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Le 19 octobre 2022

 

Compliments de l'Organisation Lifschultz fondée en 1899

 

Le peuple italien a un nouveau leader qui n'a pas peur de dire la vérité comme notre président Donald J. Trump et son nom est Giorgia Meloni.

 

Son discours est tout à fait étonnant dans le lien suivant. Le message est que si la France perd ses colonies en Afrique, elle entrera dans le tiers monde. Le discours dure moins de trois minutes mais nous l'avons étayé par un article assez détaillé soutenant ses affirmations.

 

https://youtu.be/DhXyjnbl8lA

 

En mars 2008, l'ancien président français Jacques Chirac a déclaré :

 

"Sans l'Afrique, la France glissera au rang de troisième puissance [mondiale]".

 

Le prédécesseur de Chirac, François Mitterrand, avait déjà prophétisé en 1957 que :

 

"Sans l'Afrique, la France n'aura pas d'histoire au XXIe siècle".

 

France/Afrique : 14 pays africains contraints par la France à payer l'impôt colonial pour les bénéfices de l'esclavage et de la colonisation

 

30 JANV. 2014 PAR JECMAUS

BLOG : CONGONEWS-BRAZZAVILLE

 

 

Saviez-vous que de nombreux pays africains continuent de payer des impôts coloniaux à la France depuis leur indépendance jusqu'à aujourd'hui ?

 

Lorsque Sékou Touré de Guinée a décidé en 1958 de sortir de l'empire colonial français, et a opté pour l'indépendance du pays, l'élite coloniale française à Paris est devenue furieuse, et dans un acte de fureur historique l'administration française en Guinée a détruit tout dans le pays qui représentait ce qu'ils appelaient les avantages de la colonisation française.

 

Trois mille Français quittèrent le pays, emportant tous leurs biens et détruisant tout ce qui ne pouvait être déplacé : les écoles, les crèches, les bâtiments de l'administration publique furent réduits en miettes ; les voitures, les livres, les médicaments, les instruments des instituts de recherche, les tracteurs furent écrasés et sabotés ; les chevaux, les vaches dans les fermes furent tués, et les aliments dans les entrepôts furent brûlés ou empoisonnés.

 

Le but de cet acte scandaleux était d'envoyer un message clair à toutes les autres colonies : les conséquences d'un rejet de la France seraient très lourdes.

 

Lentement, la peur s'est répandue au sein de l'élite africaine, et après les événements de Guinée, personne n'a jamais trouvé le courage de suivre l'exemple de Sékou Touré, dont le slogan était "Nous préférons la liberté dans la pauvreté à l'opulence dans l'esclavage".

 

Sylvanus Olympio, le premier président de la République du Togo, un minuscule pays d'Afrique occidentale, a trouvé une solution intermédiaire avec les Français.

 

Il ne voulait pas que son pays continue à être un dominion français, il a donc refusé de signer le pacte de continuation de la colonisation proposé par De Gaule, mais a accepté de payer une dette annuelle à la France pour les soi-disant bénéfices que le Togo a obtenu de la colonisation française.

 

C'était la seule condition pour que les Français ne détruisent pas le pays avant de partir.

Cependant, le montant estimé par la France était si important que le remboursement de la soi-disant "dette coloniale" représentait près de 40% du budget du pays en 1963.

 

La situation financière du Togo nouvellement indépendant était très instable, alors pour sortir de cette situation, Olympio a décidé de retirer la monnaie coloniale française FCFA (le franc pour les colonies africaines françaises), et d'émettre la propre monnaie du pays.

 

Le 13 janvier 1963, trois jours après qu'il ait commencé à imprimer sa propre monnaie, une équipe de soldats analphabètes soutenue par la France a tué le premier président élu de l'Afrique nouvellement indépendante. Olympio a été tué par un ancien sergent de la Légion étrangère française, Etienne Gnassingbe, qui aurait reçu une prime de 612 dollars de l'ambassade française locale pour ce travail de tueur à gages.

 

Le rêve d'Olympio était de construire un pays indépendant, autonome et autosuffisant.

Mais les Français n'aimaient pas cette idée.

 

Le 30 juin 1962, Modiba Keita, premier président de la République du Mali, décide de se retirer de la monnaie coloniale française, le FCFA, imposée à 12 pays africains nouvellement indépendants. Pour le président malien, qui penchait plutôt vers une économie socialiste, il était clair que le pacte de continuation de la colonisation avec la France était un piège, un fardeau pour le développement du pays.

 

Le 19 novembre 1968, comme Olympio, Keita sera victime d'un coup d'Etat mené par un autre ex légionnaire des Affaires étrangères françaises, le lieutenant Moussa Traoré.

 

En fait, durant cette période agitée où les Africains luttent pour se libérer de la colonisation européenne, la France utilisera à plusieurs reprises d'anciens légionnaires étrangers pour mener des coups d'état contre des présidents élus :

 

Le 1er janvier 1966, David Dacko, un ancien légionnaire étranger français, fait un coup d'Etat contre Jean-Bédel Bokassa, le premier Président de la République Centrafricaine.

 

Le 3 janvier 1966, Maurice Yaméogo, premier président de la République de Haute-Volta, aujourd'hui appelée Burkina Faso, est victime d'un coup d'État mené par Aboubacar Sangoulé Lamizana, un ancien légionnaire français qui a combattu avec les troupes françaises en Indonésie et en Algérie contre l'indépendance de ces pays.

 

le 26 octobre 1972, Mathieu Kérékou, qui était un agent de sécurité du président Hubert Maga, le premier président de la République du Bénin, a fait un coup d'État contre le président, après avoir fréquenté les écoles militaires françaises de 1968 à 1970.

 

En fait, au cours des 50 dernières années, 67 coups d'État ont été perpétrés dans 26 pays d'Afrique, dont 16 sont des ex-colonies françaises, ce qui signifie que 61% des coups d'État ont eu lieu en Afrique francophone.

 

Nombre de coups d'État en Afrique par pays

 

Ex colonies Françaises                   Autres pays Africains

Togo 1                                             Egypte 1

Tunisie 1                                         Libye 1

Côte d'Ivoire 1                                Guinée Equatoriale 1

Madagascar 1                                Guinée Bissau 2

Rwanda 1                                       Libéria 2

Algérie 2                                         Nigeria 3

Congo - RDC 2                               Ethiopie 3

Mali 2 Ouganda 4

Guinée Conakry 2                          Soudan 5

 

SOUS-TOTAL 1 = 13

 

Congo 3

Tchad 3

Burundi 4

Afrique centrale 4

Niger 4

Mauritanie 4

Burkina Faso 5

Comores 5

 

SOUS-TOTAL 2 = 32                   TOTAL = 22

 

TOTAL = 45

 

 

Comme le montrent ces chiffres, la France est tout à fait désespérée mais active pour garder une forte emprise sur ses colonies, quel qu'en soit le coût, quoi qu'il arrive.

 

En mars 2008, l'ancien président français Jacques Chirac a déclaré :

 

"Sans l'Afrique, la France glissera au rang de troisième puissance [mondiale]".

 

Le prédécesseur de Chirac, François Mitterrand, avait déjà prophétisé en 1957 que :

 

"Sans l'Afrique, la France n'aura pas d'histoire au XXIe siècle".

 

Au moment même où j'écris cet article, 14 pays africains sont obligés par la France, par le biais d'un pacte colonial, de placer 85% de leurs réserves étrangères dans la banque centrale française sous le contrôle du ministre français des finances. Jusqu'à aujourd'hui, 2014, le Togo et environ 13 autres pays africains doivent encore payer la dette coloniale à la France. Les dirigeants africains qui refusent sont tués ou victimes d'un coup d'état. Ceux qui obéissent sont soutenus et récompensés par la France avec un style de vie somptueux alors que leur peuple endure une pauvreté extrême et le désespoir.

 

C'est un système tellement diabolique, même dénoncé par l'Union européenne, mais la France n'est pas prête à se défaire de ce système colonial qui fait entrer dans ses caisses, année après année, environ 500 milliards de dollars provenant d'Afrique.

 

Nous accusons souvent les dirigeants africains de corruption et de servir plutôt les intérêts des nations occidentales, mais il y a une explication claire à ce comportement. Ils se comportent ainsi parce qu'ils ont peur d'être tués ou victimes d'un coup d'État. Ils veulent qu'une nation puissante les soutienne en cas d'agression ou de problème. Mais, contrairement à la protection d'une nation amie, la protection occidentale est souvent offerte en échange du renoncement de ces dirigeants à servir les intérêts de leur propre peuple ou nation.

 

Les dirigeants africains travailleraient dans l'intérêt de leur peuple s'ils n'étaient pas constamment traqués et brimés par les pays coloniaux.

 

En 1958, effrayé par les conséquences du choix de l'indépendance vis-à-vis de la France, Léopold Sédar Senghor déclarait : "Le choix du peuple sénégalais est l'indépendance ; il ne veut qu'elle se fasse que dans l'amitié avec la France, non dans la contestation."

 

Dès lors, la France n'accepte qu'une "indépendance sur le papier" pour ses colonies, mais signe des "accords de coopération" contraignants, détaillant la nature de leurs relations avec la France, en particulier les liens avec la monnaie coloniale française (le franc), le système éducatif français, les préférences militaires et commerciales.

 

Vous trouverez ci-dessous les 11 principaux éléments du pacte de continuation de la colonisation depuis les années 1950 :

 

 

#1. Dette coloniale pour les bénéfices de la colonisation française

Les pays nouvellement "indépendants" devraient payer pour les infrastructures construites par la France dans le pays pendant la colonisation.

Je dois encore trouver tous les détails sur les montants, l'évaluation des bénéfices coloniaux et les conditions de paiement imposées aux pays africains, mais nous y travaillons (aidez-nous avec des infos).

 

 

#2. Confiscation automatique des réserves nationales

Les pays africains doivent déposer leurs réserves monétaires nationales à la banque centrale française.

La France détient les réserves nationales de quatorze pays africains depuis 1961 : Bénin, Burkina Faso, Guinée-Bissau, Côte d'Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Congo-Brazzaville, Guinée équatoriale et Gabon.

"La politique monétaire qui régit un ensemble aussi diversifié de pays est simple car elle est, en fait, conduite par le Trésor français, sans référence aux autorités fiscales centrales de l'UEMOA ou de la CEMAC. Aux termes de l'accord qui a institué ces banques et le CFA, la Banque centrale de chaque pays africain est tenue de conserver au moins 65 % de ses réserves de change dans un "compte d'opérations" détenu par le Trésor français, ainsi que 20 % supplémentaires pour couvrir les engagements financiers.

Les banques centrales du CFA imposent également un plafond aux crédits accordés à chaque pays membre, équivalent à 20 % des recettes publiques de ce pays au cours de l'année précédente.

Bien que la BEAC et la BCEAO disposent d'une facilité de caisse auprès du Trésor français, les tirages sur ces facilités de caisse sont soumis à l'accord du Trésor français. Le dernier mot revient au Trésor français qui a placé les réserves de change des pays africains en son nom propre à la Bourse de Paris.

En résumé, plus de 80% des réserves de change de ces pays africains sont déposées sur les "comptes d'opérations" contrôlés par le Trésor français. Les deux banques CFA sont africaines de nom, mais n'ont pas de politique monétaire propre. Les pays eux-mêmes ne savent pas, et on ne leur dit pas, quelle part du pool de réserves étrangères détenues par le Trésor français leur appartient en tant que groupe ou individuellement.

Les revenus de l'investissement de ces fonds dans le pool du Trésor français sont censés être ajoutés au pool mais aucun compte n'est rendu aux banques ou aux pays sur les détails de ces changements. Le groupe restreint de hauts fonctionnaires du Trésor français qui a connaissance des montants des "comptes d'opérations", où ces fonds sont investis, s'il y a un profit sur ces investissements, n'a pas le droit de divulguer ces informations aux banques CFA ou aux banques centrales des Etats africains." A écrit le Dr. Gary K. Busch

On estime aujourd'hui que la France détient près de 500 milliards de dollars d'argent des pays africains dans son trésor, et qu'elle ferait tout pour combattre quiconque voudrait faire la lumière sur ce côté obscur de l'ancien empire.

Les pays africains n'ont pas accès à cet argent.

La France ne leur permet d'accéder qu'à 15 % de cet argent par an. S'ils ont besoin de plus que cela, ils doivent emprunter l'argent supplémentaire de leurs propres 65% au Trésor français à des taux commerciaux.

Pour rendre les choses plus tragiques, la France impose un plafond au montant que les pays peuvent emprunter à la réserve. Ce plafond est fixé à 20 % de leurs recettes publiques de l'année précédente. Si les pays ont besoin d'emprunter plus de 20 % de leur propre argent, la France a un droit de veto.

 

 

#3. Droit de premier refus sur toute matière première ou ressource naturelle découverte dans le pays

La France a le premier droit d'acheter toute ressource naturelle découverte sur le territoire de ses ex-colonies. Ce n'est qu'après que la France ait dit : "Je ne suis pas intéressé", que les pays africains sont autorisés à chercher d'autres partenaires.

 

 

#4. Priorité aux intérêts et aux entreprises françaises dans les marchés publics et les adjudications publiques

Dans l'attribution des marchés publics, les entreprises françaises doivent être considérées en premier, et ce n'est qu'après que ces pays pourraient chercher ailleurs. Peu importe si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualité-prix ailleurs.

En conséquence, dans de nombreuses ex-colonies françaises, tous les principaux actifs économiques des pays sont entre les mains d'expatriés français. En Côte d'Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les principaux services publics - eau, électricité, téléphone, transport, ports et grandes banques. Il en va de même dans le commerce, la construction et l'agriculture.

En fin de compte, comme je l'ai écrit dans un article précédent, les Africains vivent désormais sur un continent appartenant aux Européens !

 

 

#5. Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires du pays.

Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions et d'"accords de défense" annexés au pacte colonial, les Africains devraient envoyer leurs officiers supérieurs se former en France ou dans des centres de formation français.

La situation actuelle sur le continent est que la France a formé des centaines, voire des milliers de traîtres et les nourrit. Ils sont dormants quand on n'a pas besoin d'eux, et activés quand on a besoin d'eux pour un coup d'état ou tout autre but !

 

 

#6. Droit pour la France de pré-déployer des troupes et d'intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts

En vertu de ce que l'on appelle les "accords de défense" annexés au pacte colonial, la France avait le droit légal d'intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans des bases et des installations militaires dans ces pays, gérées entièrement par les Français.

Les bases militaires françaises en Afrique

Lorsque le président de la Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo, a tenté de mettre fin à l'exploitation française du pays, la France a organisé un coup d'État. Au cours du long processus d'éviction de Gbagbo, les chars, les hélicoptères de combat et les forces spéciales de la France sont intervenus directement dans le conflit, ont tiré sur des civils et tué de nombreuses personnes.

Pour ajouter l'insulte à la blessure, la France a estimé que la communauté d'affaires française avait perdu plusieurs millions de dollars lorsque, dans la ruée vers Abidjan en 2006, l'armée française a massacré 65 civils non armés et en a blessé 1 200 autres.

Après avoir réussi le coup d'État et transféré le pouvoir à Alassane Ouattara, la France a demandé au gouvernement Ouattara de verser une compensation aux milieux d'affaires français pour les pertes subies pendant la guerre civile.

Le gouvernement Ouattara leur a en effet versé le double de ce qu'ils avaient déclaré avoir perdu en partant.

 

 

#7. Obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue d'enseignement.

Oui, Monsieur. Vous devez parler français, la langue de Molière !

Un organisme de diffusion de la langue et de la culture françaises a été créé, appelé "Francophonie", avec plusieurs satellites et organismes affiliés supervisés par le ministre français des Affaires étrangères.

 

 

#8. Obligation d'utiliser la monnaie coloniale française FCFA

C'est la véritable vache à lait pour la France, mais c'est un système tellement diabolique, même dénoncé par l'Union européenne, mais la France n'est pas prête à se défaire de ce système colonial qui fait entrer dans son trésor environ 500 milliards de dollars en provenance d'Afrique.

Lors de l'introduction de l'euro en Europe, les autres pays européens ont découvert le système d'exploitation français. Beaucoup, en particulier les pays nordiques, ont été consternés et ont suggéré à la France de se débarrasser de ce système, mais sans succès.

 

 

#9. Obligation d'envoyer à la France un rapport annuel sur le solde et les réserves.

Sans ce rapport, pas d'argent.

Quoi qu'il en soit, le secrétariat des banques centrales des ex-colonies et le secrétariat de la réunion semestrielle des ministres des finances des ex-colonies sont assurés par la Banque centrale de France / le Trésor.

 

 

#10. Renonciation à conclure une alliance militaire avec tout autre pays, sauf autorisation de la France.

Les pays africains en général sont ceux qui ont le moins d'alliances militaires régionales.

La plupart des pays n'ont que des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs ! (drôle, mais on ne peut pas faire mieux !).

Dans le cas de la France ex-colonies, la France leur a interdit de chercher une autre alliance militaire que celle qu'elle leur offrait.

 

 

#11. Obligation de s'allier à la France en cas de guerre ou de crise mondiale

Plus d'un million de soldats africains ont combattu pour la défaite du nazisme et du fascisme pendant la seconde guerre mondiale.

Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée, mais quand on pense qu'il n'a fallu que 6 semaines à l'Allemagne pour vaincre la France en 1940, la France sait que les Africains pourraient être utiles pour combattre pour la "Grandeur de la France" à l'avenir.

Il y a quelque chose de presque psychopathique dans la relation de la France avec l'Afrique.

D'abord, la France est gravement dépendante du pillage et de l'exploitation de l'Afrique depuis l'époque de l'esclavage. Ensuite, il y a ce manque total de créativité et d'imagination de l'élite française pour penser au-delà du passé et de la tradition.

Enfin, la France a 2 institutions qui sont complètement figées dans le passé, habitées par des "hauts fonctionnaires" paranoïaques et psychopathes qui répandent la peur de l'apocalypse si la France changeait, et dont la référence idéologique vient encore du romantisme du 19ème siècle : ce sont le Ministre des Finances et du Budget de la France et le Ministre des Affaires étrangères de la France.

Ces 2 institutions ne sont pas seulement une menace pour l'Afrique, mais pour les Français eux-mêmes.

 

C'est à nous, Africains, de nous libérer, sans demander la permission, car je n'arrive toujours pas à comprendre par exemple comment 450 soldats français en Côte d'Ivoire ont pu contrôler une population de 20 millions de personnes ?

Posted in: Independent Press
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espritdivin sas
Honte et Profonde Douleur-Empathie, Je Ressens à la lecture de cet article ! Tout en sachant la continuité de l "esclavage économique" depuis l'Indépendance de ces Etats, cet article fait une Excellente Synthèse de cette situation Inacceptable ! Je Suis Être Humain du Peuple de France, marié avec un... View More
21 October, 10:53 am