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240 scientifiques ont montré que la 5G était DANGEREUSE pour la na
... MoreLa police confirme la découverte d'un «supermarché pour enfants» utilisé par Elite Pedo Ring
Des politiciens d'élite européens et internationaux, des juges et des célébrités sont des pédophiles qui achètent des enfants dans un «supermarché pour enfants» déguisé en orphelinat au Portugal, selon un ancien gardien de l'orphelinat.
Le gardien, connu uniquement sous le nom de Bibi, s'est présenté pour exposer les pratiques écoeurantes de la Casa Pia (Maison des Pieux) et affirme avoir vu des enfants «livrés» à des politiciens et diplomates de haut niveau, ainsi qu'à des Européens et des internationaux célébrités et membres de la magistrature.
L'orphelinat est contrôlé par un médecin conducteur de Ferrari qui rend visite aux enfants pour décider lesquels seront vendus à des membres de haut rang de la société portugaise et internationale.
Daily Mail rapporte : Lorsque les enfants de l'orphelinat le plus célèbre du Portugal ont entendu la voiture de sport rugir dans l'allée, la peur a envahi les dortoirs.
Le bruit ne pouvait signifier qu'une seule chose: l'homme connu sous le nom de The Doctor venait appeler.
Pourtant, ce médecin n'avait aucune intention d'adhérer à l'ancien serment d'Hippocrate.
Au lieu de cela, en arrivant à la Casa Pia (Maison des Pieux), un orphelinat de Lisbonne du 17ème siècle où plus de 4000 enfants sont pris en charge chaque année derrière de hauts murs de pierre, le médecin convoquait des garçons et des filles sélectionnés de leurs lits pour des examens une nuit par semaine .
Dans la mesure du possible, il a choisi des sourds-muets.
Après avoir vérifié que les enfants ne souffraient d'aucune infection sexuelle, le médecin a été rejoint par le gardien de l'orphelinat, connu sous le nom de Bibi, qui a conduit les malheureux enfants à l'extérieur dans une camionnette en attente.
Avec le médecin dans sa Ferrari rouge, Bibi a conduit la camionnette dans les maisons prestigieuses de certains des principaux membres de la société de Lisbonne - allant des ministres du gouvernement portugais et des diplomates de haut rang, aux célèbres stars de la télévision et aux membres de la magistrature.
Là, les enfants ont été abusés sexuellement à plusieurs reprises. Certains auraient été drogués pour les rendre conformes; d'autres étaient remplis d'alcool.
Cela a duré des années. Des agressions ont été filmées; des photos d'une attaque ont par la suite été trouvées au domicile d'un pédophile présumé à Paris.
Selon les dossiers médicaux, les blessures des victimes étaient horribles - et compatibles avec de graves agressions sexuelles et viols. Dans les déclarations des témoins, beaucoup ont pu décrire dans les moindres détails les maisons où ils ont été emmenés et identifier les marques sur les corps de leurs agresseurs.
L'existence de ce soi-disant «cercle magique» de l'establishment portugais, prétendument impliqué dans un réseau pédophile international utilisant des garçons et des filles de Casa Pia, a été comparée la semaine dernière à un tremblement de terre attendant de secouer le Portugal à ses fondations.
De nouvelles allégations sur l'ampleur du réseau seront soumises au plus haut tribunal du pays dans les prochaines semaines.
Au milieu de rumeurs de liens avec d'autres gangs de pédophiles en Europe et aux États-Unis, des experts internationaux sur les délits sexuels et les meurtres d'enfants devraient comparaître devant le tribunal lors de la réouverture de l'affaire, quatre ans après qu'un groupe de victimes a rompu un silence de plus de 30 ans .
Cela prouve ce que les agences internationales du crime soupçonnent depuis longtemps: le Portugal est devenu un aimant pour les pédophiles prédateurs du monde entier, utilisant les lois laxistes du pays et s'attaquant au nombre élevé d'enfants pauvres et abandonnés.
Pedro Namora, un ancien orphelin de Casa Pia qui a été témoin de 11 viols sur des compagnons orphelins, au cours desquels ils ont été attachés à leurs lits, estime que des éléments de la force ont conspiré pour réprimer les scandales, craignant de nuire à la réputation du pays.
«Le Portugal est un paradis pour les pédophiles», a déclaré M. Namora, désormais avocat, faisant campagne au nom des victimes de la Casa Pia. «Si tous les noms sortent, ce sera un tremblement de terre au Portugal. Il y a un réseau massif et sophistiqué en jeu ici - allant du gouvernement au pouvoir judiciaire et à la police. »
«Le réseau est énorme et extrêmement puissant. Il y a des magistrats, des ambassadeurs, des policiers, des politiciens - tous ont acheté des enfants à Casa Pia. Il est extrêmement difficile de décomposer cela. Ces gens se couvrent mutuellement parce que si l'un est arrêté, ils sont tous arrêtés. Ils ne veulent que personne ne le sache. »
Aujourd'hui âgé de 54 ans, M. Namora a vu des amis sombrer dans l'alcoolisme, la toxicomanie et la mort après leurs expériences traumatisantes d'enfance à Casa Pia. "J'étais le seul à avoir réussi", a-t-il déclaré. "Que pouvais-je faire? Je ne pouvais pas garder le silence. "
Il a reçu des menaces de mort et des avertissements sur ce qui arrivera à ses propres enfants, après avoir pris l'affaire lorsqu'un orphelin appelé «Joel» s'est approché de lui, affirmant que des pédophiles éminents utilisaient Casa Pia comme «supermarché pour enfants».
M. Namora a été menacé après s'être battu au nom des enfants maltraités avec lesquels il a grandi. Après avoir été appelé par un inconnu lui proposant de rembourser son hypothèque, il a été informé des mouvements exacts de ses trois enfants et a averti qu'eux-mêmes et leur père finirait horriblement à moins qu'il ne se taise.
Homme ouvert et chaleureux, M. Namora est un théoricien du complot peu probable, mais il pense que l'affaire, qu'il a révélée en 2003, soulignera l'attrait croissant du Portugal pour les pédophiles, qui a vu six enfants disparaître ces dernières années.
L'une des raisons de cette attirance est que la loi a été assouplie tranquillement l'année dernière, avant le prochain procès, ce qui signifie que les récidives contre le même enfant ne mériteraient qu'une seule accusation - et une peine moins sévère.
L'enquête initiale a été mal gérée lorsque des allégations de mauvais traitements ont été faites pour la première fois à la Casa Pia en 1982. Carlos Silvino, l'homme connu sous le nom de Bibi, était lié à des viols et des agressions, mais la police a «perdu» des photos montrant d'éminents politiciens de Lisbonne avec lui et les enfants .
Il n'a été inculpé qu'après que des dizaines d'enfants se soient manifestés en 2003. Ils ont également accusé Jorge Ritto, ancien ambassadeur du Portugal, d'avoir maltraité des enfants.
Il est apparu que Ritto avait également été renvoyé chez lui en disgrâce suite à un détachement en Allemagne après un incident impliquant un jeune garçon dans un parc.
Le complot ne s'est pas arrêté là. Teresa Costa Macedo, ancienne secrétaire d'État à la famille, a révélé qu'elle était au courant des attentats du début des années 80 et qu'elle avait alerté le général Antonio Ramalho Eanes, alors président portugais, des allégations.
Mme Costa Macedo, qui est restée silencieuse pendant deux décennies après avoir été avertie qu'elle serait tuée si elle parlait, dit maintenant que le gardien «n'était qu'un élément d'un vaste réseau pédophile qui impliquait des personnes importantes dans notre pays. Ce n'était pas seulement lui [le gardien]. Il était un proxénète d'enfants pour des personnalités qui vont des diplomates et des politiciens aux personnes liées aux médias ».
Alors qu'il était encore ministre du gouvernement, Costa Macedo a remis à la police «des photographies, un récit des méthodes utilisées pour sortir les enfants de l'orphelinat et des témoignages d'un certain nombre d'enfants».
Beaucoup de photographies ont été retrouvées chez l'ex-ambassadeur Jorge Ritto. La police aurait trouvé quatre enfants enfermés qui avaient disparu de Casa Pia.
Sous garde armée dans un refuge la semaine dernière, Bibi pouvait se considérer comme un homme chanceux. Il était initialement accusé d'avoir agressé sexuellement plus de 600 enfants. Cela a depuis été réduit à 30.
Silvino a fait allusion au haut niveau du complot en disant: "Ils ne peuvent pas me toucher - il y a trop de gens impliqués."
Après l'arrestation de Ritto, la police a interrogé Carloz Cruz, connu sous le nom de Télévision ”, et Joao Diniz, médecin de la haute société et conducteur de la Ferrari rouge. Le réseau serait allé plus loin. Paulo Pedroso, un ministre du gouvernement, a été arrêté et interrogé sur 15 cas d'abus sexuels sur des enfants.
Au milieu des allégations selon lesquelles les réseaux pédophiles sont devenus endémiques au Portugal - la police européenne Interpol a désigné le pays comme l'un des pires contrevenants en Europe - il est à craindre que le scandale de la Casa Pia éclipse le tristement célèbre cas de Marc Dutroux en Belgique, dans lequel le l'arrestation d'un pédophile notoire et d'un meurtrier d'enfants a révélé une image sordide de la corruption judiciaire et politique.
La culture dans laquelle un tel réseau de maltraitance des enfants a été autorisé à fonctionner est la même culture qui imprègne tout le Portugal.
Est-ce cette attitude qui a mené à l'enquête initiale ratée dans l'affaire Madeleine McCann?
SOURCE
https://newspunch.com/police-child-supermarket-pedo-ring/?fbclid=IwAR1dL2yQqOPf0oVSgsT91W5Gt2So5qtyvmmi3O0tcUckXpmMHLK3-JviHtM
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Sous couvert de lutter contre les fake news, Google a décidé de supprimer de son Play Store toutes les applications faisant référence à la Covid-19. De nombreux développeurs ont disparu du système Android qui équipe de nombreux smartphones. Certains y voient une atteinte à la liberté d’expression.
Le magasin d'application Google Play se trouve sur les téléphones et tablettes Android.• Crédits : Mateusz Slodkowski/SOPA Images/LightRocket - Getty
L’information a provoqué quelques remous dans la communauté des développeurs d’applications. Le 16 mai 2020, le fondateur de Podcast Addict, un gestionnaire de podcasts, apprend que son application vient d’être suspendue de la plateforme Play Store de Google Android : autrement dit, qu’il n’est plus possible de la télécharger. Le choc est rude. Podcast Addict, ce sont près de deux millions et demi d’utilisateurs.
"Cette application n’aurait pas dû être retirée"
La pilule est d’autant plus amère que les raisons de ce retrait interrogent. L’application dont il est question propose à l’écoute des programmes qui parlent de la pandémie. Rien de plus normal à priori dans le contexte que l’on connaît. Mais le problème, c’est que Google a décidé de suspendre de sa plateforme toute application faisant référence au coronavirus. Officiellement, pour lutter contre les fausses nouvelles, et éviter la prolifération d’applications douteuses, comme cela avait été le cas avec les applications sauvages de téléchargement d’attestations dérogatoires qu’on a vu apparaître lors du confinement. Désormais, lorsque l’on tape les mots "coronavirus" ou "Covid" dans la barre de recherche de Play Store sur les smartphones gérés par Android, aucune proposition n’est faite à l’utilisateur, à l’exception de quelques applications validées par des organismes officiels, comme l’OMS ou la Croix Rouge. Car Google n’a pas simplement banni toute référence au virus. Il a aussi pris un parti radical : celui de considérer que seule la parole officielle a désormais droit de cité sur sa plateforme.
Pour Podcast Addict, l’affaire s’est bien terminée. Après que son administrateur a fait appel de cette décision, le 19 mai, Google l’a rétablie dans son catalogue. Pour éteindre l’incendie, Hiroshi Lockheimer, le patron du système Android, se fend alors d’un tweet d’excuses : "Nous en sommes encore en train de faire quelques réglages dans nos procédures de lutte contre la désinformation, mais cette application n’aurait pas dû être retirée."
Affaire classé pourrait-on donc se dire ? Pas vraiment en fait. La cellule investigation de Radio France a en effet pu établir que Podcast Addict n’est que l’arbre qui cache la forêt. Dans la réalité, la nouvelle politique de Google a contribué à écarter de son Play Store de nombreux autres développeurs qui n’ont rien à voir avec l’abus d’une situation de crise, ou la propagation de fausses nouvelles, comme ce concepteur de jeu :
Pour Google, seul un gouvernement a le droit de parler de la Covid-19
Autre exemple : Tim Autin, âgé aujourd’hui de 30 ans. Il y a cinq ans, ce passionné de photographie qui réside dans le Var a mis au point une application de randonnée, E-walk, qui permet notamment de télécharger des cartes IGN et de connaître sa position lorsqu’on se balade en pleine nature, même lorsque son téléphone est hors connexion. L’application est gratuite. Comme beaucoup, elle est financée par de la publicité. Rien de véritablement subversif. Sauf que ce passionné d’innovation a eu la "mauvaise idée" d’intégrer à son application, avec le déconfinement, une fonctionnalité supplémentaire permettant aux randonneurs de vérifier qu’ils se trouvent bien dans un rayon de 100 kilomètres autour de leur domicile. Un nouveau service lié à la Covid-19 en quelque sorte…
Résultat : le 19 mai 2020, lui aussi a la désagréable surprise de voir son application disparaître du Play Store de Google. Le mail qu’il reçoit lui indique : "Les applications faisant référence ou allusion à la Covid-19, sous quelque forme que ce soit, ne seront approuvées pour être distribuées par Google, que si elles sont publiées, commandées ou autorisées par des organismes gouvernementaux, ou des organismes de santé publique." Résultat, ses ressources ont été coupées, alors que les frais qu’il paye pour ses serveurs, eux, courent toujours.
Mais Tim Autin n’est pas un cas particulier. Une application belge proposant des émojis (des dessins figuratifs) invitant à se laver les mains, et à prendre des mesures de précautions a, elle aussi, été retirée. Et il semble que l’algorithme de Google pousse le zèle très loin. Ainsi, Médéric Degoy, un conseiller municipal du village de Sournia dans les Pyrénées-Orientales, avait lui décidé de lancer un réseau social dédié aux mairies, pour permettre aux élus de dialoguer entre eux, de diffuser les conseils municipaux en vidéo, ou d’initier des consultations auprès des citoyens par exemple. Cette initiative 100 % française aurait pu permettre aux mairies d’échapper à la domination de Facebook. L’élection des nouveaux maires lui semblait être une occasion idéale pour donner le coup d’envoi de ce nouveau réseau. Le 12 mai dernier, cependant, c’est la douche froide. Il reçoit un mail lui indiquant que son application a été suspendue pour cause de Covid. "Je ne l’avais pourtant pas encore officiellement lancée. Il n’y avait donc aucun contenu Covid, ni publication qui auraient pu y faire référence, s’insurge-t-il. Cela ressemble à une énorme erreur de leur part. Moi, j’appelle ça de la bêtise artificielle."
"C’est la liberté d’expression qui est en cause"
Médéric Degoy a, comme les autres, fait appel de cette décision. Mais 14 jours plus tard, toujours aucune réponse. "Je les ai contactés par Twitter. Je suis ensuite contacté par un robot qui me raconte n’importe quoi. Trois jours après, quelqu’un me dit qu’il est désolé. Trois jours après, on me dit qu’on fait suivre ma demande. Et puis aucune réponse. On a l’impression d’être dans Brazil !" Ces derniers jours, la liste de ces développeurs victimes de Google s’est allongée, et elle inclue tous types de services : jeux, podcasts, vidéos et même fitness. Or, "15 jours d’absence sur Play Store, pour certaines entreprises, c’est dramatique", souligne pourtant Tim Autin.
Au-delà du temps que Google peut mettre à répondre et réparer les erreurs qui ont pu être commises, se pose aussi une question de fond. "Quelle autorité ont-ils pour faire ça ?, s’interroge Médéric Degoy. On tombe dans la logique des avocats à l’américaine où on se borde dans tous les sens. Ces boîtes-là sont devenues de gigantesques administrations qui ont un contrôle régalien, et qui décident de ce qui est vrai et de ce qui est faux." Une approche qui peut d’autant plus surprendre que le moteur de recherche de Google, lui, se nourrit d’informations sur l’épidémie de la Covid-19. C’est une source de revenus importante pour ce géant du net. D’un côté, donc, tout peut être dit et publié, tandis que sur les smartphones, seuls les gouvernements détiendraient la vérité ? "Sur le principe, ce n’est pas acceptable, commente Tim Autin. C’est aussi la liberté d’expression qui est en cause dans cette affaire."
Contacté, Google n'a pas répondu à nos sollicitations.
Cellule investigation de Radio France
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La Maison Blanche incite les internautes à dénoncer «la censure» sur les réseaux sociaux
POLITIQUE Donald Trump souhaite démontrer que les géants d’Internet pratiquent une discrimination présumée contre les utilisateurs de droite
Elle dénonce la partialité des géants d’Internet. La Maison Blanche a accru ce mercredi son offensive contre les réseaux sociaux en lançant une campagne inédite incitant les internautes à témoigner de toute censure qu’ils auraient subi de la part de Facebook, YouTube ou Twitter.
Même si cette initiative dit s’adresser à tous, « quelles que soient vos opinions », elle s’inscrit dans la volonté de Donald Trump de démontrer que ces géants technologiques pratiquent une discrimination présumée contre les utilisateurs de droite. « Trop d’Américains ont vu leurs comptes suspendus, interdits ou dénoncés frauduleusement pour d’obscures "violations" des règles d’utilisation », justifie la Maison Blanche.
« Partagez votre histoire avec le président Trump »
Le site officiel de l’exécutif américain invite les personnes souhaitant relater leur mésaventure à cliquer sur un lien dédié pour y livrer par écrit leur expérience. « Partagez votre histoire avec le président Trump », suggère la Maison Blanche, en s’adressant aux internautes convaincus d’avoir été victimes d’un « préjugé politique ».
Tout en ayant fondé son ascension politique et sa communication présidentielle sur son compte Twitter, Donald Trump dénonce fréquemment une « collusion » des géants technologiques avec la gauche. Il a notamment accusé Google de truquer les résultats de son moteur de recherche au profit selon lui des médias de gauche.
D’autres élus républicains lui ont emboîté le pas et dénoncé, sans preuves à l’appui, la « partialité » des géants de l’Internet, qui pour leur part se défendent de tout parti pris politique.
Source :
https://www.20minutes.fr/high-tech/2520823-20190518-maison-blanche-incite-internautes-denoncer-censure-reseaux-sociaux?fbclid=IwAR0N5WqZgk9yioiQyVq3oYUf9PdWmVXRglA6bfELXWVm3ZoHZBX24HHTHYU
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POURQUOI JE NE PORTERAI PAS DE MASQUE.
Quand je me promène dans les rues et que je vois toutes ces personnes portant des masques, se lavant les mains à l'entrée de chaque magasin, cela me rend malade de voir à quel point les gens sont dociles et ignorants.
Dociles car ils obéissent aux paroles de medias et de gouvernements qui leurs mentent à longueur de journée, propageant un climat constant de peur et d'insécurité.
Les terroristes ont disparu curieusement depuis quelques mois, ils ont dû se faire confiner. Ils ont été remplacé par un ennemi bien plus intéressant, omniprésent, invisible, tout puissant, telle une rumeur ou Dieu lui même, l'ennemi parfait. Grâce à lui le rêve de tout mégalomane peut se réaliser.
Cela commence par un confinement chez soi, cela évite les frais de prison, de gardiennage, les prisonniers devant se nourrir eux-mêmes, c’est tout bénef. Puis on réduit le confinement aux voies respiratoires, source de notre énergie et de notre santé, ce qui entraînera d’autres maladies et la vente de médicaments, ( j’en connais qui se frottent les mains d’avance).
Ça continuera par le confinement de notre liberté en nous obligeant à divulguer constamment nos déplacements, nos rencontres, comme en chine. Et ça finira par une planète prison grandeur nature, ou notre esprit sera à son tour confiné aux propos en accord au régime totalitaire en place.
Et tout cela avec les remerciements et le consentement d’une population heureuse d’avoir échappé à une possible grippe, (MDR), une population tellement empoisonnée par les métaux lourds qu’elle consomme depuis des décennies dans sa nourriture, son air et son eau, qu’elle n’est plus capable d’avoir un raisonnement digne de ce nom.
Elle est pas belle la vie ! Depuis que l'on nous bombarde de films de zombies, on ne s’est même pas rendu compte que les zombies, c’est nous, le regard hagard, par la crainte d’être contaminé, ou penché constamment sur son portable.
Les zombies des films, c'est l'étape suivante, une fois que la 5G sera déployée, les individus vaccinés, pucés, la catastrophe climatique actualisée. Nous deviendrons alors ces monstres si bien décrits dans ces films.
Vous pensez que j’exagère ? Observez bien, renseignez-vous, vous verrez que nous allons tout droit tète baissé vers cet avenir fabriqué pour nous.
En même temps quand une espèce est incapable de vivre en osmose avec les lois naturelles, incapable de penser par elle-même, elle est voué à disparaitre, car inadapté, c’est ainsi.
Revenons aux masques. Ces derniers sont inutiles et dangereux, inutiles car les virus sont si petits, (0.1micron) qu’ils passent à travers les mailles des masques les plus sophistiqués,(0.3 micron). C’est un peu comme si la grosseur de la maille correspondait à un tunnel de métro pour nous, il y à de l'espace.
Il nous faudrait porter une combinaison totalement étanche pour nous en protéger. Par contre le fait de re-respirer notre gaz carbonique, ou de respirer mal n’est pas bon pour notre santé, cela peut créer de nombreux troubles et complications comme l'hypoxie. (Allez voir sur internet).
Ce masque est aussi le symbole du masque social que nous portons tous, des apparences, il montre bien combien nous cachons qui nous sommes vraiment.
Pour les gels idem, notre corps contient 300000 milliards de virus, et il y en a autant au m³ dans l’air ou l'eau qui nous entoure, ces derniers vivent en osmoses depuis la nuit des temps avec les bactéries. En détruisant notre flore bactérienne sur nos mains en les lavant avec ces gels, nous détruisons notre système défensif et compromettons notre intégrité. Il suffit de voir le chiffre explosif de cas de maladies nosocomiales dans les hôpitaux, pour se rendre compte que si l’hygienne est nécessaire, le trop est l'ennemie du bien, si nous tuons la vie qui nous protège par trop d'hygiène, c’est la mort qui prend la place.
Les mesures de distanciation quand à elles, n’ont pour objectif que de créer une distance psychique entre nous. Finir de casser cette solidarité, qui nous a permit dans le passé de luter contre des directives et lois injustes.
À présent, toujours sous des prétextes de respect, de bonnes intentions, cette pratique, nous éloigne davantage de l'autre, nous deshumanisants davantage.
N’oubliez jamais que si le mal existe, et je le crois, ce dernier a pour principales armes la ruse et le mensonge, et celui-ci sait se déguiser en bon prêtre ou en Prada pour arriver à ces « faims ».
C’est pour toutes ces raisons que je ne porterai pas de masque, ni ne rentrerai dans un magasin où on m'oblige à en porter, cela peut paraître exagéré, mais le faire serait un acte de soumission aux diffuseurs de peur. Résister à la peur cela commence là.
pour finir, ne pensez pas que je suis irrespectueux des personnes et que mon comportement met la vie de certain en danger. je suis au contraire très respectueux de la vie, mais je ne gobe pas n'importe quoi.
Si ce virus existe il faudra bien apprendre a vivre avec, en l'assimilant comme nous l'avons fait avec tous les autres. s'il n'existe pas, à quoi bon tout cela, si ce n'est pour cacher des choses inacceptables. dans les deux cas le masque est inutile.
merci d'y réfléchir et de partager si cela résonne.
Votre ami Zorro
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Covid-19 et le Lot. Coup de tonnerre dans le milieu médical : démission d’une jeune médecin de Cahors
Le Dr Magali Roussilhe exerce la profession de médecin généraliste depuis 14 ans dans le Lot. Or, elle vient d’annoncer son retrait et elle s'insurge contre la gestion du Covid-19.
Publié le 23 Mai 20 à 11:46|Modifié le 23 Mai 20 à 12:09
Le Dr Magali Roussilhe, ici chez elle à Cahors, souhaite que sa démarche contribue à une prise de conscience des réalités qui nous entourent. (©JCB )
Le Dr Magali Roussilhe exerce la profession de médecin généraliste depuis 14 ans ; jusqu’ici, elle faisait partie de la Maison de santé de Prayssac, en vallée du Lot et du vignoble. Or, elle vient d’annoncer son retrait : un coup de tonnerre dans le milieu médical !
Ce n’est pas sur un coup de tête que Magali Roussilhe a pris sa décision, mais celle-ci résulte plutôt d’une démarche qui n’a cessé de mûrir au fil du temps.
« Déjà, je portais le projet d’exercer la médecine dans les prochains mois, hors convention avec la Sécurité sociale, mais j’avais l’intention de faire les choses en douceur pour ne pas laisser mes collègues dans l’embarras. » Très vite, Magali Roussilhe évoque le système de santé, tel qu’il est organisé par l’État, avec ses Agences régionales de santé, la médecine conventionnelle et les médecins référents ; un ensemble d’obligations administratives imposées, tant aux soignants qu’aux patients.
Déjà, la réglementation du médecin référent, scellant une sorte de contrat entre le praticien et son patient, sous peine pour ce dernier de se voir pénalisé lors du remboursement, lui avait déplu. Magali Roussilhe dénonce le carcan administratif, qui à ses yeux ne cesse d’empirer. Le coronavirus n’a rien arrangé et n’a fait que précipiter sa décision !
Quel regard portez-vous sur cette période de coronavirus ?
Dr Magali Roussilhe : J’ai travaillé durant le confinement, en appliquant les protocoles sanitaires. Cela ne m’a pas empêchée pour autant, de me poser des questions sur tout ce qui nous était demandé. Je dois dire que je ne suis pas du tout d’accord avec la manière dont a été organisée cette lutte contre l’épidémie de Covid-19. Par exemple, j’ai très mal ressenti les menaces de radiation proférées par les autorités de santé, à l’encontre de certains confrères qui, cherchant à soigner des gens atteints du virus, appliquaient des protocoles thérapeutiques non reconnus, mais recommandés par le professeur Didier Raoult, alors qu’il s’agissait de sauver des personnes malades. Pour ma part, je ne me suis pas retrouvée face à un patient qui avait besoin de traitement. Il me paraît aberrant qu’on ne puisse pas suivre les préconisations d’un professeur connu mondialement dans sa spécialité de virologie.
Qu’est-ce qui fait que vous ayez pris cette décision d’arrêter aussi brutalement ?
Ma décision peut avoir un côté brutal, mais elle intervient à la suite d’annonces qui m’ont choquée les unes après les autres. L’avant-dernière annonce, vient de la Sécurité sociale qui m’a appelée, comme cela était fait de la même manière pour l’ensemble des médecins généralistes, pour expliquer la mise en place du traçage des patients testés positifs au Covid-19, en demandant, non seulement de tracer les patients, mais également tous les cas contacts, la famille et tout l’entourage, afin de les inscrire sur un fichier informatique. Rappelons que dans un second temps, il est fait appel à des brigades pour tester les personnes. Ce procédé m’a choquée et j’ai dit que je ne le ferai pas. À présent, cette démarche nous est imposée par la loi, et là, je ne peux pas, ce n’est plus possible ! En conscience je dis non ! Certes, je ne juge pas mes confrères qui se plient à la réglementation, je ne juge personne. Je souhaite simplement être en paix avec moi-même.
« Ce contexte général où l’on ne doit pas se poser de question, n’est pas rassurant pour l’avenir de notre société ! »
Le fichage des malades existe déjà en médecine ; n’est-ce pas dans une intention louable ?
Oui, des maladies, telle la méningite, la tuberculose, la syphilis, la rougeole… font partie de la liste des maladies qu’un médecin doit obligatoirement déclarer auprès des autorités de santé. La démarche est similaire, en effet. Il y a recherche des cas contacts pour les dépister et protéger les personnes contaminées, si besoin. Dans ce cas de figure, la situation se limite à un nombre très réduit de personnes. Alors que dans le cas du Covid-19, ce sont des millions de gens qui vont être concernés et pour pas grand-chose.
C’est le principe du fichage, que vous n’acceptez pas ?
Oui, d’autant qu’on est en présence d’une maladie qui n’est pas aussi grave qu’on veut bien nous le faire croire, même s’il y a eu en France plus de 27 000 morts. Si l’on avait pu accueillir à l’hôpital tous les patients qui ont besoin d’oxygène et de réanimation et si l’on avait géré l’épidémie autrement, notamment en appliquant des traitements non reconnus officiellement, peut-être qu’on compterait moins de morts. Et que dire des décisions qui ont laissé s’affaiblir ces dernières années, les capacités de soins… Déjà en temps normal, l’hôpital travaille à flux tendu, même si le personnel hospitalier se plie en quatre pour soigner tout le monde. Je le sais d’autant plus que lorsque je demandais des rendez-vous pour mes patients, c’était toujours compliqué ; idem pour les hospitalisations. Toute épidémie, que ce soit le coronavirus ou la grippe aurait occasionné le même résultat. Bien sûr, le coronavirus s’est révélé beaucoup plus contagieux que la grippe et plus agressif, au pic de l’épidémie. Mais tirer prétexte de cela pour pister toute une population, pour ma part, je ne peux l’admettre.
Il a pourtant été répété qu’il s’agissait d’un fichage contrôlé et limité à la cause de l’épidémie !
La bonne cause, c’est la santé des gens ! Si l’on prétend se préoccuper de la santé des gens, il y a bien d’autres mesures que l’on aurait pu mettre en place et cela, depuis des mois et des mois !
Donc vous refusez le fichage, c’est-à-dire la pratique des tests par la même occasion ?
Je suis profondément choquée par ce fichage, car il faut bien se rendre compte que le test implique le fichage, dès lors que vous êtes positif au Covid-19. À partir de là, il est devenu pour moi impossible de pratiquer mon métier de médecin généraliste, dans de telles conditions. Peut-être que de ficher les personnes, cela peut être considéré comme une bonne solution, mais pour moi, c’est non. Je ne veux pas participer à cette entreprise et je me suis rendu compte que je ne suis pas la seule.
Du coup, vous êtes contre le fait que vos enfants puissent faire l’objet d’un test ?
Oui j’y suis opposée et je n’ai pas envie que nos contacts puissent faire également l’objet de tests et par conséquent soient l’objet d’un fichage. Je refuse également le vaccin à ce sujet, si l’on en découvrait un.
Vous refusez le vaccin. Qu’est-ce qui motive votre opposition ?
Parce que nous sommes en présence d’un virus qui mute, parce que ce vaccin est réalisé dans la précipitation et je m’en méfie ! Il y a de plus en plus de questions qui se posent autour des vaccins. Pour ma part, je n’ai pas une position anti-vaccin, moi-même j’ai été vaccinée et mes enfants l’ont été aussi. Mais je suis mal à l’aise de savoir qu’il n’est pas admis qu’on puisse critiquer les vaccins en général. Ainsi, j’ai été choquée par l’obligation vaccinale de 2018 et ses 11 vaccins. Il n’est pas sain qu’on ne puisse pas remettre en question certaines vaccinations ; je ne suis pas la seule à le faire, or ce n’est pas possible et je trouve cela inquiétant ! Ce contexte général où l’on ne doit pas se poser de question, n’est pas rassurant pour l’avenir de notre société !
C’est une action politique que vous engagez ?
Je ne suis inscrite dans aucun parti politique. Pour autant, je sais que mes prises de position sont politiques ; tous nos actes sont politiques, en définitive, dans le contexte général au sein duquel nous exerçons notre métier et où nous nous positionnons.
« Il va de soi que si nous vivions dans une société plus écologique, nous serions en meilleure santé »
En tout cas, c’est une remise en cause de l’organisation du système de santé actuel à laquelle vous procédez !
Je remets en cause l’organisation du système de santé, tel qu’il est dans notre pays. Et cela touche bien sûr au fonctionnement général de notre société. D’ailleurs, la santé, cela ne concerne pas seulement le physique. Il y a le psychique, le mental… la santé c’est quelque chose de global. Si l’on a des problèmes d’argent, on risque d’avoir des problèmes de santé… La nature du travail peut elle-même engendrer des problèmes de santé. Si l’on consomme uniquement une alimentation industrielle, chimique, on encourt des soucis de santé etc.
Que reprochez-vous à la pratique de la médecine générale ?
La pratique de la médecine générale nous pousse à voir de plus en plus en plus de patients, dans la mesure où nous ne sommes pas suffisamment nombreux. Au final, plus on va vite avec les patients et plus on a tendance à prescrire des médicaments. Alors que plus on prend du temps avec les patients et moins on prescrit des médicaments ; on va plutôt prescrire de changer d’alimentation, de se reposer, de faire de l’exercice physique, de prendre le soleil… Il n’y a pas que le médicament qui compte pour être en bonne santé. Il faut prendre du temps, pour écouter le patient et lui proposer une thérapeutique adaptée à lui, or ceci est de moins en moins possible en l’état actuel de la pratique à laquelle nous sommes contraints. Il va de soi que si nous vivions dans une société plus écologique, nous serions en meilleure santé.
Au-delà de la médecine, vous posez un regard critique sur le mode de fonctionnement de la société. Qu’est-ce qui ne va pas ?
J’ai la sensation qu’on va trop loin dans cette complexification de la société. Je préconise une refondation de notre système de vie en société, de notre système de soins, de notre manière de se nourrir, d’élever nos enfants et là on rejoint le système scolaire où il y aurait également beaucoup à dire. Au passage, je trouve que cette reprise scolaire a été angoissante, à la fois pour les enseignants et pour les élèves. Je n’étais pas favorable à un retour des enfants à l’école dans de telles conditions… Les solutions ne viendront pas d’en haut ! Il y a des idées formidables qui voient le jour ici ou là et qui ne demandent qu’à se développer. Il y a des solidarités locales à faire jouer.
« Je recherche un mieux vivre ensemble, dans la cohérence, la bienveillance et la différence »
Au final, que recherchez-vous ?
Jusqu’à présent, j’essayais de concilier les contraintes de l’exercice du métier avec une certaine forme de liberté. Là, je me rends compte que ce n’est plus possible ! Il me semble qu’on n’est pas obligé de dire amen à tout. On doit pouvoir exprimer un avis différent, se respecter dans ses convictions.
Tout le monde se pose des questions ; on n’a pas écouté les soignants lorsqu’ils sont descendus dans la rue, on n’a pas écouté les gilets jaunes lorsqu’ils ont manifesté… À un moment donné la coupe est pleine ! Tout va très vite, nous avançons à marche forcée, on dirait que tout est fait pour qu’on n’ai pas le temps de prendre du recul. Tous ceux qui adhèrent à cette nouvelle loi du fichage Covid-19, ont-ils pris le temps de réfléchir à ce qui leur était imposé ?
Je souhaite que ma démarche aide d’autres personnes à s’interroger et j’espère montrer qu’on peut remettre en question des choses qu’on cherche à nous imposer un peu trop facilement. Je recherche un mieux vivre ensemble, dans la cohérence, la bienveillance et la différence, qui n’est pas possible à atteindre, avec l’évolution actuelle.
Entretien réalisé par JEAN-CLAUDE BONNEMÈRE
Source
https://actu.fr/occitanie/cahors_46042/covid-19-coup-tonnerre-dans-milieu-medical-dr-magali-roussilhe-demissionne-explique-pourquoi_33767888.html
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Covid-19 et le Lot. Coup de tonnerre dans le milieu médical : démission d’une jeune médecin de Cahors
https://actu.fr/occitanie/cahors_46042/covid-19-coup-tonnerre-dans-milieu-medical-dr-magali-roussilhe-demissionne-explique-pourquoi_33767888.html
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Synergie entre le vaccin et la 5G – 1
Partie 1 – Je tiens à remercier Fabrice et Jacques pour ce partage d’informations importantes qui nous plonge au cœur de l’actualité du coronavirus et de la 5G. Il s’adresse en premier lieu aux médecins, aux biologistes, aux pharmaciens mais aussi au reste de la population.
Ce document traduit de l’anglais par l’un de nos amis, avec couverture du livre Virus Mania, et intervention de R. F. Kennedy sur ce livre, vous permettra pas mal de réflexions salutaires, notamment le Professeur Jean-Bernard Fourtillan le Dr Shaller, le pharmacien Rader.
Vous, nous ne pouvons accepter que le pouvoir nous fasse prendre des vessies pour des lanternes. Sous prétexte fallacieux, dogmatique, que la contagion surviendrait par contacts humains :
Ils passent sous silence la véritable raison de cette pandémie. La synergie 3G, 4G+, 5G, voire 6G avec un possible vaccin déjà préparé capable d’engendrer une véritable hécatombe, très rapidement; sans compter le reconfinement et toutes les incidences qui en découlent.
Seule, l’union de nous tous, après examen du texte ci-dessous, les recherches antérieures du Professeur Jules Tissot, Nikanoroff, Marinesco, Galippe, devraient nous permettre par actions conjointes de notre part, d’avertir préfets, maires et la population de ce qu’il se prépare.
Ne pas intervenir signifierait que nous nous moquons et de nos patients et de la population en général. Tout leur serait permis, même d’empêcher les maires de réagir contre l’installation des 4G+, 5G, de forcer les médecins à vacciner toute la population contre le soi-disant Coronavirus ?
Non seulement ils nous prennent pour des sots, mais veulent nous occire. Devrions-nous prendre le flingue ? Non, il faut agir de concert, preuves à l’appui auprès de nos maires et semblables.
Le texte ci-dessous est traduit par Fabrice :
Je vous adresse ci-après le site où il est question, entre autres, d’ expériences / études réalisées à partir de 1919 sur l’Île Deer (sur l’archipel des Mille-Îles, entre les USA et le Canada, un refuge paraît-il secret des Skull & Bones) aux fins de réfutation de la théorie microbienne.
Pour tomber dessus il faut descendre jusqu’à « Experiments / Studies ». Les Haemophilus influenzae sont des bactéries à Gram négatives pouvant provoquer une infection des voies respiratoires, qui peut se propager à d’autres organes.
ARTICLE!
https://eur03.safelinks.protection.outlook.com/?url=https%3A%2F%2Fwww.msdmanuals.com%2Ffr%2Faccueil%2Finfections%2Finfections-bact%25C3%25A9riennes-bact%25C3%25A9ries-gram-n%25C3 %25A9gatives%2Fpr%25C3%25A9sentation-des-bact%25C3%25A9ries-gram-n%25C3%25A9gatives&data=0 2%7C01%7C%7C815f471a463b4f1f7aff08d7fd546d54%7C84df9e7fe9f640afb435aaaaaaaaaaaa%7C1%7C0%7C637256411357887931&sdata=04% 2F7XDjXaIWZgcMTtNjhDRMMVaZ8F6x%2FTrFp%2BIyilZg%3D&reserved=0
Voici la suite traduite :
1 – Île Deer – 150 expérimentations du service de santé publique américaines à partir de 1919 prouvent la non-transmissibilité de la maladie :
Extrait du livre Fasting and Man’s Correct Diet (Le jeûne et le régime approprié de l’homme) – par R.B. Pearson – 1921 : Un certain nombre d’expérimentations furent réalisées sur 68 bénévoles du camp d’entraînement de détention naval américain sur l’Île Deer.
On inocula à plusieurs groupes d’hommes des cultures pures du bacille de Pfeiffer avec des secrétions des voies respiratoires supérieures et du sang provenant de cas de grippe typiques.
Une trentaine d’hommes se vit introniser dans le nez et la gorge les bactéries par vaporisation ou par coton-tige. Ils disent des résultats : En aucun cas une attaque de grippe ne fut produite chez aucun des sujets…
Source
https://www.etresouverain.com/2020/05/23/synergie-entre-le-vaccin-et-la-5g-1/
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Grande Pétition : Non à la 5G en France
Adressé à : Emmanuel Macron, Président de la République,
240 scientifiques ont montré que la 5G était DANGEREUSE pour la nature et les humains[1]…
Les Suisses viennent de stopper le déploiement des antennes 5G…
Monsieur le Président, pourquoi restez-vous sourd aux appels à la prudence ?
JE SIGNE LA PETITION
https://www.leslignesbougent.org/petitions/non-a-la-5g-en-france/
Monsieur le Président de la République,
Nous, Français, ne sommes PAS technophobes.
Au contraire, nous apprécions tous les bienfaits des télécommunications.
Mais la course au « sans-fil » ne doit pas se faire à tout prix.
Vous voulez absolument avoir un réseau 5G avant 2020. Mais qu’est-ce qui presse ?
Nous n’avons aucune étude sérieuse prouvant l’innocence de la 5G. Au contraire…
La 5G augmente le risque de tumeur au cerveau[1] – surtout chez les enfants et les adolescents[2]
La 5G accentue le risque de Syndrome d’électrosensibilité[3] qui toucherait déjà 8% de la population.
L’électrosensibilité transforme des vies en cauchemars tous les jours :
maux de tête,
acouphènes,
insomnie,
vertiges,
maux de dents et de gencives,
troubles du rythme cardiaque,
douleurs articulaires,
irritabilité,
dépression,
fatigue permanente,
difficulté à se concentrer[4].
L’électrosensibilité fonctionne par effet de seuil. Il suffirait de quelques ondes en plus pour que des millions de nouvelles personnes basculent dans l’électrosensibilité.
La 5G peut réduire la fertilité masculine[5]
La 5G augmente les risques de fausses couches[6]
La 5G perturbe le rythme des plantes, des insectes pollinisateurs, et des animaux[7].
Le déploiement à marche forcée du réseau 5G en France est une expérimentation à grande échelle. C’est criminel !
Les cantons de Genève et de Vaud ont demandé d’arrêter le déploiement des antennes 5G en attendant de confirmer leurs effets sur la santé[8][9].
À cela s’ajoute que les antennes 5G seront bien plus nombreuses que les antennes-relais actuelles que la population redoute déjà.
Pour que la 5G fonctionne, les télécoms vont dissimuler des antennes partout[10][11][12][13] :
Dans les arbres
Dans les lampadaires
Sur les arrêts de bus
Dans les panneaux de circulations
Même les ampoules de nos maisons deviendront des antennes-relais 5G.
Monsieur le Président, nous ne souhaitons pas que la France soit transformée en four micro-ondes à ciel ouvert.
Le principe de précaution doit primer.
Ainsi que le Code de Nuremberg qui interdit les expérimentations sur des humains non consentants.
La sécurité des Français doit l’emporter sur les intérêts des géants des télécoms et des autorités corrompues !
Nous tous, parents, grands-parents, citoyens, médecins, scientifiques, nous nous tournons vers vous, Monsieur le Président de la République, pour vous demander de stopper le déploiement du réseau 5G et de vous engager à réduire l’exposition de la population française aux champs électromagnétiques, conformément à la Résolution 1815 du Conseil de l’Europe signée le 27 mai 2011[14].
Veuillez agréer Monsieur le Président de la République, l’expression de nos salutations respectueuses.
Sources
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