La recherche Google a mis sur liste noire de nombreux grands sites web conservateurs en les retirant des résultats dans ce qui semble être une nouvelle grande purge de la censure.
Breitbart, le Daily Caller, Infowars, Human Events et Red State ont tous disparu lorsqu’un utilisateur recherche directement ces sites sur Google.com (pas la version FR).
Certains de ces sites ont un petit lien vers leur biographie Wikipédia sur le côté droit, mais sont absents des principaux résultats de recherche.
Les recherches d’articles provenant directement des mêmes sites ne donnent rien ou renvoient à des articles de presse des médias d’entreprise.
Google a blacklisté les principaux sites web conservateurs dans une nouvelle purge de la censure
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Google a blacklisté les principaux sites web conservateurs dans une nouvelle purge de la censure
Breitbart, le Daily Caller, Human Events & Infowars ont tous disparu tous des résultats du moteur de recherche.
La recherche Google a mis sur liste noire de nombreux grands sites web conservateurs en les retirant des résultats dans ce qui semble être une nouvelle grande purge de la censure.
Breitbart, le Daily Caller, Infowars, Human Events et Red State ont tous disparu lorsqu’un utilisateur recherche directement ces sites sur Google.com (pas la version FR).
Certains de ces sites ont un petit lien vers leur biographie Wikipédia sur le côté droit, mais sont absents des principaux résultats de recherche.
Les recherches d’articles provenant directement des mêmes sites ne donnent rien ou renvoient à des articles de presse des médias d’entreprise.
Le fait que la purge ait lieu moins de quatre mois avant l’élection présidentielle est un pavé dans la marre concernant la prétention de Google que c’est une plateforme non partisane.
En 2018, Sundar Pichai, le PDG de Google, a répondu aux allégations selon lesquelles le personnel avait joué sur les résultats de recherche pour afficher un parti pris en faveur de l’immigration en affirmant : « Nous ne biaisons pas nos produits pour favoriser un quelconque agenda politique ».
Lors d’une commission judiciaire ultérieure de la Chambre, Pichai a de nouveau affirmé que la politique de Google était non partisane.
Avec Google qui a apparemment mis sur liste noire une série de grands sites web conservateurs, ces affirmations semblent maintenant ridicules.
Nous ne devrions cependant pas être trop choqués étant donné que lors de la première réunion de tout le personnel de Google après les élections de 2016, la société a juré de faire tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher que Trump ne l’emporte à nouveau.