.

Selon Hugh Fudenberg MD, un immunogénéticien de renommée mondiale, un individu ayant reçu 5 vaccins consécutifs contre la grippe, a l0 fois plus de chance d'avoir la maladie d'Alzheimer qu'un individu non vacciné. Ce phénomène s'explique par le fait, entre autre, que le vaccin contient du mercure ainsi que de l'aluminium et que son accumulation atteint les fonctions cognitives du cerveau. Les chercheurs Markesbery's et Ehmanns ont démontré, par des autopsies sur des patients souffrant de la maladie d'Alzeimer, que le cerveau de ces derniers contenait un taux plus élevé de mercure que ceux ne souffrant pas de la maladie. Cette accumulation de mercure dans les vaccins s'ajoute à celle contenue ailleurs, notamment dans les amalgames dentaires, l'alimentation et certains produits et médicaments comme les gouttes ophtalmiques, nasales, les solutions pour lentilles ophtalmiques ou les immunoglobulines.

En 2001, on retrouve du mercure dans les vaccins contre la méningite, l'hépatite B et la grippe. Il s'élimine difficilement de l'organisme. Dans un étude publiée en 1979, dans le British Medical Journal, 26 patients reçurent un sérum d'immunoglobulines contenant du thiomersal. 19 d'entre eux (soit 73%) virent leur taux de mercure augmenter, fait prouvé par des analyses d'urines.

ALUMINIUM

L'aluminium se retrouve dans la majorité des vaccins sous forme d’hydroxyde (forme soluble). Selon le concept vaccinal, l'aluminium sert d'adjuvant de l'immunité, en créant une réaction inflammatoire qui augmente la réaction antigène-anticorps. Il entre dans la composition de la majorité des vaccins.

On estime qu'un enfant, par les vaccins, reçoit jusqu'à 3.75 mg d'aluminium durant les premiers six mois de sa vie. La forte toxicité de l'aluminium est bien connue. Il cause des troubles neurologiques et immunitaires. Sa présence dans les vaccins est de plus en plus souvent mise en relation avec l'augmentation des allergies dans le monde.

Plusieurs médicaments renferment de l'aluminium. L'aspirine enrobée a 44 mg d'aluminium tout comme certains antiacides. Des médicaments contre la diarrhée ont plus de 600 mg d'aluminium par comprimé.

FORMALDÉHYDE 

Formaldhéyde et formol sont des synonymes. Ce produit précipite les solutions colloïdales Embryons dans les bocaux des musées par exemple) et les conservent indéfiniment. Il est cancérigène. La formaline (solution contenant 37% de formaldéhyde) inactive le virus dans les vaccins antipoliomyélitique, de la fièvre jaune et de la grippe. Il se retrouve aussi dans ceux de la diphtérie, du tétanos et du DiTePer (diphtérie, tétanos, coqueluche).

La toxicité du formaldéhyde (formol), du thiomersal et de l'aluminium est reconnue et dûment prouvée par de nombreuses études scientifiques.

 

SERUM DE VEAU OU D’AUTRES ANIMAUX

Le vaccin contre la rougeole est cultivé sur des embryons de poulets, tout comme celui de l'influenza (grippe), de la fièvre jaune et les oreillons, Ces embryons se forment entièrement après 35 heures d'incubation. On peut voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Les oiseaux proviennent d'immenses poulaillers contenant plus de l0’000 poules et près de 700 coqs.

Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, une compagnie pharmaceutique consomme l60’000 oeufs par semaine.

Le vaccin contre l'encéphalite est pour sa part cultivé dans des cerveaux de souris et des sous-produits de l'abattoir se retrouvent dans plusieurs étapes de fabrication des vaccins.

Ces sous-produits animaux dans les vaccins comportent un grand risque de contamination virale. Aucun laboratoire ne peut garantir l'asepsie des cellules animales servant à la culture vaccinale. Celui contre la grippe, par exemple, en plus d'être préparé dans un embryon animal, peut contenir un virus de la leucémie propre au poulet (leucose aviaire) et être transmis à l'humain vacciné. Il possède de plus des éléments provenant du cochon car une enzyme tirée de l'estomac de l'animal sépare les cellules en laboratoire. Une découverte par des chercheurs suisses et rapportée dans le Washington Post (9 décembre 1995) fait état d'une enzyme, la « transcriptase reverse », qui a contaminé des vaccins de la rougeole et des oreillons. Cette enzyme vient des embryons de poulet entrant dans la fabrication des vaccins. Elle a aussi contaminé des vaccins contre la grippe et la fièvre jaune. Cette enzyme est associée avec la présence de rétrovirus, une classe de virus qui peut modifier de façon permanente les gènes.

SERUM BOVIN

En octobre 2000, le Département de la Santé de Grande-Bretagne retirait du marché un vaccin polio oral cultivé sur du sérum foetal de veau suspecté d'être infecté par le prion de la maladie ESB ou maladie de la vache folle. Le vaccin donné à 11.5 millions d'enfants et d'adultes durant les deux dernières décennies a été préparé avec du sérum provenant de vaches anglaises peut-être contaminées. Au Canada, du sérum bovin est présent dans le vaccin antipoliomyélitique, ainsi que dans celui contre la rage, la varicelle et l'hépatite A.

Lié à l'élevage intensif et à l'horreur des abattoirs, le sérum bovin peut lui aussi être l'hôte de virus qui, lorsqu'ils entrent dans l'organisme humain, deviennent mutagènes. Le virus de la leucémie bovine (VLB) existe de façon endémique dans les troupeaux américains tout comme un virus génétiquement proche du H.I.V impliqué dans le SIDA humain. Ces virus peuvent se transmettent aux humains et provoquer des leucémies. Le Dr. Ryo Harasawa de l'Université de Tokyo au Japon, le Dr. Massimo Giangaspero de l'Université de Milan en Italie ainsi que nombre de leurs collègues d'Allemagne et de Belgique ont détecté le virus de la diarrhée bovine dans plusieurs vaccins (rubéole, influenza, rougeole, oreillons) produits en Europe, aux Etats-Unis et au Japon. Le sérum bovin est utilisé dans plusieurs étapes de la culture cellulaire en laboratoire. Dans le vaccin BCG, le bacille tuberculeux provient du bovin.

GÉLATINE

Dans un grand nombre de vaccins la gélatine a une fonction de stabilisateur. C'est un produit fabriqué à partir de débris d'abattoir tels que les cartilages, la peau et les os d'animaux. Prélevé sur des bovins ou des cochons mais aussi sur des moutons (en Australie). En Europe, la contamination de la gélatine par l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est évoquée et l'utilisation d'os en provenance de pays où un grand nombre de cas d'ESB a été signalé - comme le Royaume Uni et le Portugal - fut récemment interdite. La gélatine dans les vaccins est fortement allergène.

QUELQUES EFFETS SECONDAIRES?

La désinformation est bien orchestrée. Tous les vaccins, sans exception, ont des effets secondaires négatifs et les monographies fournit par les laboratoires pharmaceutiques les décrivent très bien. Cependant, après leur description, les fabricants émettent souvent la directive : « aucun lien de causalité n'a pu cependant être établie entre ces réactions et la vaccination ».

LE VACCIN CONTRE LE CANCER DU COL DE L'UTERUS 

Texte de Sylvie Simon communiqué sur http.www.arsitra.org « Il y a quelques mois, nous avons appris que le « nouveau vaccin contre le cancer du col de l'utérus était enfin en vente ». Il s’agissait déjà là d’un mensonge car il n’existe aucun vaccin contre les cancers, mais cette annonce très racoleuse venait des laboratoires dont le but inavoué est le racolage des profits plutôt que la santé des citoyens.

En vérité, il s’agit d’un vaccin contre le « papilloma virus » car les cancers du col sont parfois dû au HPV (Human Papilloma Virus), ce qui n'est pas la même chose. Le vaccin Gardasil®, fabriqué par manipulation génétique, a été mis au point par le laboratoire Merck, mais il est commercialisé en France par Sanofi Pasteur MSD. D’après les laboratoires, « le Gardasil® cible les papillomavirus de types 6, 11, 16 et 18 qui seraient responsables de 70 à 84 % des cas de cancers du col de l'utérus, 70 % des lésions précancéreuses, 50 % des lésions potentiellement précancéreuses du col de l'utérus, 80 % des lésions précancéreuses de la vulve et du vagin et 90 % des verrues génitales. »

Ces chiffres, fournis par le fabricant, ne relèvent d’aucune source indépendante et sont donc sujets à caution. D’autant qu’il existe plus de 30 virus HPV, parmi lesquels 13, considérés comme à « haut risque », peuvent donner le cancer. Il est exact qu’il existe une corrélation entre HPV à haut risque et cancer du col, mais 80 % des infections sont asymptomatiques et guérissent sans traitement. Dans ce cas, les lésions intra-épithéliales régressent spontanément, et l'HPV n'est plus détectable dans le col. La durée moyenne de l'infection localement détectable varie de 6 à 14 mois. Dans les 2 à 4 ans, seulement 15 % à 25 % des lésions cervicales épithéliales de bas grade évoluent vers le haut grade. Nous sommes loin des affirmations alarmantes du fabricant. En vérité, ce virus est très commun et se retrouve chez 80 % des hommes et des femmes. La plupart d’entre nous ont subi sa présence sans en avoir souffert et n’en sont surtout pas morts.

De toute manière, en 2000, le taux de mortalité par cancer du col de l’utérus a été de 3,3 femmes sur 100 000 aux États-Unis et de 4 sur 100 000 en Australie. Nous n’avons pas les chiffres français. Le taux de mortalité augmente avec l’âge, le plus grand nombre se situant entre 75 et 79 ans. Moins de 6 % des décès se produisent chez les femmes de moins de 35 ans. L’Institut national du cancer des Etats-Unis estime que la relation directe entre le virus et le cancer n’est pas du tout prouvée. Dans une étude officiellement contrôlée, 67 % des femmes ayant un cancer du col et 43 % de femmes sans cancer étaient positives au test HPV. Ces cancers sont en général observé seulement 20 à 50 ans après l’infection.

Mais nous savons à présent que le cancer est multifactoriel et qu’il dépend aussi bien de l’environnement et du style de vie que de l’hérédité. Les spécialistes estiment que 80 % des cancers sont causés par ce que nous buvons, mangeons, fumons, notre exposition aux radiations ou à des agents carcinogènes. En 1992, Peter Duesberg et Jody Schwartz, biologistes moléculaires à l’université de Berkeley en Californie, ont fait remarquer que les carcinogènes sont sans doute les responsables de la proliférations des cellules anormales et non le HPV.

«Etant donné que les cellules cancéreuses sont plus menacées d’infections que les cellules normales, les virus seraient plutôt les indicateurs que les causes des proliférations anormales.»

Aussi, comment pouvons-nous croire que le HPV est le principal responsable du cancer du col de l’utérus plutôt que tous les carcinogènes ? En outre, sommes-nous certains que le Gardasil® a été bien étudié et testé avant d’être introduit dans le corps des jeunes filles et peut-être des jeunes garçons ?

D’après le AHRP (The Alliance for Human Research Protection), c’est loin d’être le cas. Le vaccin n’a pas fait preuve d’innocuité ni d’efficacité au cours de ses essais cliniques. Certaines questions restent sans réponse. Combien de filles ont-elles participé aux essais et pendant combien de temps ont-elles été suivies ?

Déjà des accidents. Aux Etats-Unis, d’après le VAERS (National Vaccine Information Center), entre juillet 2006 et janvier 2007, à la suite de l’injection de ce vaccin chez des filles et garçons de 11 à 27 ans, il y a eu 82 rapports d’effets secondaires graves. Ces rapports viennent de 21 États. Plus de 60 % de ces manifestations se sont produites dans les 24 heures suivant la vaccination. Toutes les autres sauf trois sont advenues au cours de la semaine suivante.

Parmi ces effets secondaires, il faut citer des névralgies, gastro-entérites, appendicites, inflammations du pelvis, crises d’asthme, spasmes des bronches et arthrite. Cependant, il ne faut pas oublier que les effets rapportés au Vaers ne représentent, malheureusement, qu'un faible pourcentage des complications survenues car, le 2 juin 1993, la FDA avouait dans Jama (Journal of american of medecine) qu’une étude du CDC démontrait que : « Seulement 1 % des accidents graves » lui étaient rapportés. Le magazine Money de décembre 1996 a bien confirmé cet infime pourcentage.

En outre, le Gardasil® contient 225 mmc d’aluminium, et nous connaissons les effets délétères de l’aluminium sur le cerveau. Aussi, étant donné que le cancer du col de l’utérus est responsable de 1 % des décès par cancer chez les femmes, est-il raisonnable de vacciner les petites filles qui sont loin d’avoir l’âge des rapports sexuels avec un vaccin dont la sécurité et l’efficacité sont contestables ?

« Le vaccin a son efficacité maximale lorsqu'il est donné avant le premier contact avec le virus », a expliqué à l'AFP le Dr Yann Leocmach, du laboratoire Sanofi Pasteur MSD.

« Notre recommandation serait de vacciner les jeunes filles entre 11 et 12 ans et de faire un rattrapage pour les 13-26 ans ».

Le Dr Leocmach ne connaît évidemment pas la durée de l'efficacité du vaccin, car il n’existe que cinq ans de recul. Il est certain que des rappels seront nécessaires.

Pour le Pr. Patrice Lopes, président de la Société française de gynécologie, la cible prioritaire se situe entre 9 et 13 à 14 ans, même si les parents risquent d'être « réticents à l'idée que l'on parle de rapports sexuels ». À cet âge, il est normal que les parents soient réticents.

D’énormes intérêts financiers.

Aux Etats-Unis, la réponse est claire. Là-bas, le Gardasil® est commercialisé par Merck qui espère retirer au moins 2 milliards de dollars des ventes, surtout s’il devient obligatoire pour l’admission des enfants à l’école comme il en est fortement question aux EtatsUnis. Il a bien besoin de cette somme pour faire face aux nombreux procès intentés contre l’un de ces autres produit, le Vioxx® et compenser ainsi les pertes dues à ce médicament qui fut qualifié de « remarquable », tout comme ce nouveau vaccin actuel.

Le laboratoire a financé une campagne de promotion très agressive avec l’aide de lobbyistes professionnels et d’une organisation agréée par le gouvernement, Women in Government, un groupe de femmes législateurs. Déjà, 80 % des États ont demandé que ce vaccin soit exigé par les instances de santé officielles pour l’entrée à l’école, et une vingtaine d’États étudient les modalités de cette obligation.

Le Texas est allé encore plus loin dans le déni de démocratie. Le 2 février 2007, Rick Perry, gouverneur républicain du Texas, a donné l’ordre de vacciner toutes les jeunes filles de plus de 11 ans dans son État, au mépris des lois du Texas, des droits et de l’autorité parentale, et de l’éthique qui concerne une maladie uniquement transmissible par le sexe. Les enfants qui ont été désignés pour payer les dégâts du Vioxx® en sacrifiant leur santé nous rappellent les enfants immolés autrefois au nom des dieux par des civilisations qualifiées de « barbares » par la nôtre.

L’agence Associated Press a signalé que l’un des trois lobbyistes du laboratoire est Mike Toomey, ancien chef de l’équipe de Perry, actuellement dirigée par la républicaine Dianne White Delisi, qui est également responsable de Women in Government. Autrement dit, l’ancien collaborateur du gouverneur travaille actuellement pour Merck, la compagnie pharmaceutique qui a financé la campagne du gouverneur, lequel a profité de son pouvoir dictatorial pour exiger, sans aucun débat public préalable, la vaccination massive de très jeunes filles, avec un produit qui rapportera à Merck des dizaines de millions de dollars.

Les compagnies pharmaceutiques sont expertes dans l’art de déguiser leurs profits en initiatives altruistes de santé publiques, et il est probable que peu de gens se rendront compte que Merck gagnera des sommes scandaleuses grâce à ces manigances. Merck a versé 6 000 dollars au gouverneur Perry pour sa campagne de réélection, mais récoltera environ un milliard de dollars par an pour ses seules ventes aux Etats-Unis. Ce qui se produit en ce moment au Texas est une forme de tyrannie médicale, et n’est que le début d’une bataille monumentale entre les droits des citoyens et le contrôle des États.

En France, le Gardasil® est commercialisé au prix conseillé de 145,94 euros la dose — trois doses sont nécessaires — et ne sera pas remboursé pour l’instant. Mais vous pouvez faire confiance au laboratoire pour obtenir le remboursement dans un délai « raisonnable ». On parle déjà du premier trimestre 2007, après un examen par la Commission de la Transparence, de la Haute Autorité de Santé (HAS). Mais soyons rassurés car l'AFSSAPS rappelle que tout effet indésirable grave ou inattendu doit obligatoirement être immédiatement déclaré par les professionnels de santé aux centres de pharmacovigilance, mais nous savons combien les médecins sont réticents pour déclarer tout effet indésirable concernant les vaccins.

Espérons que les petites filles ne paieront pas un lourd tribut à ce vaccin à cause de la peur instillée sournoisement chez leur mère, comme ce fut le cas pour le vaccin contre l’hépatite B, lui aussi vaccin génétique. Nous ne pouvons qu’être inquiets depuis que, le 11 janvier 2007, les députés ont adopté en première lecture le texte suivant : « Le refus de se soumettre ou de soumettre ceux sur lesquels on exerce l'autorité parentale ou dont on assure la tutelle aux obligations de vaccination prévues aux articles L.3111-2, L.3111-3 et L. 3112-1 ou d'en entraver l'exécution est puni de 6 mois d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende ». Fort heureusement, la France est l’exemple même de la liberté. On frémit à l’idée que nous pourrions être une dictature ! ». Sylvie Simon.

Le Vaccin contre la grippe.

Le vaccin pour la grippe, répété chaque année et donné massivement aux personnes âgées, peut entraîner des réactions de type allergique comme l'urticaire, l'angio-oedème, l'asthme allergique, des maladies neurologiques notamment la paralysie faciale, l'encéphalite, l'encéphalopathie, des troubles de démyélinisation, la labyrinthite et le syndrome de Guillain-Barré. Et c’est sans compter l’important pourcentage de personnes vaccinées développant l’affection grippale de manière chronique ou récidivante ou des troubles bronchitiques chroniques pouvant aller jusqu’à la pneumonie. La grippe et grippe aviaire ne sont pas liés. "Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même". Dr William Frosehaver.

HÉPATITE 

Le vaccin de l'hépatite B pourrait être à l'origine, chez l'adulte, d'une augmentation de troubles neurologiques conduisant à la sclérose en plaques, une maladie grave et invalidante. En France, plus de 300 cas de démyélinisations aiguës imputables au vaccin ont été recensés, parmi eux un petit nombre d'adolescents. (Le vaccin lèse la myéline, la gaine des nerfs et cette dégénérescence est le premier symptôme de la sclérose en plaques). Un nombre impressionnant d'articles publiés dans des revues scientifiques font état de sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre l'hépatite B : nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré, névrite optique, conjonctivite, troubles de la vision. Ainsi que des cas d'arthrite, de rhumatisme, de problèmes de foie, d'asthme et même des décès. Le Pr. Barthelow Classen, connu pour ses travaux sur le diabète de type l, croit qu'il existe un lien entre la vaccination, particulièrement celle de l'hépatite B et le diabète insulino-dépendant. Dans le New Zealand Medical Journal (mai 1996) il constatait une augmentation de 60% de diabète juvénile après une campagne de vaccination massive contre l'hépatite B entre 1988 et 1991. Le vaccin de l'hépatite B n'est pas le seul en cause dans cette relation diabète - vaccination. Classen a aussi découvert que l'incidence du diabète en Finlande était stable chez les enfants de moins de 4 ans jusqu'à ce que le gouvernement fasse des changements dans le calendrier vaccinal des enfants. En 1974, 130’000 enfants de 3 mois à 4 ans furent vaccinés contre l'hépatite B et la méningite (de type C). Puis on leur injecta le vaccin contre la coqueluche. Dans les années qui suivirent, il y eut une augmentation de 64% de cas de diabète de type 1 chez les enfants vaccinés. "La présence d'un oedème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent très peu de temps après une vaccination contre l'hépatite B est inquiétante... Les enfants en bas de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l'hépatite B que d'attraper la maladie". Jane Orient, médecin, directrice de L'Association des Médecins américains et des chirurgiens

DIPHTÉRIE - TETANOS - COQUELUCHE

Le vaccin contre la coqueluche (donné en même temps que ceux de la diphtérie et du tétanos aux enfants) aurait aussi un lien avec le diabète. Ce vaccin contient une toxine sécrétée par un microbe le Bordetella pertussis, une toxine décrite par certains comme un "poison virulent" et ayant un effet désastreux sur le pancréas. Il peut mener aussi à l'hypoglycémie: deux chercheurs allemands, Hennessen et Quast trouvèrent, en 1979, que sur 149 enfants ayant eu ce vaccin, 59 d'entre eux avaient développé des symptômes de l'hypoglycémie. Des cas de diabète juvénile sont survenus aussi après des vaccinations contre les oreillons et la rubéole. Le DiTePer (diphtérie, coqueluche et tétanos) et sa relation avec l'autisme s'affirme. Après la généralisation de ce vaccin et aussi de ceux contre la rougeole et l'hépatite B, on note une augmentation de l'autisme chez les enfants. Une étude menée par Ray Gallup constate une augmentation de plus de 300% de cas d'autisme entre 1992 et 1997 dans vingt-cinq états américains. De nombreux spécialistes croient de plus en plus que l'affaiblissement du système immunitaire constitue réellement un syndrome chez les personnes autistes, un trouble neuro-immunologique. Plus d'un tiers des enfants atteints présente un nombre réduit de lymphocyte T CD4 et T CD8, empêchant peut-être leur organisme de fabriquer les anticorps nécessaires pour combattre les virus provenant des vaccins. Le DCaT peut déclencher des crises d'épilepsie, des méningites et créer des encéphalites allergiques induisant à leur tour de l'autisme et autres troubles du comportement. "Les parents d'enfants autistes rapportent couramment des désordres immédiatement après l'inoculation avec le ROR (rougeole, rubéole et oreillons) et le DiTePer" a déclaré le Dr. Vijendra Singh, professeur d'immunologie. Ce dernier a publié dans le Clinical Immunology and Immunopathology (1998) une étude sur des enfants autistes qui mettait en évidence qu'une exposition au virus de la rougeole pouvait déclencher une réponse auto-immune interférant avec le développement de la myéline. On note la présence persistante du virus de la rougeole dans l'intestin des personnes autistes. Le Dr. Andrew Wakefield, directeur d'un groupe de recherche au Royal Free Hospital de l’école de médecine de Londres a publié dans le Lancet (journal médico-scientifique) de février 1998, une étude sur huit enfants qui furent atteints de graves affections intestinales puis devinrent autistes tout de suite après la vaccination RRO. En Allemagne, entre 1945 et 1950, il n’y a plu de vaccinations contre la diphtérie. C’est la période du désastre de l’après-guerre (famine, mauvaise hygiène, etc.). Pourtant la mortalité pour cause de diphtérie chute de 40 fois...

RUBÉOLE

Le vaccin contre la rubéole peut mener à l'arthrite rhumatoïde. Des recherches indiquent que 41% des femmes vaccinées ont développé des douleurs articulaires, 9% une arthrite transitoire et 5% une arthrite chronique. "J'appelle ça de la « vaccinomanie ». Nous sommes arrivés à un point qui n'est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité".

OREILLONS - RUBÉOLE - RUBÉOLE

Les parents d'enfants autistes rapportent couramment des désordres neurologiques immédiatement après l'inoculation avec le ROR (Rougeole, oreillons, rubéole) et le DiTePer (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche).

MÉNINGITE

La méningite bactérienne est provoquée, selon la médecine scientifique, par 3 germes: les méningocoques, les pneumocoques ( surtout responsables des pneumonies) et les haemophilus influenzae (type B/ Hib). Récemment au Québec, de nombreux cas de méningites ont fait leur apparition. L'affaiblissement du système immunitaire des enfants qui reçoivent des doses répétés de vaccins depuis leur naissance n'est sûrement pas étrangère à ce fait. Le vaccin contre le méningocoque, groupes A,C Y et W-l13 combinés, comporte des effets secondaires tels que céphalées, malaises,frissons et fièvre. Le vaccin pneumococcique peut provoquer un érythème et une induration au point d'injection, de la fièvre, des céphalées, un malaise général, des réactions de type allergique comme l'urticaire, l'odème angioneurotique ou une anaphylaxie ainsi que vasculite, éruption cutanée généralisée, arthrite, myalgie et divers troubles neurologiques y compris le syndrome de Guillain - Barré. Celui de l'haemophilus influenzae (type B/Hib) donné aux bébés de deux mois peut induire des crises convulsives, douleurs au point d'injection, irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée et infection des voies respiratoires supérieures. En septembre 2000, le journal Observer de Londres, suite à la découverte de documents secrets, faisait état de la mort de 11 personnes suite à une récente vaccination massive contre la méningite de type C. Le vaccin causa l6 500 réactions négatives et quand on sait que seulement de l0 à l5% de ces réactions sont rapportées au Ministère de la Santé,le nombre d'effets secondaires et de morts est fatalement beaucoup plus élevé. Deux des morts déclarés succombèrent à une "septicémie méningoccal", une infection du sang liée à la méningite. Le vaccin au lieu de protéger, leur donna plutôt la méningite. Plus de l3 millions de bébés, d'enfants et d'adultes ont reçu le vaccin, en Angleterre, durant l'année 1999/2000. On soupçonne même le fabricant du vaccin d'avoir délibérément caché les effets secondaires au grand public et ce avec la complicité de fonctionnaires gouvernementaux responsables de la campagne de vaccination. Deux de ces fonctionnaires faisaient partie du conseil d'administration du laboratoire pharmaceutique fabricant le vaccin.

Si la vaccination de masse protège et est aussi efficace contre les maladies, comme on veut nous le faire croire, pourquoi avoir peur des non-vaccinés ?

Les vaccinés transportant les virus restent bien plus une menace pour les non-vaccinés - comme c'est le cas pour le vaccin contre la polio - que le contraire. Malgré d'innombrables études scientifiques de spécialistes en allergie, en immunologie, en neurologie ainsi qu'en biochimie sur les dangers des vaccins, des pédiatres continuent d'affirmer que la vaccination n'affaiblit pas le système immunitaire, que les risques demeurent mineurs et que la malnutrition ou l'hygiène n'ont rien à voir avec la prévention des maladies. S'agit-il de mauvaise foi chronique ou d'une triste connivence avec les laboratoires pharmaceutiques ? Heureusement, de plus en plus de médecins intelligents dénoncent ce dogme vaccinal et osent le remettre en question.

Nombreux sont les médecins qui reconnaissent que toutes ces maladies contre lesquelles les enfants sont vaccinés étaient déjà en voie de disparition avant l'administration des vaccins. Plus grave encore, malgré qu'ils aient été entièrement immunisés, des enfants souffrent tout de même de la maladie, et que tous les vaccins affectent gravement notre système immunitaire, qu'ils possèdent une dangerosité certaine ouvrant la porte à diverses maladies invalidantes irréversibles.

Ne culpabilisez pas d'être antivax, vous avez bien plus de bon sens que les provax.

Le refus des vaccinations n’est pas un acte non-citoyen. C’est, au contraire, un acte de responsabilité citoyenne et de prise de conscience du fait que votre santé vous appartient. Un prise de conscience de votre individualité, le refus de l’endoctrinement et de l’asservissement à leur secte, le refus de « jouer à l’apprentisorcier » avec des « bombes atomiques » biologiques. C’est la volonté de sortir du dogme pastorien dans lequel nous vivons encore. De sortir - ou de ne pas y entrer - de la secte « Pasteur - Mérieux et tous les autres »..

Résumons :

La médecine est une affaire trop importante pour laisser notre santé dans les seules mains de nos médecins. Alors prenons en charge notre santé car aucune autorité, ni médicale, ni sociale, ni politique n’en est vraiment capable et ne le fera jamais. La seule médecine préventive est la médecine naturelle. Les vaccins ne sont, comme les radiographies et analyses, qu’une illusion de prévention, un leurre allopathique supplémentasire. Chaque vaccin (ou rappel de vaccin) est :

• une catastrophe biologique pour l’organisme

• modifie les structures de l’ADN /ARN

• le vecteur probable du SIDA

• une cause possible de cancer (certaines pour certains)

• un destructeur des membranes cellulaires

• un destructeur du système immunitaire (allergies, maladies auto-immunes et cancers).

• une cause majeure de « non-apprentissage » ou de « dés-apprentissage » des processus immunitaires. Les vaccins rendent votre système immunitaire aveugle.

• un cause de fragilisation du terrain. « On attrape tout ce qui passe »

• une cause de sclérose accélérée de l’organisme donc un raccourcissement de la durée de la Vie

• la cause de la destruction de votre niveau idéal de santé

• la cause de maladies détruisant ou diminuant la qualité de votre vie (allergies, nervosité, TOC, angoisses, recours aux drogues, etc.)

• la cause d’affections gravissimes (scléroses en plaques, myopathies, cancers, autisme, mort subite du nourrisson, etc.)

• une charge immense en toxines diverses et en métaux lourds • une cause d’incapacité de développement physique, psychique et spirituel

• des barrages thérapeutiques certains (ils empêchent les remèdes naturels d’agir rapidement).

https://www.youtube.com/watch?v=3pupDVbec2s

 

Je voulais vous faire par de cet publication d'un ami, professionnel de la santé au sujet du fameux COVID19.

"La guerre virale ou bactériologique n’existe pas."

MICROZYMA

 

Introduction

Les microzymas

La psychosomatique

La pathologie

La maladie

Le SUCRE - carburant des MICROZYMAS

Généralités

Le bilan énergétique

LES ACCUSATIONS CONTRE LE SUCRE

Le sucre nourrit les cellules cancéreuses

Le sucre est acidifiant et donc néfaste

Le sucre provoque des caries dentaires

Le sucre et le diabète

Le sucre et l'artérite

Sucre et obésité

Sucre et addiction

L'oxyurose des enfants en particulier

Les différentes formes de sucre que nous ingérons

CONCLUSION

 

INTRODUCTION

 

De nos jours, l’unanimité semble faite entre tous les praticiens de santé, de quelque bord qu’ils soient. Le sucre serait mauvais, il serait source d’addiction, il nourrirait le cancer, il serait à l’origine du diabète, des artérites, de l’obésité, des caries dentaires, de l’oxyurose chez les enfants. Et il acidifierait le terrain, facilitant la maladie.

  

J’ai l’habitude d’être rebelle… En tous cas, de me poser des questions. Un consensus n’est pas une preuve scientifique. Je trouve un peu trop facile de mettre tous ces maux sur le dos de ce sucre, un tel régal !

Et puis, si le sucre était si mauvais que ça, pourquoi le réflexe automatique des médecins, en cas d’urgence, est-il de poser une perfusion de glucose ?

Pourquoi les vétérinaires et les éleveurs de chevaux tartinent-ils de miel les plaies des animaux pour accélérer la cicatrisation ?

Si par ailleurs nous observons la nature, et en particulier les arbres nos frères, nous constatons des choses bien étonnantes : je vous propose deux extraits du livre à paraître de Brigitte SCOHY : L’AQUARELLE DE LA VIE.

C’est grâce à la chlorophylle que la feuille de l’arbre élabore des sucres à partir de l’eau en provenance de la sève montante et du gaz carbonique de l’air. Elle a besoin, pour réaliser cette synthèse, de l'énergie des rayons solaires. Ces sucres sont essentiels à la construction des tissus de l’arbre et à sa croissance. Ce mécanisme libère un résidu gazeux : l'oxygène que nous respirons ! Aujourd’hui, beaucoup prétendent que le sucre serait mauvais pour la santé. Pourtant, le sucre est la vie ! L’arbre en stocke une partie dans son tronc, ses branches et ses racines. Ces réserves lui permettent de survivre aux stress qui l’endommageraient, et de construire de nouvelles feuilles au printemps.

 

Les champignons construisent un véritable réseau de fibres que l’on pourrait comparer au réseau internet. Dans leur milieu naturel, ils ont la tâche de transmettre différents messages aux arbres de la forêt. Contrairement à nous autres, humains, les arbres n’ont pas eu l’idée farfelue d’inventer la monnaie ! Mais ils utilisent un système d’échange : les champignons transmettent les informations en échange d’une partie de leur production de sucre. Ils sont bien rémunérés puisqu’ils reçoivent un tiers de cette production. Tout travail mérite salaire ! (Le réseau secret de la nature, éd. Les arènes, Peter Wohlleben, p 153)

 

Je vous propose de revenir dans un premier temps sur les données que la médecine officielle n’a pas encore intégrées : la réalité des microzymas, et la psychosomatique. Nous verrons ensuite la chimie du sucre et son intérêt dans la dynamique de la vie, puisqu’il est le principal carburant des microzymas. Nous reprendrons ensuite les diverses accusations à l’encontre du sucre.

 

LES MICROZYMAS

 

Pour la science officielle, la vie organisée est dépendante de la cellule. Les gênes se situent dans l’ADN que l’on peut observer au cours de multiplications cellulaires. Il existe des formes de vie primitives et adverses : les bactéries et les virus. Toutes ces notions sont des hypothèses. Elles n’ont jamais été démontrées. Elles sont admises comme des évidences, mais pourtant, elles ne sont pas scientifiques.

La première des choses à bien comprendre, c’est que si l’être humain est un chef-d’œuvre, Celui qui l’a conçu et créé possède une intelligence inouïe, extraordinaire. Voire plus, il semble évident qu’Il se donne – dans une dynamique d’Amour infini – à toutes ses créatures. Comment alors imaginer qu’une telle Intelligence ait pu créer de bactéries ou des virus pour anéantir son chef-d’œuvre ? D’autant que l’intérêt de ces êtres à nous anéantir serait très limité : ils ne pourraient guère survivre après notre destruction.

Ces notions erronées sont entrées dans l’inconscient collectif. Personne ne se pose de question : pas plus les médecins que les biologistes ou les théologiens. Même les médecines dites « douces » et « holistiques » fonctionnent la plupart du temps à partir de ces bases théoriques, et tentent de restaurer un système immunitaire qui serait défaillant pour favoriser la guérison.

Hé bien, je l’affirme haut et fort : la guerre virale ou bactériologique n’existe pas. Le système immunitaire est une dé-lecture de la réalité ! Nous devons tout reprendre à zéro.

Au 19ème siècle, un savant extraordinaire a posé les bases d’une véritable biologie du vivant : le Pr. Antoine Béchamp. Et ses découvertes sont d’une étonnante cohérence et permettent de reconstituer le puzzle de la vie, de la génétique et de la santé sous un tout autre angle. Ce savant a découvert le rouage essentiel de la vie, au cœur de tout être vivant : plante, insecte, animal, humain. Il lui a donné le nom de MICROZYMA.

Il a pu déterminer les propriétés exceptionnelles de cette microcellule mesurant moins de 60 nanomètres de diamètre. Il a constaté son rôle essentiel dans la construction des cellules et dans la fabrication des zymases en enzymes. Il a démontré que ce sont les microzymas qui s’assemblent pour élaborer les bactéries qui sont des outils de guérison endogènes, et non des ennemis à combattre en provenance de l’extérieur. (Cf le livre : LES MICROZYMAS sur notre site www.alain-scohy.com). Ce sont eux que l’on prend le plus souvent pour des virus.

 

Les scientifiques modernes, depuis quelques années, les ont redécouverts et les ont baptisés NANOBES ou NANOBACTERIES. Faute de connaître Béchamp, ils repartent à zéro et il faudra bien des années pour qu’ils corroborent tous les travaux de ce savant exceptionnel. Mais ils disposent aujourd’hui de la microscopie électronique, et ils ont déjà pu constater la présence, au cœur de chacun de ces microzyma, d’un cristal de silicium. Et cette découverte nous ouvre des horizons considérables.

Les microzymas sont les bâtisseurs. Mais ils travaillent en cohérence, dans tout être organisé, grâce à des informations qui leur sont transmises. Et ce cristal de silicium semble être la clé de voûte de ce processus d’information, comme les « puces électroniques » qui permettent à nos ordinateurs de fonctionner et de calculer. Et il semble évident que le milieu aqueux dans lequel ils baignent est le support de ces informations. L’eau informée, vivante, véhicule des hormones, divers médiateurs chimiques, des informations bioélectroniques et électro-magnétiques, voire même des informations émotionnelles.

 

Toutes les découvertes autour de la primauté des hormones (Dr Jean Gautier) trouvent leur place dans ce système. Béchamp a pu démontrer que les cellules – y compris chez l’embryon – ne se multiplient pas mais qu’elles sont bâties par les microzymas. En fonction d’informations bien sûr…

Bien sûr, une fois l’organisme complexe achevé et ordonné, le cerveau va prendre sa place et assurer le contrôle et le bon fonctionnement de l’ensemble. Mais le cerveau, comme le reste du corps, baigne dans un liquide aqueux où les microzymas sont légion et où les informations circulent librement !

La psychosomatique explique les cancers et les maladies graves par la survenue d’émotions ou de traumatismes physiques ou psychiques que l’individu n’a pas su gérer. Le Dr Hamer a pu en retrouver les traces sur les scanners cérébraux avec une rigueur scientifique absolue. Mais ces traces – les foyers de Hamer – sont visualisés justement parce que localement, le tissu nerveux est imprégné de substrats inhabituels – hormones, médiateurs – qui coordonnent le travail des microzymas locaux.

 

La vie est une aventure étonnante, extraordinaire, d’une beauté éblouissante. L’Intelligence à l’origine de l’univers n’a pas créé le mal. Le mal n’est que l’absence de cette Intelligence, comme l’obscurité est l’absence de lumière. Si nous devenons capables d’ouvrir les volets de la maison, le soleil pourra rentrer et l’illuminer (selon Ste Thérèse d’Avila). Cette maison, c’est notre cœur. Les volets sont nos apriori, nos doutes, nos peurs et nos fausses croyances.

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Quelques citations de Béchamp dont la devise était : « Rien n’est la proie de la mort, tout est la proie de la Vie ! »

 

La nature du monde organisé étant UNE dans ses multiples manifestations, on peut considérer que les granulations moléculaires que j’ai nommées microzymas sont, dans les végétaux et dans les animaux, les travailleuses qui sont chargées de tisser les cellules lorsque les conditions favorables sont réunies.

 

Il observe du tissu conjonctif d’embryon, dans une zone qui deviendra un corps vertébral :

Il se fait une répartition des microzymas qui les fait apparaître comme uniformément répandus. Ensuite, ils semblent se grouper, s'attirer : on voit des plaques granuleuses qui paraissent se condenser sous la forme de petites sphères dont le contour est à peine accusé”.

Après 24 heures d'incubation environ, on commence à voir apparaître la cellulosité (les cellules).

Après 48 heures, le phénomène s'est accentué, et les corps des vertèbres sont nettement composés de cellules arrondies.

Et chose très digne d'attention, toutes ces cellules sont au même degré de développement : elles naissent adultes, si l'on peut ainsi parler.

Dans tous les cas, nous surprenons les microzymas se comportant de la même façon : ils se réunissent, se tassent sous forme d'une sphère, et ainsi réunis, ils se sécrètent une enveloppe, et la cellule est constituée. C'est là le résultat immédiat de l'observation, non pas le fruit d'un système préconçu.

Jamais dans un liquide, on ne voit se former une cellule ou un vibrionien sans qu'on note préalablement les microzymas qui en sont le point de départ. (…) Nous verrons que dans un organisme déjà adulte, des cellules se forment par les microzymas suivant le même mécanisme. Encore une fois, pour qu'une cellule naisse, il n'est pas besoin d'une cellule antérieure : le microzyma – et le milieu créé par son activité chimique au sein de la masse qui le contient – suffisent. (…)

 

LA PSYCHOSOMATIQUE

 

Le but de cet article n’est pas de reprendre l’historique et la mécanique de ce nouveau paradigme sur lequel ont travaillé des scientifiques remarquables : Groddeck, Laborit, Balint, Hamer, Fréchet et bien d’autres.

Dans les grandes lignes, hormis les empoisonnements et les carences, toutes les pathologies, toutes les maladies sont d’origine psychosomatique. Elles sont toujours la résultante d’un stress monstrueux, imprévu, qui nous met en double danger de mort. En effet, si nous nous laissons accaparer par l’intensité de ce stress, nous risquons d’oublier les règles de prudence élémentaires et l’accident est bien probable. Par ailleurs, le niveau d’énervement est tel que nous sommes incapables de manger et de dormir. Le cerveau intervient donc et met en place un processus de survie, qui peut être un désordre hormonal, une paralysie, une carie, une tumeur cancéreuse, un dysfonctionnement sensoriel, une dépression, voire une schizophrénie.

Mais nous devons bien comprendre que ce « processus morbide » se décompose en deux phases :

1- Une phase de pathologie, pour gérer la souffrance morale.

2- Une phase de guérison ou « maladie », une fois le stress réglé ou digéré, pour retrouver la santé.

 

La PATHOLOGIE

 

L’émotion est prise en charge par le cerveau limbique. C’est sa fonction. Mais s’il n’est pas capable de gérer la situation, il se produit un véritable orage cérébral qui accapare la totalité du cerveau et nous met en danger de mort.

 

Le cerveau n’est qu’un ordinateur. Sa puissance est prodigieuse, sans commune mesure avec les ordinateurs les plus puissants qui peuvent exister à ce jour. Mais nous devons bien comprendre qu’un ordinateur n’est pas réellement intelligent, il ne peut que calculer, associer, et réagir en fonction des programmations dont il dispose.

 

Pour faire face à cet orage cérébral, il va donc calculer et choisir la réponse qui lui semble la plus adaptée. Même si cela ne nous semble pas cohérent, c’est pour lui, toujours, la meilleure solution possible.

      • Ainsi, si votre enfant est en danger de mort, il met en route la construction d’un cancer du sein (cancer glandulaire capable de fabriquer de grandes quantités de lait) car pour lui, le danger de mort par excellence, c’est la famine.
      • Si vous êtes séparé de cet enfant, la solution va être de construire une sorte de néo-cordon ombilical dans le but de retrouver le contact avec lui (cancer canalaire du sein).
      • Si quelqu'un vous a fait une crasse ignoble, une « merde » certes virtuelle, la solution pour lui est de construire du gros intestin – sous forme de tumeur – pour pouvoir digérer cette crasse.
      • Si vous considérez que vous ne valez rien et que vous « encombrez » vos concitoyens, il va ordonner le démontage de votre squelette, de votre vivant (cancer de l’os en lyse). Mais avec une connotation variable selon la coloration de votre dévalorisation : le bassin si le problème est d’ordre sexuel ou génital, les côtes s’il est de type embrassade, les os du crâne si c’est surtout intellectuel, etc. !

 

Pour mettre en place cette sorte de soupape de sécurité qu’est le cancer, vos microzymas vont mettre à part une zone du cerveau que nous nommons par convention le Foyer de Hamer, décelable sur un scanner cérébral sans préparation. Les neurones de ce foyer vont gérer la situation en orchestrant le travail des microzymas localement pour, par exemple, construire une tumeur. Sachez que cette tumeur est en fait un organe « turbo », organisé, vascularisé, innervé de manière parfaitement contrôlée. Elle n’est jamais anarchique et les cellules construites sur place par les microzymas n’ont aucun goût pour le tourisme. Le mythe des métastases est totalement gratuit.

 

Grâce à la mise en route de ce processus pathologique, votre stress va redescendre à un niveau compatible avec la prudence, le bon sens et la survie. Même si vous restez tendu et énervé.

 

Pendant cette phase, votre tension est plus élevée qu’à l’habitude, vous mangez moins et donc vous maigrissez la plupart du temps (sauf dans le cas de l’obésité que nous verrons plus loin), vous restez énervé et irritable mais raisonnablement. Votre terrain (sang) est ALCALIN et OXYDÉ selon la bioélectronique.

 

Pendant cette période, la pratique du jeûne peut être très salutaire. En effet, elle vous permettra d’élargie votre conscience, de découvrir le stress causal plus facilement et de le gérer de manière efficace.

La prise de vitamines en quantités suffisantes donnera à vos microzymas une parfaite visibilité et une efficience remarquable.

 

Notons bien ici qu’il est indispensable de prendre de manière continue, du 1er janvier au 31 décembre, 8 à 10 g par jour d’Acide L-Ascorbique et 2 gélules deux à trois fois par jour d’un complexe de vitamines B suffisamment dosé comme le Complexe Paracelse (vitamines B, A et bambou).

La Vitamine E Naturelle sera essentielle en bonnes quantités chaque fois que la biologisation ou somatisation concernera la peau, le système nerveux, les artères, les grosses articulations.

 

Le problème est que cette phase passe le plus souvent inaperçue. Un cancer est toujours indolore et ne provoque que bien rarement des complications pendant la pathologie.

 

La MALADIE

 

C’est le retour à la normale une fois le stress disparu ou digéré d’une manière ou d’une autre.

Le problème est que cette phase, contrairement à la pathologie, est particulièrement « bruyante » : douleur, inflammation, troubles fonctionnels (occlusion, obstruction d’un écoulement), gonflement des lésions, fatigue intense sont au rendez-vous ! En Bioélectronique, votre sang va devenir ACIDE et OXYDÉ la plupart du temps. C’est donc lors de cette maladie que la plupart des gens consultent.

Vous allez entrer dans une spirale catastrophique, qui pourrait bien vous amener à une issue fatale. D’autant que la médecine officielle – avec ses pronostics affolants et ses thérapies « héroïques » mortifères – va vous y pousser, en toute bonne foi d’ailleurs.

 

Par ailleurs, bien souvent, vous allez tirer un bénéfice secondaire de votre statut de malade. Vous allez être entouré de personnes compatissantes et sympathiques, vous allez être cajolé par vos proches et peut-être enfin « reconnus »… Et puis vous aurez à supporter la pression de votre entourage – affolé – pour vous faire SOI NIER de la manière la plus radicale possible…

 

C’est pendant cette période qu’il va être essentiel d’apporter à vos microzymas tous les ingrédients dont ils ont besoin :

1- De l’eau de très bonne qualité, aussi pure que possible, en abondance.

2- Du sel pour essayer de contrebalancer la peur, à coupler éventuellement avec une cure de GINSENG.

3- Des matériaux de qualité : matières grasses nobles, protéines de préférence animale, sels minéraux.

4- Du carburant – le plus pur et donc le mieux raffiné possible – à savoir du glucose que l’on trouve en particulier dans les bonbons (les vrais, au sucre !)

5- Des vitamines en quantités importantes : 10 à 20 g par jour d’Acide L-Ascorbique et 2 gélules 4 à 5 fois par jour de Complexe Paracelse (vitamines B, A et bambou).

 

Si vous respectez ces cinq conditions, si vous vous reposez, si vous vous faites accompagner au plan psychospirituel, et si vous acceptez de faire confiance et de vous blottir dans l’infinie tendresse de notre Créateur, tout ira bien et vous pourrez accéder à votre guérison.

Beaucoup de personnes nous demandent conseil pour des cures massives de vitamine C. Il est clair que la vitamine C peut aider mais elle n’est pas une panacée universelle. Elle permet aux microzymas de travailler dans les meilleures conditions là comme toujours. Pour diminuer l’acuité des symptômes désagréables, il faudrait en théorie des doses de 40 à 100 grammes par jour par voie intraveineuse. Et ce pendant des semaines, voire des mois. Nous avons pu vérifier que le complexe de vitamines B que nous proposons, à bonne dose, décuple l’action bénéfique de la vitamine C et permet donc d’en rester à la voie orale.

Attention toutefois à la crise épileptoïde qui peut vous affoler. À la fin du processus de réparation – démontage de la tumeur, reconstruction d’une carie osseuse ou musculaire etc. – il se produit en général une sorte de décharge électrique cérébrale au niveau du foyer de Hamer qui va se traduire de manière bruyante au niveau de la symptomatologie. Si nous prenons l’exemple d’une tumeur du gros intestin, ou bien d’une tumeur pulmonaire, la crise épileptoïde se traduira généralement par une hémorragie. C’est impressionnant. Cracher du sang ou évacuer du sang par l’anus est toujours angoissant. Et c’est là qu’une fois de plus, il ne faut pas se laisser gagner par la peur. C’est au contraire le signal que vous entrez en convalescence et que le gros du travail de guérison est terminé.

 

LE SUCRE – CARBURANT DES MICROZYMAS

 

 

Généralités

Les glucides représentent 1% de la masse corporelle.

Ce sont des hydrates de carbone, à savoir un mélange d’atomes de carbone et d’atomes d’hydrogène et d’oxygène. Ils peuvent parfois être complétés par des atomes de soufre et/ou de phosphore.

 

Le glucose (ou dextrose) et le fructose (ou levulose) ont la même formule chimique. Ils ne diffèrent que par leur disposition spatiale. Le fructose est plutôt le carburant des végétaux, le glucose celui des animaux.

Le fructose peut être utilisé par un organisme animal à condition d’avoir été préalablement transformé en glucose au niveau du foie, ce qui implique un travail conséquent de la part de nos microzymas. Contrairement au glucose, nos microzymas ne le reconnaissent pas et ne vont donc pas déclencher avec lui la mécanique hormonale adéquate (sécrétion d’insuline). Par ailleurs, le sentiment de satiété ne sera pas obtenu et le risque d’addiction est beaucoup plus important qu’avec le glucose.

 

Notons que le saccharose est une association d’une molécule de glucose et d’une molécule de fructose.

Le maltose est constitué de deux molécules de glucose.

 

Le glucose est stocké normalement au niveau du foie sous forme de glycogène : une véritable chaîne de molécules de glucose qui sont libérées à mesure des besoins dans le sang. Une fois les capacités de stockage en glycogène saturées, les microzymas du foie le transforment en acides gras puis en triglycérides ou graisses.

            

 

 

Le bilan énergétique

 

De manière générale, toute « combustion » au sein de l’organisme libère environ 60% de chaleur et 40% d’énergie mécanique ou autre.

Au niveau des microzymas, à l’intérieur des organes, le glucose est le carburant de première intention.

 

La combustion du glucose peut se faire sans oxygène et très rapidement : elle fournit alors relativement peu d’énergie (deux molécules d’ATP pour une molécule de glucose) et il se forme des lactates ou acide lactique – bien connu des sportifs… Mais, à l’état de repos, cette procédure nous donne 90 secondes d’autonomie ! Et ces secondes sont fondamentales pour mettre en route le mouvement en particulier. C’est dire la place fondamentale de l’approvisionnement en sucre dans la dynamique de la vie.

 

En présence d’oxygène, par le biais de cycles enzymatiques complexes – le cycle de Krebs et la phosphorylation oxydative – le glucose permet aux microzymas de produire 36 à 38 molécules d’ATP et de faire la synthèse d’acides gras et de protéines.

 

Les acides gras – constitués de carbone et d’hydrogène pour l’essentiel – regroupés en triglycérides (graisse) permettent de stocker l’énergie sur le plus long terme que le glycogène. Le catabolisme direct des acides gras est plus complexe que celui du glucose. Il fournit, pour une molécule d’acide gras saturé, 146 molécules d’ATP. Mais il faut savoir que les acides gras ne peuvent pas être convertis en glucose.

 

Les protéines peuvent également être utilisées comme fournisseurs de glucose. Mais cela amène la libération d’ammoniaque qui doit être métabolisé en urée au niveau du foie puis éliminé par les reins. Là encore, c’est un travail supplémentaire pour nos microzymas !

 

Le cerveau, lui, ne sait pas utiliser les acides gras comme source de combustible. Il lui faut impérativement du glucose. Ce n’est qu’au bout de plusieurs jours de jeûne que le foie synthétise des corps cétoniques qui lui permettent d’avoir une source d’énergie complémentaire.

 

Il est donc clair que le GLUCOSE reste le carburant prioritaire pour le bon fonctionnement du vivant et en particulier du cerveau, suivi immédiatement par les acides gras, et en cas de jeûne prolongé, par les corps cétoniques.

 

LES ACCUSATIONS CONTRE LE SUCRE

 

Le sucre nourrit les cellules cancéreuses

 

C’est vrai et faux en même temps. Ce ne sont pas les cellules cancéreuses qui utilisent le sucre mais les microzymas. Les tumeurs cancéreuses sont des organes turbo qui ont besoin de plus de carburant et de plus de matériaux que les cellules « normales ».

 

N’oublions pas que le cancer est mis en place pour nous permettre de survivre à des stress graves, et reste sous le contrôle permanent du foyer de Hamer dans le cerveau. Ce n’est pas un processus maléfique mais un mécanisme – plus ou moins agréable – pour nous permettre de survivre.

Par ailleurs, les besoins en énergie de ces tumeurs sont tels que le sucre n’y intervient que de façon mineure : ce sont au contraire les acides gras – les graisses – qui vont leur apporter cette énergie.

 

Pendant la MALADIE ou phase de guérison, le pivot du contrôle de ce processus se situe dans le cerveau. Et nous l’avons vu, le cerveau a besoin de glucose pour être pleinement opérationnel. Ne l’en privons pas. Consommer des sucres lents (amidons), ou du fructose, ou des sucres non transformés, va nécessiter une dépense d’énergie supplémentaire pour nos microzymas qui n’est pas opportune. La meilleure preuve est l’effet antalgique incontestable de la prise régulière de bonbons à base de glucose pendant cette phase de guérison. La douleur semble être bien souvent un signal d’alarme que nous envoie le cerveau lorsqu’il lui manque un ingrédient pour faire son travail.

 

Le sucre serait acidifiant et donc néfaste

 

N’oublions pas que le processus cancéreux se met en place dans un terrain bioélectronique alcalin et oxydé. Ce terrain bascule en acidose de manière automatique lors de la phase de guérison.

 

Le pH du sang – sauf cas de force majeure – est régulé par le cerveau (au niveau du tronc cérébral qui est chargé de l’homéostasie). C’est lui qui en décide. Il a sous ses ordres des organes majeurs qui lui permettent de parvenir à ses fins, quelle que soit notre alimentation. Les poumons lui fournissent du gaz carbonique qui permettra la construction de carbonates qui serviront de tampon (pour éviter un excès d’acidose). Il peut faire synthétiser divers acides au niveau du foie. La peau et les reins lui permettent d’éliminer les trop-pleins inadéquats.

 

Notons bien par ailleurs que TOUS les aliments, sans exception, sont acides. Heureusement ! En effet, nous savons de façon certaine que le terrain acide qui correspond à l’hydratation des tissus est synonyme de santé et de jeunesse. Le but de l’alimentation est justement de nous maintenir en santé et en jeunesse. La vieillesse se caractérise par une alcalinisation progressive de l’ensemble du corps associé à une déshydratation (le bébé est constitué de 90% d’eau et il est très acide, le vieillard de seulement 70% d’eau).

 

Le sucre provoquerait des caries dentaires

 

Ce genre de propos nous vient en droite ligne de la colonisation. Les occidentaux, lorsqu’ils ont conquis des territoires dit « sous-développés » à coup de fusil, mitraillette, canon ou autres, ont amené avec eux le sucre blanc aux indigènes. Et ils ont constaté alors une multiplication considérable des caries dentaires, en particulier chez les enfants.

 

Si nous tenons compte de la psychosomatique, il est évident que ce phénomène n’a pas grand-chose à voir avec le sucre. En effet, pour le cerveau, la seule arme « naturelle » d’un mammifère, ce sont les crocs, les dents. Ces indigènes, s’ils se permettaient de résister à l’envahisseur, étaient massacrés. Il fallait donc pour survivre faire disparaître toute velléité de résistance : pour le cerveau, le meilleur moyen de survivre était donc de démonter les dents. Je discutais récemment avec un éleveur de chèvres en « bio »… Il faisait systématiquement décorner ses chèvres dès la naissance pour éviter qu’elles ne se battent entre elles et ne se blessent. Faute de cornes, elles s’entendaient parfaitement bien. L’adage : « si tu veux la paix, prépare la guerre » est donc un non-sens pour le cerveau.

 

Notons aussi que l’émail dentaire est constitué de diamantine, une substance presque aussi solide et résistante que le diamant. Et nos dents, après notre mort, pourront subsister des milliers d’années quelle que soient l’environnement chimique, mais bien sûr sans « stress ». Il est donc évident que les caries répondent à des causes psychosomatiques et n’ont rien à voir avec ce que nous mangeons.

 

Le sucre et le diabète

 

Notre corps n’est pas un simple récipient rempli de diverses liqueurs. C’est un ensemble organisé de manière tout à fait extraordinaire. Nous ne pouvons que nous émerveiller devant l’intelligence de cette organisation. Toute ingestion de glucose entraîne automatiquement la sécrétion d’insuline qui va permettre son utilisation immédiate ou sa mise en réserve sous forme de glycogène dans le foie ou d’acides gras. N’oublions pas que pour notre cerveau, le sucre restera toujours le carburant de base.

 

Prétendre que l’insuline est insuffisante ou inadéquate dans le diabète est une hypothèse gratuite et invérifiable. Il est clair que la glycémie augmente parce que le pancréas sécrète plus de glucagon, l’hormone pancréatique qui a cette fonction. Et cette sécrétion de glucagon répond à un ordre du cerveau. Prendre un traitement chimique ou à base d’insuline pour diminuer la glycémie entraîne obligatoirement une nouvelle stimulation de la sécrétion de glucagon et chronicise donc la situation.

 

La psychosomatique nous permet de comprendre que le diabète n’a rien à voir avec nos ingestions de sucre. Elle explique qu’il s’agit toujours d’un conflit de résistance : il faut faire face à une situation de « bras de fer » psychologique et donc disposer d’un carburant rapide et immédiat : le sucre. Et il y a toujours en plus, par derrière, un ressenti de répugnance. Le fait de mettre ces problèmes psychologique à plat, essentiellement par un travail psychospirituel, permet de sortir de ce cauchemar.

 

Notons par ailleurs que le coma acidocétosique – la complication gravissime du diabète de type I – est lié indirectement à la présence de sucre en excès dans le sang qui affole le foie et les reins. Il en découle des éliminations de substrats essentiels par les urines qui sont à l’origine de carences mortelles.

 

La clé de la guérison du diabète ne peut donc pas se situer au niveau diététique mais bien au niveau psychospirituel.

 

Le sucre et l’artérite

 

Le sucre favoriserait l’artérite, tout particulièrement chez les diabétiques.

L’artérite est une inflammation de l’endothélium artériel, à savoir la muqueuse constituée de cellules juxtaposées qui tapisse l’intérieur d’une artère.

Cette maladie est souvent présentée comme une complication du diabète.

 

Là encore, nous devons chercher plus loin. Lorsque nous sommes confrontés à la peur de perdre un territoire – ici essentiellement géographique – nous devons affronter un adversaire, et nous retrouvons la notion de bras de fer virtuel dont je parlais pour le diabète. Mais le cerveau a plus d’une corde à son arc. Pour augmenter encore notre capacité à résister, il peut aussi augmenter le flux sanguin localement, donc au niveau des jambes. Pour cela, il lui suffit d’ordonner aux microzymas locaux de démonter cet endothélium vasculaire pour augmenter le calibre de l’artère. Ce phénomène est inapparent, c’est une pathologie au sens psychosomatique.

 

En phase de réparation (la maladie), les microzymas vont construire un échafaudage localement, essentiellement à base de cholestérol maintenu en place par de la fibrine. Cet échafaudage peut obstruer alors le passage du sang dans l’artère et déclencher une nécrose sous-jacente.

 

Là encore, le sucre n’a rien à voir en tant que cause de l’artérite.

 

Sucre et obésité

 

Les pays occidentaux souffrent de plus en plus de ce problème. Il semble évident qu’il est concomitant à la prise de sucre et de sucreries sous toutes leurs formes. Et c’est bien normal puisque la graisse qui encombre ces personnes a pour origine la transformation du glucose en triglycérides.

 

La question est de savoir si l’obésité viendrait d’un excès d’ingestion ou bien si l’excès d’ingestion serait la conséquence d’une nécessité pour le cerveau de devenir obèse.

 

La différence entre une personne obèse et une personne maigre, c’est le volume. Il se voit plus facilement du fait de son volume ! Je pense qu’il faut chercher la cause de l’obésité à ce niveau, et que l’ingestion en excès n’est que la conséquence de la peur de ne pas être vu et d’être abandonné. En quelque sorte, l’obésité est un équivalent de cancer.

 

Nous savons que l’enfant – pendant sa vie intra-utérine et jusqu’à la fin des sept premiers mois de sa vie sur terre – est persuadé qu’il est fusionné avec sa mère. Une grande psychanalyste, Mélanie Klein, explique qu’à partir du 8ème mois, il découvre qu’il n’en est rien. Mais il n’a pas encore pris conscience de la permanence des êtres et des objets autour de lui. Et il sait qu’il dépend de sa mère pour survivre. Pendant un mois, il vit la « crise du 8ème mois », à savoir une peur insurmontable de l’abandon. Si sa mère est prévenue, si elle veille à rester toujours près de lui ou à répondre au premier de ses appels, il ne sera jamais obèse, quoiqu’il mange. Sinon, son cerveau lui ordonnera de faire du volume.

Un enfant qui a mal vécu cette crise du 8ème mois aura toujours tendance à devenir obèse. Ce qui explique que le problème ne se pose guère dans les pays sous-développés mais de plus en plus dans les pays occidentaux où les mamans travaillent à l’extérieur de plus en plus souvent.

 

Notons par ailleurs que les canards ou les oies que l’on gave ne sont jamais obèses !

 

Sucre et addiction

 

Il est clair que le fructose est source d’addiction car son absorption n’entraîne pas de sécrétion d’insuline par le pancréas. Il doit d’abord être transformé au niveau du foie en glucose. Pour notre cerveau, consommer du fructose n’entraîne donc pas le ressenti de satiété.

 

Mais il est vrai que le sucre peut relever de l’addiction. Pourquoi ?

 

Nous devons comprendre que pour le cerveau, le SUCRE symbolise la TENDRESSE

Notre monde en est de plus en plus dépourvu. Il suffit d’explorer les souvenirs d’enfance de la plupart de nos concitoyens pour s’en convaincre. Il est donc bien normal que notre cerveau se rabatte sur cet ersatz ! Le fait de fumer (c’est-à-dire symboliquement téter « maman ») relève du même mécanisme.

 

L’oxyurose des enfants en particulier

 

Il semble clair que la consommation de sucre en excès semble favoriser la prolifération des oxyures dans le gros intestin. Mais cela pose un problème : car le sucre est absorbé avant de parvenir au niveau du gros intestin. Là encore, il nous faut chercher plus loin.

 

La carte d’identité biologique d’un mammifère, c’est le parfum sécrété par les glandes odoriférantes qui se situent au niveau du canal anal. C’est un fait qui explique que le premier réflexe de nos amis – chiens ou chats – lorsqu’ils se rencontrent, est d’aller flairer l’anus du voisin !

 

L’oxyurose entraîne un prurit anal. Est-ce que cela ne serait pas la manifestation d’un conflit d’identité pour l’enfant ? Pendant des millénaires, l’enfant a été objetisé, dressé, utilisé, maltraité… Aujourd’hui, il est livré à lui-même et abandonné aux mondes virtuels (télévision, jeux vidéo…), sans avoir d’ouverture spirituelle. Il ne sait plus qui il est.

 

Je crois que nous devrions nous poser les vraies questions à ce niveau. Et si votre enfant souffre de ce problème, le meilleur vermifuge naturel reste l’ail. Cru ou fermenté (mariné des semaines dans de l’eau salé pour lui faire perdre son côté un peu abrasif), il est d’une efficacité remarquable.

 

Les différentes formes de sucre que nous ingérons

 

Beaucoup de personnes considèrent que le sucre raffiné est pire que tout, sous prétexte qu’il n’existe pas en l’état dans la nature.
Contrairement à ce que l’on pense en général, le sucre raffiné est parfaitement pur, tout particulièrement le glucose que l’on trouve dans les bonbons de bonne qualité.

Le saccharose du sucre blanc contient 50% de fructose qui – lui – est relativement indésirable. Il génère plus facilement des addictions et son contrôle par l’organisme est moins facile compte tenu du fait qu’il n’amène pas de sécrétion d’insuline. Si, dans les cancers en phase de réparation, la douleur est considérablement améliorée par la prise de bonbons au glucose pur, ce n’est pas aussi net avec le sucre blanc.

Le miel et l’amidon des céréales sont constitués essentiellement de fructose… Le sucre des fruits est également du fructose.

Dans tous les cas, les sucres complexes d’origine végétale nécessitent un travail de transformation par les microzymas qui n’est pas forcément bienvenu pendant la phase de réparation qu’est la maladie. Ils ne peuvent pas être au four et au moulin en même temps, et cela va entraver le bon déroulement du processus de guérison.

CONCLUSION

Je peux avoir oublié certaines accusations à l’encontre du sucre, mais je suis bien certain que toutes peuvent être revisitées différemment.

N’oublions jamais que le corps humain est une merveille d’organisation sans pareille. Nous pouvons avoir confiance dans l’intelligence infinie qui en est l’origine.

Ce qui bien sûr n’exclut pas la mesure et la sagesse en toute chose. "Alain Scohy, docteur en médecine, [email protected], www.alain-scohy.com";

Je terminerai par une réalité à laquelle nul ne peut déroger :

Nous sommes les seuls vrais artisans de notre propre santé.

 L'univers fournit irrémédiablement à chacun d’entre nous et sans distinction, l'énergie vitale nécessaire à notre passage sur cette terre. Une énergie qui n’influe en rien sur notre cycle de vie propre puisque, de par notre nature, notre capacité à concevoir les choses ainsi qu’à les détruire, notre vie (notre santé) n’est jamais rien de plus que ce que nous choisissons d’en faire. Cette énergie, passe principalement par ce que nous donnons à notre corps comme carburant. Notre santé commence dans notre assiette. 

Posted in: Health
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Fantastique article, mille merci à J.Dykens.
15 February, 18:05 pm