Celles et ceux qui ont fait le choix de l'analyse, d'ouverture d'esprit, de faire preuve d'intelligence, ont parfaitement compris que nous vivons une période de grands changements à tous les niveaux, que cette pandémie de coronavirus n'est ni plus ni moins qu'un test à l'échelle mondiale, de notre aptitude à nous soumettre à de nouvelles règles de vie, de nouvelles normes sociétales dignes d'une dictature.
C'est une pratique bien connue de la part des dirigeants de ce monde : La politique de la peur consiste à profiter de l'ignorance des gens pour faciliter l’adoption de lois sécuritaires, en réduisant ainsi les libertés individuelles, dans le but d'assurer leur maintien en place. Les citoyens, quant à eux, en échange d’une hypothétique sécurité, grâce à la manipulation mentale de masse (via les médias), sont conditionnés pour renoncer progressivement à leurs libertés, à accepter tout ce qu'ils refuseraient d'accepter s'ils étaient moins ignorants.
Les discours alarmistes et anxiogènes ainsi que la désignation d’ennemis intérieurs, invisibles, de pandémies, servent uniquement à légitimer des mesures disproportionnées qui portent atteinte aux droits fondamentaux, dans le but de mieux contrôler la population. La classe politique, impuissante devant l’oligarchie financière (les lobbys pharmaceutiques, de l'armement, du pétrole), qui dirigent l’économie mondiale, a besoin, pour rester au pouvoir d’agiter le spectre de la peur pour détourner l’attention du citoyen de la vérité et des choses essentielles de la vie.
S'il est une vérité que nul ne peut nier, c'est que l’ignorance est un vecteur d’absurdité congénitale, qui nous à conduit à créer des générations d'enfants qui en sont réduits à n'être rein d'autre que le reflet de nous-mêmes : « des esclaves dociles du système ! »
Il semble vain d’imaginer, submergés par ces nouvelles « normes » considérées à tort comme nécessaires par une large majorité, que celle-ci puisse afficher un intérêt réel pour de vraies valeurs qui permettraient de rendre possible un réel changement de paradigme. Y croire encore semble relever de plus en plus de l’utopie. Non, ce n’est pas faire preuve de pessimisme de ma part que d’affirmer cela, c’est malheureusement une bien triste réalité à laquelle nul ne peut déroger. Plus nous avançons dans le temps, plus nous assistons à une marche accélérée vers un désœuvrement caractérisé.
Penser et agir par et pour nous-mêmes, réfléchir en même temps à certaines situations, analyser ces dernières avec le souci de savoir si elles correspondent au bien commun, réclame une volonté sincère d'appliquer des valeurs phares qui, si elles venaient à être enfin appliquées comme il se doit, équivaudrait à court-circuiter les projets de destruction du vivant planifiés par une poignée d'êtres insensibles et irrespectueux, que nous devons mettre hors d'état de nuire au plus vite.
Ce qui est important à préciser n’est pas tant le fait qu’un pourcentage majoritaire de la population soit conditionné par les médias « officiels » aux ordres, mais que la minorité résistante qui s’active à diffuser des informations ou à faire des observations nécessaires, autres que celles ressassées par lesdits médias, pour éveiller l’esprit critique gagne chaque jour un peu plus d’affinités.
Dans cette société liberticide où tout est sous contrôle, nous avons la chance d'avoir accès aux réseaux sociaux qui nous permettent encore, pour l’instant, d’exprimer toute remise en cause indispensable des doctrines perverses et tyranniques de cette caste satanique. Ce travail d’éveil doit être inlassablement entretenu et encouragé car il est d’utilité publique.
N’y a-t-il pas une étonnante similitude de faits en ces derniers mois de fabrication d’une terreur collective sous prétexte de « pandémie » qui institue délibérément le postulat du doute dans tous les esprits par l’organisation d’une cacophonie ministérielle sous couvert de publications subversives et d’avis d’innombrables commissions Théodule d’expertises sanitaires ?
Commissions aussi inutiles que destructrices du savoir acquis par l’expérience sur le terrain, peuplées de pseudo-scientifiques dans le conflit d’intérêt passé ou permanent tant il s’avère que la plupart de ces personnes avaient ou ont des liens de services ou de rétributions avec l’empire des laboratoires pharmaceutiques…
Ainsi, il ne peut être invoqué de quelconque théorie du complot envers ceux qui entendent vérifier par eux-mêmes les raisons d’une situation de crise sanitaire dont nombre de paramètres vérifiables ne permettent pas d’affirmer qu’elle est fondée ou encore envers ceux qui interpellent légitimement dans les conditions écrites de la Déclaration des Droits de l’Homme et des Citoyens, visée en préambule de la Constitution, la gouvernance et les institutions afin d’obtenir un éclairage sur la part qu’il convient d’établir entre la défaillance par incompétence d’une prétendue autorité et la corruption de cette autorité par trafic d’influence dont le prolongement cynique va jusqu’à imposer des mesures répressives injustifiées à toute une population, des dispositions d’interdictions pour les médecins d’exercer selon le serment d’Hippocrate, outre l’immoralité du grave scandale sanitaire constaté, en particulier dans les maisons de retraites.
Selon cette deuxième branche de l’alternative, il convient alors, jusqu’à preuve du contraire qui doit être exprimée en totale transparence – ce qui n’est pas le cas - de rétablir raisonnablement la vérité : C’est l’état actuel de la gouvernance qui est complotiste à l’égard du peuple et les mesures liberticides prises à son encontre relèvent de ce qui doit être qualifié d’organisation terroriste d’Etats, puisque la situation créée dépasse la notion de tyrannie en raison de l’instrumentalisation et de la manipulation des personnels des gouvernements.
A défaut d’être convenablement informé par le système convenu et très fermé, c’est bien à chacun qu’il appartient d’entreprendre une analyse des différentes sources d’informations, de les enrichir à chaque nouvelle découverte à partager afin de construire une force d’opposition face aux dangers d’une gouvernance qui n’agit pas dans l’intérêt de la population…
Est-il utopique de croire que ce cauchemar prenne fin un jour? Je ne pense pas car pour moi, l'utopie est un rêve qui ne demande qu'à devenir réalité.
Comment peut-on encore accepter aujourd’hui, en 2021, dans une société prétendue démocratique, que l’homme ne soit rien de plus qu’un objet d’aliénation, que son travail soit organisé de telle sorte que ce qu’il fait, soit un travail d’esclave visant à enrichir une classe sociale n'ayant jamais produit aucune richesse, et ne s'est jamais sâli les mains ? Comment peut-on encore accepter que ce système crée toujours plus de pauvreté qu'il ne crée d'emplois?
Comment envisager l'avenir sereinement, tout en étant les victimes directes des confrontations intestines qui se livrent chaque jour sur la place publique, par une élite ayant pour but de faire passer une seule et unique loi que tout le monde se doit d’accepter sans broncher : La loi des plus riches ?
Quel avenir les jeunes peuvent-ils encore envisager, en ayant chaque jour sous les yeux l’image de leurs parents galérant sans cesses pour parvenir à boucler leurs fins de mois ?
On ampute aujourd'hui des postes clés pour gagner 3 milliards par ci par là ( Retraites , allocations familiales etc. ). On augmente les Impôts, la TVA, les radars, les PV, l'électricité, la taxe d'habitation, la taxe foncière, la redevance TV, on continue l'ascension des taxes de consommation sur le diésel, le tabac, et pendant ce temps- là, les politiques se "pavanent" avec les indemnités, les cumuls de mandats, les frais de fonctionnement, les retraites indexées, doublées etc.
Comprenez une bonne fois pour toutes chers amis, que s'ils ont autant de pouvoir, s'ils se servent de nous avec autant d'aisance, c'est tout simplement parce que nous n'assumons pas nos responsabilités et que nous nous satisfaisons de notre ignorance et indolence!
Le cœur du problème est donc au plus profond de chacun de nous. Si nous ne nous changeons pas et si nous ne transmuons pas nos faiblesses, il ne sert à rien d'éliminer ces êtres, car il y en aurait aussitôt d'autres qui se chargeraient de nous, puisque nous acceptons d'être manipulés et dominés!
