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La Maison Blanche incite les internautes à dénoncer «la censure» sur les réseaux sociaux POLITIQUE Donald Trump souhaite démontrer que les géants d’Internet pratiquent une discrimination présumée contre les utilisateurs de droite Elle dénonce la partialité des géants d’Internet. La Maison Blanche a accru ce mercredi son offensive contre les réseaux sociaux en lançant une campagne inédite incitant les internautes à témoigner de toute censure qu’ils auraient subi de la part de Facebook, YouTube ou Twitter. Même si cette initiative dit s’adresser à tous, « quelles que soient vos opinions », elle s’inscrit dans la volonté de Donald Trump de démontrer que ces géants technologiques pratiquent une discrimination présumée contre les utilisateurs de droite. « Trop d’Américains ont vu leurs comptes suspendus, interdits ou dénoncés frauduleusement pour d’obscures "violations" des règles d’utilisation », justifie la Maison Blanche. « Partagez votre histoire avec le président Trump » Le site officiel de l’exécutif américain invite les personnes souhaitant relater leur mésaventure à cliquer sur un lien dédié pour y livrer par écrit leur expérience. « Partagez votre histoire avec le président Trump », suggère la Maison Blanche, en s’adressant aux internautes convaincus d’avoir été victimes d’un « préjugé politique ».   Tout en ayant fondé son ascension politique et sa communication présidentielle sur son compte Twitter, Donald Trump dénonce fréquemment une « collusion » des géants technologiques avec la gauche. Il a notamment accusé Google de truquer les résultats de son moteur de recherche au profit selon lui des médias de gauche. D’autres élus républicains lui ont emboîté le pas et dénoncé, sans preuves à l’appui, la « partialité » des géants de l’Internet, qui pour leur part se défendent de tout parti pris politique. Source : https://www.20minutes.fr/high-tech/2520823-20190518-maison-blanche-incite-internautes-denoncer-censure-reseaux-sociaux?fbclid=IwAR0N5WqZgk9yioiQyVq3oYUf9PdWmVXRglA6bfELXWVm3ZoHZBX24HHTHYU
Sous couvert de lutter contre les fake news, Google a décidé de supprimer de son Play Store toutes les applications faisant référence à la Covid-19. De nombreux développeurs ont disparu du système Android qui équipe de nombreux smartphones. Certains y voient une atteinte à la liberté d’expression. Le magasin d'application Google Play se trouve sur les téléphones et tablettes Android.• Crédits : Mateusz Slodkowski/SOPA Images/LightRocket - Getty L’information a provoqué quelques remous dans la communauté des développeurs d’applications. Le 16 mai 2020, le fondateur de Podcast Addict, un gestionnaire de podcasts, apprend que son application vient d’être suspendue de la plateforme Play Store de Google Android : autrement dit, qu’il n’est plus possible de la télécharger. Le choc est rude. Podcast Addict, ce sont près de deux millions et demi d’utilisateurs.  "Cette application n’aurait pas dû être retirée" La pilule est d’autant plus amère que les raisons de ce retrait interrogent. L’application dont il est question propose à l’écoute des programmes qui parlent de la pandémie. Rien de plus normal à priori dans le contexte que l’on connaît. Mais le problème, c’est que Google a décidé de suspendre de sa plateforme toute application faisant référence au coronavirus. Officiellement, pour lutter contre les fausses nouvelles, et éviter la prolifération d’applications douteuses, comme cela avait été le cas avec les applications sauvages de téléchargement d’attestations dérogatoires qu’on a vu apparaître lors du confinement. Désormais, lorsque l’on tape les mots "coronavirus" ou "Covid" dans la barre de recherche de Play Store sur les smartphones gérés par Android, aucune proposition n’est faite à l’utilisateur, à l’exception de quelques applications validées par des organismes officiels, comme l’OMS ou la Croix Rouge. Car Google n’a pas simplement banni toute référence au virus. Il a aussi pris un parti radical : celui de considérer que seule la parole officielle a désormais droit de cité sur sa plateforme. Pour Podcast Addict, l’affaire s’est bien terminée. Après que son administrateur a fait appel de cette décision, le 19 mai, Google l’a rétablie dans son catalogue. Pour éteindre l’incendie, Hiroshi Lockheimer, le patron du système Android, se fend alors d’un tweet d’excuses : "Nous en sommes encore en train de faire quelques réglages dans nos procédures de lutte contre la désinformation, mais cette application n’aurait pas dû être retirée."  Affaire classé pourrait-on donc se dire ? Pas vraiment en fait. La cellule investigation de Radio France a en effet pu établir que Podcast Addict n’est que l’arbre qui cache la forêt. Dans la réalité, la nouvelle politique de Google a contribué à écarter de son Play Store de nombreux autres développeurs qui n’ont rien à voir avec l’abus d’une situation de crise, ou la propagation de fausses nouvelles, comme ce concepteur de jeu : Pour Google, seul un gouvernement a le droit de parler de la Covid-19 Autre exemple : Tim Autin, âgé aujourd’hui de 30 ans. Il y a cinq ans, ce passionné de photographie qui réside dans le Var a mis au point une application de randonnée, E-walk, qui permet notamment de télécharger des cartes IGN et de connaître sa position lorsqu’on se balade en pleine nature, même lorsque son téléphone est hors connexion. L’application est gratuite. Comme beaucoup, elle est financée par de la publicité. Rien de véritablement subversif. Sauf que ce passionné d’innovation a eu la "mauvaise idée" d’intégrer à son application, avec le déconfinement, une fonctionnalité supplémentaire permettant aux randonneurs de vérifier qu’ils se trouvent bien dans un rayon de 100 kilomètres autour de leur domicile. Un nouveau service lié à la Covid-19 en quelque sorte… Résultat : le 19 mai 2020, lui aussi a la désagréable surprise de voir son application disparaître du Play Store de Google. Le mail qu’il reçoit lui indique : "Les applications faisant référence ou allusion à la Covid-19, sous quelque forme que ce soit, ne seront approuvées pour être distribuées par Google, que si elles sont publiées, commandées ou autorisées par des organismes gouvernementaux, ou des organismes de santé publique." Résultat, ses ressources ont été coupées, alors que les frais qu’il paye pour ses serveurs, eux, courent toujours. Mais Tim Autin n’est pas un cas particulier. Une application belge proposant des émojis (des dessins figuratifs) invitant à se laver les mains, et à prendre des mesures de précautions a, elle aussi, été retirée. Et il semble que l’algorithme de Google pousse le zèle très loin. Ainsi, Médéric Degoy, un conseiller municipal du village de Sournia dans les Pyrénées-Orientales, avait lui décidé de lancer un réseau social dédié aux mairies, pour permettre aux élus de dialoguer entre eux, de diffuser les conseils municipaux en vidéo, ou d’initier des consultations auprès des citoyens par exemple. Cette initiative 100 % française aurait pu permettre aux mairies d’échapper à la domination de Facebook. L’élection des nouveaux maires lui semblait être une occasion idéale pour donner le coup d’envoi de ce nouveau réseau. Le 12 mai dernier, cependant, c’est la douche froide. Il reçoit un mail lui indiquant que son application a été suspendue pour cause de Covid. "Je ne l’avais pourtant pas encore officiellement lancée. Il n’y avait donc aucun contenu Covid, ni publication qui auraient pu y faire référence, s’insurge-t-il. Cela ressemble à une énorme erreur de leur part. Moi, j’appelle ça de la bêtise artificielle." "C’est la liberté d’expression qui est en cause" Médéric Degoy a, comme les autres, fait appel de cette décision. Mais 14 jours plus tard, toujours aucune réponse. "Je les ai contactés par Twitter. Je suis ensuite contacté par un robot qui me raconte n’importe quoi. Trois jours après, quelqu’un me dit qu’il est désolé. Trois jours après, on me dit qu’on fait suivre ma demande. Et puis aucune réponse. On a l’impression d’être dans Brazil !" Ces derniers jours, la liste de ces développeurs victimes de Google s’est allongée, et elle inclue tous types de services : jeux, podcasts, vidéos et même fitness. Or, "15 jours d’absence sur Play Store, pour certaines entreprises, c’est dramatique", souligne pourtant Tim Autin. Au-delà du temps que Google peut mettre à répondre et réparer les erreurs qui ont pu être commises, se pose aussi une question de fond. "Quelle autorité ont-ils pour faire ça ?, s’interroge Médéric Degoy. On tombe dans la logique des avocats à l’américaine où on se borde dans tous les sens. Ces boîtes-là sont devenues de gigantesques administrations qui ont un contrôle régalien, et qui décident de ce qui est vrai et de ce qui est faux." Une approche qui peut d’autant plus surprendre que le moteur de recherche de Google, lui, se nourrit d’informations sur l’épidémie de la Covid-19. C’est une source de revenus importante pour ce géant du net. D’un côté, donc, tout peut être dit et publié, tandis que sur les smartphones, seuls les gouvernements détiendraient la vérité ? "Sur le principe, ce n’est pas acceptable, commente Tim Autin. C’est aussi la liberté d’expression qui est en cause dans cette affaire." Contacté, Google n'a pas répondu à nos sollicitations. Cellule investigation de Radio France        
La police confirme la découverte d'un «supermarché pour enfants» utilisé par Elite Pedo Ring Des politiciens d'élite européens et internationaux, des juges et des célébrités sont des pédophiles qui achètent des enfants dans un «supermarché pour enfants» déguisé en orphelinat au Portugal, selon un ancien gardien de l'orphelinat. Le gardien, connu uniquement sous le nom de Bibi, s'est présenté pour exposer les pratiques écoeurantes de la Casa Pia (Maison des Pieux) et affirme avoir vu des enfants «livrés» à des politiciens et diplomates de haut niveau, ainsi qu'à des Européens et des internationaux célébrités et membres de la magistrature. L'orphelinat est contrôlé par un médecin conducteur de Ferrari qui rend visite aux enfants pour décider lesquels seront vendus à des membres de haut rang de la société portugaise et internationale. Daily Mail rapporte : Lorsque les enfants de l'orphelinat le plus célèbre du Portugal ont entendu la voiture de sport rugir dans l'allée, la peur a envahi les dortoirs. Le bruit ne pouvait signifier qu'une seule chose: l'homme connu sous le nom de The Doctor venait appeler. Pourtant, ce médecin n'avait aucune intention d'adhérer à l'ancien serment d'Hippocrate. Au lieu de cela, en arrivant à la Casa Pia (Maison des Pieux), un orphelinat de Lisbonne du 17ème siècle où plus de 4000 enfants sont pris en charge chaque année derrière de hauts murs de pierre, le médecin convoquait des garçons et des filles sélectionnés de leurs lits pour des examens une nuit par semaine . Dans la mesure du possible, il a choisi des sourds-muets. Après avoir vérifié que les enfants ne souffraient d'aucune infection sexuelle, le médecin a été rejoint par le gardien de l'orphelinat, connu sous le nom de Bibi, qui a conduit les malheureux enfants à l'extérieur dans une camionnette en attente. Avec le médecin dans sa Ferrari rouge, Bibi a conduit la camionnette dans les maisons prestigieuses de certains des principaux membres de la société de Lisbonne - allant des ministres du gouvernement portugais et des diplomates de haut rang, aux célèbres stars de la télévision et aux membres de la magistrature. Là, les enfants ont été abusés sexuellement à plusieurs reprises. Certains auraient été drogués pour les rendre conformes; d'autres étaient remplis d'alcool. Cela a duré des années. Des agressions ont été filmées; des photos d'une attaque ont par la suite été trouvées au domicile d'un pédophile présumé à Paris. Selon les dossiers médicaux, les blessures des victimes étaient horribles - et compatibles avec de graves agressions sexuelles et viols. Dans les déclarations des témoins, beaucoup ont pu décrire dans les moindres détails les maisons où ils ont été emmenés et identifier les marques sur les corps de leurs agresseurs. L'existence de ce soi-disant «cercle magique» de l'establishment portugais, prétendument impliqué dans un réseau pédophile international utilisant des garçons et des filles de Casa Pia, a été comparée la semaine dernière à un tremblement de terre attendant de secouer le Portugal à ses fondations. De nouvelles allégations sur l'ampleur du réseau seront soumises au plus haut tribunal du pays dans les prochaines semaines. Au milieu de rumeurs de liens avec d'autres gangs de pédophiles en Europe et aux États-Unis, des experts internationaux sur les délits sexuels et les meurtres d'enfants devraient comparaître devant le tribunal lors de la réouverture de l'affaire, quatre ans après qu'un groupe de victimes a rompu un silence de plus de 30 ans . Cela prouve ce que les agences internationales du crime soupçonnent depuis longtemps: le Portugal est devenu un aimant pour les pédophiles prédateurs du monde entier, utilisant les lois laxistes du pays et s'attaquant au nombre élevé d'enfants pauvres et abandonnés. Pedro Namora, un ancien orphelin de Casa Pia qui a été témoin de 11 viols sur des compagnons orphelins, au cours desquels ils ont été attachés à leurs lits, estime que des éléments de la force ont conspiré pour réprimer les scandales, craignant de nuire à la réputation du pays. «Le Portugal est un paradis pour les pédophiles», a déclaré M. Namora, désormais avocat, faisant campagne au nom des victimes de la Casa Pia. «Si tous les noms sortent, ce sera un tremblement de terre au Portugal. Il y a un réseau massif et sophistiqué en jeu ici - allant du gouvernement au pouvoir judiciaire et à la police. » «Le réseau est énorme et extrêmement puissant. Il y a des magistrats, des ambassadeurs, des policiers, des politiciens - tous ont acheté des enfants à Casa Pia. Il est extrêmement difficile de décomposer cela. Ces gens se couvrent mutuellement parce que si l'un est arrêté, ils sont tous arrêtés. Ils ne veulent que personne ne le sache. » Aujourd'hui âgé de 54 ans, M. Namora a vu des amis sombrer dans l'alcoolisme, la toxicomanie et la mort après leurs expériences traumatisantes d'enfance à Casa Pia. "J'étais le seul à avoir réussi", a-t-il déclaré. "Que pouvais-je faire? Je ne pouvais pas garder le silence. " Il a reçu des menaces de mort et des avertissements sur ce qui arrivera à ses propres enfants, après avoir pris l'affaire lorsqu'un orphelin appelé «Joel» s'est approché de lui, affirmant que des pédophiles éminents utilisaient Casa Pia comme «supermarché pour enfants». M. Namora a été menacé après s'être battu au nom des enfants maltraités avec lesquels il a grandi. Après avoir été appelé par un inconnu lui proposant de rembourser son hypothèque, il a été informé des mouvements exacts de ses trois enfants et a averti qu'eux-mêmes et leur père finirait horriblement à moins qu'il ne se taise. Homme ouvert et chaleureux, M. Namora est un théoricien du complot peu probable, mais il pense que l'affaire, qu'il a révélée en 2003, soulignera l'attrait croissant du Portugal pour les pédophiles, qui a vu six enfants disparaître ces dernières années. L'une des raisons de cette attirance est que la loi a été assouplie tranquillement l'année dernière, avant le prochain procès, ce qui signifie que les récidives contre le même enfant ne mériteraient qu'une seule accusation - et une peine moins sévère. L'enquête initiale a été mal gérée lorsque des allégations de mauvais traitements ont été faites pour la première fois à la Casa Pia en 1982. Carlos Silvino, l'homme connu sous le nom de Bibi, était lié à des viols et des agressions, mais la police a «perdu» des photos montrant d'éminents politiciens de Lisbonne avec lui et les enfants . Il n'a été inculpé qu'après que des dizaines d'enfants se soient manifestés en 2003. Ils ont également accusé Jorge Ritto, ancien ambassadeur du Portugal, d'avoir maltraité des enfants. Il est apparu que Ritto avait également été renvoyé chez lui en disgrâce suite à un détachement en Allemagne après un incident impliquant un jeune garçon dans un parc. Le complot ne s'est pas arrêté là. Teresa Costa Macedo, ancienne secrétaire d'État à la famille, a révélé qu'elle était au courant des attentats du début des années 80 et qu'elle avait alerté le général Antonio Ramalho Eanes, alors président portugais, des allégations. Mme Costa Macedo, qui est restée silencieuse pendant deux décennies après avoir été avertie qu'elle serait tuée si elle parlait, dit maintenant que le gardien «n'était qu'un élément d'un vaste réseau pédophile qui impliquait des personnes importantes dans notre pays. Ce n'était pas seulement lui [le gardien]. Il était un proxénète d'enfants pour des personnalités qui vont des diplomates et des politiciens aux personnes liées aux médias ». Alors qu'il était encore ministre du gouvernement, Costa Macedo a remis à la police «des photographies, un récit des méthodes utilisées pour sortir les enfants de l'orphelinat et des témoignages d'un certain nombre d'enfants». Beaucoup de photographies ont été retrouvées chez l'ex-ambassadeur Jorge Ritto. La police aurait trouvé quatre enfants enfermés qui avaient disparu de Casa Pia. Sous garde armée dans un refuge la semaine dernière, Bibi pouvait se considérer comme un homme chanceux. Il était initialement accusé d'avoir agressé sexuellement plus de 600 enfants. Cela a depuis été réduit à 30. Silvino a fait allusion au haut niveau du complot en disant: "Ils ne peuvent pas me toucher - il y a trop de gens impliqués." Après l'arrestation de Ritto, la police a interrogé Carloz Cruz, connu sous le nom de Télévision ”, et Joao Diniz, médecin de la haute société et conducteur de la Ferrari rouge. Le réseau serait allé plus loin. Paulo Pedroso, un ministre du gouvernement, a été arrêté et interrogé sur 15 cas d'abus sexuels sur des enfants. Au milieu des allégations selon lesquelles les réseaux pédophiles sont devenus endémiques au Portugal - la police européenne Interpol a désigné le pays comme l'un des pires contrevenants en Europe - il est à craindre que le scandale de la Casa Pia éclipse le tristement célèbre cas de Marc Dutroux en Belgique, dans lequel le l'arrestation d'un pédophile notoire et d'un meurtrier d'enfants a révélé une image sordide de la corruption judiciaire et politique. La culture dans laquelle un tel réseau de maltraitance des enfants a été autorisé à fonctionner est la même culture qui imprègne tout le Portugal. Est-ce cette attitude qui a mené à l'enquête initiale ratée dans l'affaire Madeleine McCann? SOURCE https://newspunch.com/police-child-supermarket-pedo-ring/?fbclid=IwAR1dL2yQqOPf0oVSgsT91W5Gt2So5qtyvmmi3O0tcUckXpmMHLK3-JviHtM  
Claude LMP
.Posted in ACTION DE MOBILISATION STOP 5G
NATIONAL ACTION MOBILISATION STOP 5G   Sans votre ACTION urgente et DIRECTE, nous n'atteindrons RIEN et avec nos enfants, nous serons à la merci du diabolique PLAN GÉNOCIDE pour éclaircir la population mondiale. Nous ne recherchons pas l'honneur pour nous-mêmes et sommes prêts à travailler avec tout le monde pour atteindre le même objectif: plus de rayonnement 5G mortel aux Pays-Bas. Nous ne sommes pas un groupe d'activistes politiques d'extrême gauche, ne portons pas de vêtements en aluminium, ne souffrons pas du Wi-Fi ordinaire, mais sommes des citoyens ordinaires comme vous qui ont découvert ce que l'élite mondialiste a inventé et sont déterminés à y mettre un terme. Départ aux Pays-Bas. Nous n'agissons que sur la base que le déploiement de la 5G aux Pays-Bas est une violation flagrante de la constitution et devrait être poursuivi le plus rapidement possible. Le danger de la 5G décrit ici n'est PAS une théorie du complot, mais une MISE EN ŒUVRE COMPLÈTE. Nous combattons un ennemi invisible. Nous sommes du BON côté et GAGNERONS. NOUS SOMMES LES BONS GARS, NOUS GAGNERONS LA STRATÉGIE ÉTAPE 1: COLLECTEZ LA PREUVE: Voici ce que vous devez faire MAINTENANT: 1. copiez les textes ci-dessous et enregistrez-les (word etc) 2. Entrez vos coordonnées aux endroits désignés dans les exemples de lettres. 3. Découvrez qui, dans votre lieu de résidence, est d'accorder des permis pour l'installation (entre autres) de mâts 5G, appelez cette personne vous-même avec la question sur SON ADRESSE où vous pouvez envoyer des informations écrites urgentes sur la personne qui a la permission accordé ou est en tout cas autorisé à déployer la 5G. Notez le NOM et l'ADRESSE. Ne posez pas de questions, ne discutez pas. Tout ce que vous voulez, c'est recueillir des preuves écrites. 4. Envoyez la PREMIÈRE lettre à la personne qui vient d'être obtenue par courrier recommandé. Indiquez donc clairement le nom auquel vous envoyez la lettre: à l'attention de. Au bas de cette page, faites-nous savoir par commentaire si vous avez envoyé la lettre 1. Utilisez cette demande d' accès à l'information créée par BRILLIANT pour recueillir des preuves de la responsabilité de votre communauté en matière d'EMF, LED, RF et 5G. S'ils n'ont pas d'assurance, c'est LE BANG! PREMIERE LETTRE A ENVOYER EN RECOMMANDÉ AVEC ACCUSÉ DE RECEPTION ILS DOIVENT AVOIR UN ASSURANCE POUR POSER LES ANTENNES, MAIS ILS NE SONT PAS ASSURÉS Cher Monsieur / Madame, Conformément au principe juridique général de l'administration publique, je vous demande de fournir les éléments suivants: Copies de tous les certificats d'assurance responsabilité civile avec ce qui est assuré, les numéros de police, les fournisseurs et les assureurs détenus par [VOTRE MUNICIPALITÉ]. En particulier, assurez-vous qu'il comprend tout ce qui concerne les documents «responsabilité de pollution», «amélioration de politique» et «clauses d'exclusion» liés à l'assurance responsabilité civile commerciale détenue par [VOTRE MUNICIPAL]. Copies du «certificat d'assurance d'indemnisation» de [VOTRE MUNICIPALITÉ] qui comprend les compagnies d'assurance et les assureurs publics qui démontrent que les blessures, les dommages ou les effets néfastes sur la santé peuvent résulter directement ou indirectement, à la suite ou apportés par les champs électromagnétiques, le rayonnement électromagnétique , électromagnétisme, ondes radio ou bruit, rayonnement sans fil RF, rayonnement micro-ondes, équipement et accessoires de rayonnement non ionisant. J'ai besoin de votre déclaration écrite de ce droit de demander des informations concernant le principe général de la divulgation publique et de la liberté d'information. Merci d'avance pour vos efforts, Salutation distinguée, [VOTRE NOM ICI] ÉTAPE 2: ENVOYER AVERTISSEMENT: Voici ce que vous DEVEZ FAIRE APRÈS L' ÉTAPE 1: Après avoir REÇU UNE RÉPONSE ÉCRITE (conservez-la dans un coffre-fort) à votre lettre envoyée à l'étape 1, selon toute probabilité d'une réponse négative, envoyez l'AVERTISSEMENT suivant à la même PERSONNE responsable. 1. copiez le texte ci-dessous et enregistrez-le (mot, etc.) 2. Remplissez vos coordonnées, aux endroits désignés dans les exemples de lettres. 3. Prenez l'adresse du responsable / de la personne responsable et la lettre d'adresse 2. 4. Renvoyez la DEUXIÈME lettre à la personne concernée par courrier recommandé . Indiquez donc clairement le nom auquel vous adressez la lettre: à l'attention de. Au bas de cette page, faites-nous savoir par réponse si vous avez envoyé la lettre 2. Une fois cette lettre reçue, s'il n'interrompt pas immédiatement le déploiement , qui est chargé d'autoriser le déploiement, la 5G est COUPABLE D'UN FAIT CRIMINEL TRÈS GRAVE . Après tout, vous venez de lui signaler une MORT TRÈS GRAVE . Ainsi, à la lecture de votre 2ème lettre, cette personne ne peut JAMAIS prétendre ignorer les dangers mortels de l'utilisation de la 5G à un stade ultérieur lors d'accusations pénales. DANS cette position, nous les voulons. Clairement? NOUS SOMMES LES BONS GARS = NOUS GAGNERONS Passez à l'action : résistance juridique à la 5G ... BLUE PRESSURE: LA MISE EN ŒUVRE DE LA TECHNOLOGIE 5G EST UN CRIME INVISIBLE Cher Monsieur Je voudrais attirer votre attention sur le fait scientifiquement prouvé que le déploiement de la technologie 5G et des actifs de support LED expérimentaux sont des infractions pénales en vertu des lois nationales et internationales, et un crime contre l'humanité et l'environnement. PHE a déjà mis en garde contre les risques pour la santé. Votre implication dans l'engagement de la communauté au sens large, la tromperie, la désinformation et la dissimulation et le soutien continu à ce crime ont été notés. Tout soutien supplémentaire de cette infraction que vous fournissez, après avoir été informé par cette lettre, démontrera votre véritable intention à l'égard de ce crime. Pour réduire votre implication, nous vous demandons de quitter votre rôle dans le déploiement de la 5G afin que les principaux architectes de cette entreprise criminelle puissent être tenus responsables, tandis que ceux contraints de participer peuvent être considérés comme ayant agi de manière moins sérieuse. rouleau. La loi de 1861 sur les accessoires et les complices, telle que modifiée par la loi de 1977 sur le droit pénal, s'applique à tous ceux dont on sait qu'ils sont conscients de ce crime des droits de l'homme, mais qui n'ont pas agi conformément à la loi. Salutation distinguée [Ajoutez votre nom]    
  Le ministère russe de la Santé a annoncé qu'il n'interdirait pas l'hydroxychloroquine, considérée par certains comme potentiellement dangereuse. Le médicament, présenté par le président américain Trump, a été suspendu pour son utilisation dans le traitement de Covid-19 en France, en Italie et en Belgique. Jeudi, le ministère russe de la Santé a déclaré sur son site Internet que l'efficacité et l'innocuité de l'hydroxychloroquine dans le traitement du coronavirus sont continuellement surveillées, mais le ministère ne prend aucune mesure pour l'interdire. Cette décision contraste fortement avec les mesures prises par certains pays européens qui, en raison de problèmes de sécurité, ont complètement arrêté la prescription du médicament pour lutter contre le coronavirus. "Plusieurs médicaments sont utilisés pour traiter les patients atteints de Covid-19", selon un communiqué du ministère. "Parmi ces médicaments se trouve l'hydroxychloroquine, qui, en raison de son effet anti-inflammatoire et de son effet sur le système immunitaire, est utilisée depuis des décennies pour traiter le paludisme, la polyarthrite rhumatoïde et le lupus érythémateux disséminé."   L'Espagne n'interdira pas l'hydroxychloroquine, contrairement à d'autres pays européens effrayés par les effets secondaires signalés L'Italie et la Belgique se joignent à la France pour rejeter l'hydroxychloroquine pour le traitement Covid-19 Selon le ministère de la Santé, les recommandations d'utilisation du HCQ proviennent de diverses études étrangères confirmant son efficacité, et il a été inclus dans plusieurs directives cliniques nationales et internationales, y compris en Russie. Dans l'état actuel des choses, les médecins russes sont en mesure de donner le médicament aux patients qui donnent leur consentement éclairé, en tenant compte des effets secondaires potentiels et des facteurs de risque. "Selon les résultats de la surveillance de l'innocuité des médicaments à base d'hydroxychloroquine pendant la pandémie de Covid-19 en Fédération de Russie, il n'y a eu aucun résultat fatal associé à une perturbation du rythme chez les patients atteints de HCQ", a indiqué le ministère. Le médicament, le plus souvent utilisé pour traiter le paludisme, a pris de l'importance le 19 mars lorsque le président américain Donald Trump a fait la promotion du médicament comme traitement potentiel pour Covid-19. Le 25 mai, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé qu'elle suspendrait ses tests d'hydroxychloroquine de ce qu'elle a appelé une «abondance de prudence». HCQ n'était qu'une partie d'une étude plus approfondie des traitements expérimentaux contre les coronavirus. La décision de l'OMS d'arrêter les tests est intervenue après une étude publiée dans la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet , qui a révélé une augmentation du taux de mortalité chez les patients prenant le médicament. Suite à l'arrêt des essais de l'OMS, plusieurs pays, dont la France, l'Italie et la Belgique, ont choisi de suspendre la prescription du médicament pour Covid-19. D'autres pays, comme l'Espagne, ont décidé de continuer à donner du HCQ aux patients atteints de coronavirus. Vous pensez que vos amis seraient intéressés? Partagez cette histoire!