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Voyage au bout de l’enfer des vaccins et de l’usage de fœtus vendus. LHK Comme faisait dire Rabelais dans Pantagruel « Science sans conscience, n’est que ruine de l’âme ». Autrement dit « Envisager la science sans aucun angle moral et sans la moindre réflexion sur elle-même revient à prendre des risques considérables, pouvant nous mener à notre perte ! » (Voir) Partagez ! Volti ****** Par Liliane Held Khawam Vous trouverez ci-dessous la déposition filmée (12 vidéos) de Stanley Plotkin, père des vaccins de notre ère. L’évènement remonte au 11 janvier 2018 et concerne l’affaire judiciaire opposant Lori Matheson à son ex-mari Michael Schmitt concernant la vaccination de leur fille de deux ans, il confirme notamment avoir procédé à des essais vaccinaux sur des orphelins, des enfants handicapés mentaux, des bébés de prisonnières, des ressortissants de colonies (un million de personnes au Congo belge) et des tissus de fœtus avortés  (Wikipédia). Ce que nous découvrons dans cette publication ne peut nous laisser neutres. Des pratiques indignes de l’humain sont pratiquées au nom de la science. Celle des big Pharma. Nous avions découvert ces derniers temps avec tristesse la corruption d’une certaine science portée par des médias financiarisés. Mais nous étions loin de supposer le millionième de ce qui est révélé ci-dessous. Deux affaires présentant chacune des intérêts vitaux s’entrechoquent. Il s’agit d’une part des ingrédients qui composent les vaccins injectés à des millions d’individus, et en théorie à la planète entière dans la lutte contre le Covid-19. Nous ne débattrons pas ici du vaccin en question, mais nous chercherons à faire connaissance avec ce qui chiffonne les anti-vaccins. Nous découvrons dans ces 12 vidéos le contenu d’un interrogatoire qui se déroule dans le cadre d’un procès qui divise un couple Matheson-Schmitt. L’intérêt de ces vidéos est que leurs informations proviennent de la référence absolue du vaccin, et ce depuis des décennies. M Stanley Plotkin est ce « scientifique » qui met son savoir à disposition de toutes les firmes et laboratoires qui comptent dans le domaine. M Plotkin siège au sein de l’organisation Human vaccines project https://www.humanvaccinesproject.org/team/ Nous découvrons des lacunes majeures dans les processus de création-validation-fabrication des vaccins. Des risques majeurs sont portés par les receveurs de ces produits insuffisamment testés et validés. Nous découvrons aussi que des enfants handicapés ont pu être utilisés pour développer les poisons de Big Pharma. Mais le summum de l’abomination se trouve dans les ingrédients contenus dans lesdits vaccins. On y trouve pêle-mêle des tissus de foetus, de l’ADN humain, de l’aluminium capable de traverser le cerveau et de provoquer l’autisme. M Plotkin, qui semble descendre en ligne droite des nazis, livre les secrets de son savoir plus diabolique que scientifique tout en étant confondant de gentillesse et de transparence. Sorte de confession libératrice peut-être? Peu importe, oubliez ce que j’écris et écoutez ce monsieur. Vous aurez envie d’alerter vos proches et par humanisme l’ensemble des futures victimes des barbares. La monstruosité du monsieur et du système qu’il représente ne doit pas nous faire oublier notre deuxième information que l’on ne peut s’empêcher de mettre en perspective de ce qui précède. Il s’agit du scandale qui a secoué l’International Planned Parenthood Federation. Un rapport avait été émis il y a quelques années par le Comité de la magistrature du Sénat américain. Un Rapport officiel de 500 pages qui, sur base des documents internes, contrats et factures du Planning Familial, montre combien le trafic d’organes de foetus était lucratif. Le rapport détaille ainsi le ‘prix de vente’ de différents organes et révèle d’autre détails sordides. Il souligne le rôle des « protagonistes ayant participé à ce trafic de tissus humains. Ainsi, aux centaines voire milliers de professionnels qui faisaient partie des transactions commerciales, s’ajoutent des sociétés liées au planning familial par des contrats, mais aussi de nombreuses cliniques d’avortement. » A l’heure où M Bill Gates mobilise avec ses milliards la communauté internationale pour imposer à l’humanité un vaccin vite fait dont les effets sont inconnus, il est indispensable de visionner les dires de ce scientifique hors normes. Les vidéos sont suivies de l’article basé sur le rapport visant le Planning familial aux Etats-Unis, et de l’extrait du financement du réseau européen par la fondation Gates. Dernier point qui intéressera sans doute les lecteurs musulmans et juifs: Il est fait usage dans les vaccins de gélatine de…porc. Liliane Held-Khawam https://www.aa.com.tr/en/europe/uk-led-global-vaccine-summit-raises-88-billion/1865917 juin 6, 2020 par LHK Les 12 vidéos de Stanley Plotkin Vidéo1 Les questions dans cette partie portent principalement sur les recommandations de vaccins pour les enfants, les conflits d’intérêts et les revenus des fabricants de vaccins. Vidéo2 Redevances et Bénéfices des Fabricants de Vaccins. Les questions dans cette partie portent principalement sur la vente et l’acquisition de droits de propriété intellectuelle et de droits de redevance. Vidéo 3 Les Niveaux d’Immunité des Vaccins, Le Vaccin DTaP. Les questions dans cette partie portent principalement sur les niveaux d’immunité des vaccins, les revenus des fabricants de vaccins et le vaccin DTaP (Diphtérie, Tétanos et Coqueluche) pour enfants et adultes. Vidéo 4: Les enfants sont-ils victimes des conflits d’intérêt du business autour des vaccins? Cette vidéo détaille l’implication des différentes organisations de la santé qui approuvent les vaccins. On ne peut poursuivre un producteur de vaccin qui n’a pas fait le nécessaire pour rendre son vaccin plus sûr. Etc. Vidéo 5 Les questions de cette partie portent principalement sur l’absence de groupe contrôlé par placebo dans les essais cliniques de vaccins, le vaccin contre la coqueluche et la période d’essai de sécurité après administration. Vidéo 6 MMR, Hib, Gardasil Vaccines: Les questions de cette partie concernent principalement le manque d’études de sécurité, les effets indésirables graves des vaccins DTaP, MMR et antigrippaux. 00:13:31 Admettre que le vaccin contre l’hépatite B et peut-être le vaccin contre la grippe provoquent la fibromyalgie 00:16:51 Admettre que davantage d’études contrôlées par placebo pour les vaccins sont nécessaires 00:21:58 Pièce 19, Les effets néfastes des vaccins contre la coqueluche et la rubéole Vidéo 7: Études d’innocuité, vaccin antigrippal, effets indésirables VOIR Vidéo 8 Autisme, Vaccinés vs. Non vaccinés VOIR Vidéo 9 Ajouts d’adjuvants, d’aluminium VOIR Vidéo 10 – Les Ingrédients des Vaccins 00:15:14 Pièce 39, une étude intitulée L’aluminium dans les tissus cérébraux de l’autisme; observation exceptionnelle d’aluminium dans le cerveau (cellules immunitaires) d’enfants autistes décédés prématurément 00:18:54 M. SIRI pose des questions sur la quantité d’antigène présente dans les vaccins vendus aux États-Unis et s’il existe des substances nocives pour le corps humain et les cellules 00:20:06 Questions sur la présence de cellules de reins de singe dans le calendrier de vaccination des enfants 00:23:05 Questions sur la présence de sérum sanguin bovin ou veau dans les vaccins 00:24:37 Pièce justificative 40, par FDA, Vaccine Excipient and Media Summary, sérum de veau en tant qu’ingrédient, ainsi que lait de vache, caséine, protéines d’œufs, gélatine de porc, gélatine de vache, produits d’origine animale ou sous-produits. Cellules diploïdes humaines MRC-5 00:31:10 M. SIRI pose des questions sur le MRC-5 dans les vaccins, les cellules des fœtus avortés 00:32:53 WI-38, Fibroblaste pulmonaire diploïde humain dans les vaccins 00:34:07 Albumine humaine dans les vaccins 00:36:48 Albumine recombinante humaine dans les vaccins 00:38:25 Le témoin admet qu’il y a des réactions aux composants des vaccins 00:39:05 ADN humain dans les vaccins 00:43:40 Virus du singe simien, ou SV40, dans les vaccins, contaminant les personnes qui ont reçu ce vaccin VOIR Vidéo 11 HIV/AIDS, foetus, Tests 00:08:50 L’albumine humaine, structure protéique, peut se lier à l’alun ainsi qu’à l’ADN humain (MRC-5, WI-38 ou autres débris cellulaires); l’alun pourrait également se lier à la gélatine des porcs, aux protéines des œufs, à la caséine présente dans les vaccins 00:12:26 Fœtus utilisés lors des travaux de témoins liés aux vaccins 00:13:10 Pièce 41, une étude menée par le Wistar Institute, l’un des auteurs est S.A.Plotkin, montrant combien de fœtus – 76 – ont été utilisés pour fabriquer le vaccin 00:15:41 Lecture de la pièce 41: fœtus âgés de 3 mois ou plus, normalement développés, fœtus avortés pour des raisons sociales et psychiatriques; organes prélevés (hypophyse, poumon, peau, rein, rate, cœur, langue: toute une gamme qui a ensuite été découpée en petits morceaux, cultivée. – Le témoin ne cesse de déclarer qu’il n’a travaillé que sur deux fœtus durant toute sa carrière 00:19:16 M. SIRI demande si certains fœtus provenaient d’avortements de femmes en établissement psychiatrique 00:20:18 M. SIRI demande au témoin s’il a déjà utilisé des handicapés mentaux pour étudier un vaccin expérimental. Un article montre qu’il a utilisé 13 enfants handicapés VOIR Vidéo 12 Efficacité des vaccins VOIR USA : trafic d’organes des fœtus avortés : le Planning Familial (IPPF) coupable Publié le : 10/01/2017 Le 14 juillet 2015, dans une vidéo filmée par des enquêteurs du Center for Medical Progress (CMP), une association de journalistes américains, Deborah Nucatola, directrice des services médicaux du planning familial, détaillait la « revente de ‘pièces’ d’embryons humains » à laquelle se livrait le Planned Parenthood. (Bulletin IEB) Or la loi américaine est très claire : il est illégal de tirer profit des parties du corps de tout être humain, y compris des foetus avortés. Plus d’un an après, le Comité de la magistrature du Sénat américain publie un Rapport officiel de 500 pages qui, sur base des documents internes, contrats et factures du Planning Familial, montre combien le trafic d’organes de foetus était lucratif. Le rapport détaille ainsi le ‘prix de vente’ de différents organes et révèle d’autre détails sordides. Il souligne le rôle des « protagonistes ayant participé à ce trafic de tissus humains. Ainsi, aux centaines voire milliers de professionnels qui faisaient partie des transactions commerciales, s’ajoutent des sociétés liées au planning familial par des contrats, mais aussi de nombreuses cliniques d’avortement. » L’utilisation qui a été faite de ces tissus humains n’est pas mentionnée par le rapport, mais il est vraisemblable qu’ils étaient utilisés pour la recherche dans de nombreuses universités aux Etats-Unis. Là encore, aucune question quant aux sommes considérables versées pour obtenir les organes des foetus et bébés avortés. Source : Genethique.org, CMP https://www.ieb-eib.org/fr/actualite/statut-du-corps-humain/embryons/usa-trafic-d-organes-des-ftus-avortes-le-planning-familial-ippf-coupable-1176.html Financement du Planning familial (LHK) Les fabricants de vaccins ont manifestement des intérêts colossaux dans la récupération des foetus avortés. Les scandales connus au sujet de la commercialisation des foetus avortés dans les centres de Planning et leur éventuel usage commercial est interpellant. La mafia ne doit pas être loin de ce genre de business juteux. De notre côté, nous avons une information concernant la fondation des Gates. Celle-ci consacre un budget très important à diverses organisations de Planning familial. L’article fait référence à l’IPPF, soit l’International Planned Parenthood Federation, Nous avons retenu comme exemple de sponsoring les versements accordés au réseau européen de celui-ci. Complément Activez les sous titres  
LA VIE DANS L’ÉPICENTRE D’UNE CATASTROPHE INVISIBLE ET IMAGINAIRE Melbourne, autrefois nommée la ville la plus agréable au monde s’est transformée graduellement depuis mars 2020 en nation dystopique, pour arriver à son apogée d’absurdité invivable au début d’aout, avec la 4e étape de restrictions dues à la COVID-19. Depuis une semaine et jusqu’à la mi-septembre au minimum, des lois liberticides et excessives ont été mises en place pour combattre ce que les autorités s’obstinent à appeler une pandémie, mais qui, une fois retirée de son habit médiatique, politique et artificiel, ressemble plutôt à une grippe saisonnière. Cette phrase tombe comme une Terre Plate dans l’esprit de tous ceux qui continuent de s’abreuver à la fontaine de la programmation médiatique. Je sais que vous avez envie de cesser votre lecture immédiatement et regrettez même les quelques lignes que vous m’avez accordées, mais laissez-moi une chance de vous décrire ma vie dans l’épicentre d’une catastrophe invisible et imaginaire, ne serait-ce que pour découvrir un point de vue, de l’autre bout de la planète. Nos restrictions surpassent les recommandations de l’OMS, et ce n’est pas peu dire. Tous les magasins sont fermés, sauf les services essentiels aléatoires. Il est INTERDIT de sortir de chez soi sans porter un masque, même pour marcher seul. Il est INTERDIT de marcher avec plus d’une personne dehors, masqués et distanciés. Il est INTERDIT de passer plus d’une heure hors de son domicile. Il est INTERDIT d’aller acheter de la nourriture avec une autre personne. Il est INTERDIT de s’éloigner de plus de 5 km de son domicile. Il est INTERDIT d’avoir un ami ou un membre de la famille qui réside ailleurs dans son domicile. Il est INTERDIT de se trouver hors de son domicile après 20 heures. Il est INTERDIT de manifester contre ces mesures. Toutes les interdictions sont sous peine d’amende qui varient entre $1500 et $5000 pour une première offense, et on encourage les voisins à dénoncer. Le moral est au plus bas, mais à l’opposé, les faillites, les dépressions, la violence familiale et les suicides sont à la hausse. Chez les enfants de moins de 18 ans seulement, on annonçait hier une hausse de 33% des tentatives de suicide. Les chiffres ne sont certainement pas plus réjouissants dans la tranche de population qui tente de nourrir leur famille, mais à qui on a retiré les moyens et même la dignité. Mais « Nous sommes tous ensemble dans ce combat » … Quel combat ? Ah oui, ce virus dangereux. À ce jour et depuis les 5 derniers mois, 314 personnes sont mortes en Australie de la COVID-19, mêlée à diverses maladies, plusieurs ont succombé à la vieillesse, et tous étaient atteints de comorbidités. Est-ce que la COVID-19 a réellement causé leur décès ? Difficile à dire, puisque le gouvernement offre une très généreuse aide financière aux centres pour personnes âgées si l’un de leurs résidents en tombe victime. Ces institutions en manque de ressources n’hésitent donc pas à sauter sur l’occasion. L’espérance de vie en Australie est de 82 ans, or l’âge moyen des décès par la COVID-19 est de 83 ans. Faites votre calcul. Mais ces victimes meurent seules et tristes et cela est déplorable. On se console car les dommages collatéraux sont inévitables. Malgré tout, 314 personnes en 5 mois… selon mes livres de mathématique empoussiérés, cela fait 45 victimes par mois depuis le début de ladite pandémie pour une population de 25 millions. Selon ces même calculs (cette fois-ci, je me suis servie de ma calculatrice pour ne pas faire d’erreur), le résultat est qu’en Australie, dans 30 prochains jours, les personnes vulnérables ont 0.000002 de chance de mourir de la COVID-19. Un peu moins qu’une grippe normale. À l’opposé, nos enfants et nos jeunes adultes ont 33% plus de chances de s’enlever la vie à cause de l’isolement, l’ennui, la campagne morbide des médias et le désespoir qui s’installent dans nos foyers comme la peste. Le gouvernement a déjà endetté la vie de ceux-ci au profit des banques centrales qui réclameront leurs intérêts cumulatifs pour des décennies, parce que c’est ça le capitalisme. Il n’y a pas d’amis en affaires. Certains d’entre vous crient si fort, que je vous entends de l’autre bout de la terre, sur mon île qui n’est plus paradisiaque, vos voix à l’unisson « Oui mais regarde la Floride, regarde l’Italie, l’Espagne !! » Eh bien oui j’ai regardé. La saison de grippe était mauvaise, mais la surmortalité ne s’est pas démarquée. Par contre, le ratio des causes de mortalité se démarque par le fait que la COVID a remplacé les cancers, les crises cardiaques, l’Alzheimer, les pneumonies. À ses débuts, cette année était riche en promesses de découvertes et d’aventures. Mes filles et moi avions mis en place un projet d’aller passer 9 mois à Montréal, dès le retour d’une tournée de 3 semaines en Asie du sud-est que ma fille allait faire avec son école, un voyage humanitaire. Elle rêvait depuis longtemps de faire une immersion dans une école française. Quand à mon ainée qui venait de finir ses études secondaires, elle profiterait de ce voyage à Montréal comme tremplin pour partir découvrir le monde avant d’entreprendre ses études universitaires en 2021. J’étais presque euphorique à l’idée d’aller passer presqu’un an avec ma famille et mes amis, ça fait 21 que je suis partie. J’étais aussi tellement heureuse de faire découvrir à mes filles leurs racines, ma patrie, là où j’ai grandi. Notre départ était prévu pour le 1er avril 2020, tout était prêt. Il va sans dire que la date était, bien à mon insu, très mal choisie. Mon histoire en est une parmi tant d’autres et n’a pas plus d’importance que tous les autres rêves brisés cette année. Les infections respiratoires font partie de la vie, et tristement font des victimes à chaque année, tout comme bien d’autres maladies encore plus meurtrières qui restent sous silence. Mais là, vu les faits, n’est-il pas temps de se demander, est-ce que le remède n’est pas plus dangereux que le problème ? Une patriote québécoise à Melbourne.  
Par CNEWS -  Mis à jour le 27/06/2020 à 09:24Publié le 27/06/2020 à 09:24 Partager Tweet   [Police du comté de Henry] Un enfant d'1 an et demi a été retrouvé dans le Tennesse (Etats-Unis) enfermé dans une cage entourée de plus de 600 animaux, dont un boa constrictor, mais aussi, entre autres, 531 rongeurs, 56 chiens ou encore 86 poulets et coqs. Lors de leur perquisition, les policiers américains ont aussi trouvé 10 lapins, 4 perruches, 3 chats, 8 serpents, un faisan, ou encore 127 plants de marijuana et 17 armes à feu. La cage dans laquelle était retenu captif l'enfant avait été installée dans le «salon» d'un mobile home. Elle contenait quelques jouets mais aucune couverture. La presse américaine rapporte que juste à côté avaient été installés des enclos visant à accueillir des centaines de souris et le boa constrictor long de 3 mètres. «Je n'avais jamais vu une telle chose de toute ma carrière», a indiqué le shérif du comté de Henry. Les policiers intervenus sur place ont aussi pu constater l'extrême vétusté des lieux, certains endroits ayant carrément été envahis par les cafards et les asticots. «C'est une partie très rurale du comté, la route est très peu fréquentée», a expliqué le shérif. 3 personnes ont été interpellées.
PAR: WATERGATE REDAKTION JULY 14, 2020 Liste de contrôle non publique: vous devez acheter ces choses aujourd'hui! Vous recevrez aujourd'hui une liste de contrôle gratuite que vous devriez examiner attentivement! Parce qu'il vous indique quelles 10 choses vous devez stocker maintenant. Parce qu'une des plus grandes catastrophes de l'histoire de l'Europe vous attend! Si vous ne vous préparez pas en conséquence, vous perdrez bientôt tout. Alors sécurisez la liste de contrôle gratuite maintenant et achetez les 10 choses sur cette liste de contrôle mieux aujourd'hui! Cliquez ICI maintenant et vous recevrez la liste de contrôle entièrement GRATUITE!   L'ancien conseiller de Trump, Steve Bannon, a déclaré dans une interview au journal Daily Mail que les employés du laboratoire de Wuhan qui serait à l'origine du virus corona travailleraient avec le FBI. Les «transfuges» avaient déjà parlé aux services secrets d'Europe, de Grande-Bretagne et des États-Unis. Auparavant, un virologue chinois respecté aurait fui Hong Kong parce qu'il accusait Pékin de couvrir l'étendue réelle de l'épidémie de virus à Wuhan. L'armée américaine avait déjà soupçonné dans une déclaration publique qu'une bio-arme avait été fabriquée en laboratoire et lancée "accidentellement" sur le marché de Wuhan. Les travailleurs chinois souhaitaient apparemment fournir des preuves contre le Parti communiste chinois, qui cherchait à dissimuler à la fois la production de l'arme biologique et son déclenchement, selon le rapport.   Bannon est convaincu qu'il existe des enregistrements électroniques de ceux qui sont entrés dans le laboratoire de Wuhan et en sont sortis. Avec le personnel du laboratoire, les services secrets pourraient éventuellement clarifier le véritable contexte de la pandémie. Des employés chinois auraient quitté le laboratoire depuis la mi-février. En collaboration avec le MI5 et le MI6 britanniques, selon Bannon, les services secrets américains devraient maintenant essayer de résoudre l'affaire. Bannon a indiqué dans l'interview que le gouvernement français était impliqué dans la construction du laboratoire, mais la France a ensuite été exclue de Pékin en 2017. Le laboratoire a été construit avec l'aide de la France. Comme dans le district de Tchernobyl, le laboratoire «Ground Zero» de Wuhan et l'appareil d'État, le Parti communiste chinois (PCC), tentent de dissimuler les événements réels. Peu importe que le virus provienne du laboratoire de Wuhan ou soit apparu naturellement, le PCC est coupable de meurtre par négligence, selon Bannon. Parce que l'épidémie de virus avait déjà commencé fin octobre mais était restée secrète jusqu'en janvier 2020. Ceci est connu parce que Taiwan a officiellement informé l'OMS le 31 décembre de l'épidémie dans la province du Hubei (où se trouve Wuhan). Le 14 janvier, l'OMS a affirmé que le virus ne pouvait pas être transmis entre personnes. Même le 30 janvier, l'OMS n'a pas expliqué l'urgence sanitaire. Ce n'est que le 14 février qu'une équipe de l'OMS est arrivée à Wuhan pour évaluer la situation sur place. Le 3 mars, l'OMS a annoncé que "Covid-29" ne serait pas transmis à d'autres personnes aussi facilement que la grippe. Ce n'est que le 11 mars que l'OMS a déclaré que l'épidémie de virus était une pandémie. Le président Trump avait déjà interdit les vols de Chine vers les États-Unis fin janvier. Les vols vers l'Allemagne ont été autorisés à voler jusqu'à la mi-mars. Bannon estime que 95% des décès dans le monde auraient pu être évités si la Chine avait honnêtement signalé l'épidémie de virus en décembre. Le virus aurait pu être contenu localement et les fermetures mondiales et la catastrophe économique évitées. Bannon a déclaré: «Nous sommes dans la crise la plus extraordinaire de l'histoire américaine moderne, pire que le Vietnam, la guerre froide et même la Seconde Guerre mondiale. Une pandémie mondiale et un enfer économique. Je n'ai aucune confiance en l'OMS, les dirigeants doivent être poursuivis et fermés. "
Texte intégral du décret du président Trump visant à empêcher la censure en ligne L'ordre exécutif est venu en réponse à Twitter, pour la première fois, ajoutant une étiquette de vérification des faits sur une paire de tweets de Trump plus tôt cette semaine. Le président Donald Trump s'exprime dans le bureau ovale de la Maison Blanche le 28 mai 2020 Le président Donald Trump a signé jeudi un décret exécutif visant à impliquer davantage le gouvernement fédéral dans la réglementation des sites de médias sociaux. L'ordre exécutif est venu en réponse à Twitter, pour la première fois, ajoutant une étiquette de vérification des faits sur une paire de tweets de Trump plus tôt cette semaine. Ci-dessous le texte intégral du décret: PRÉVENIR LA CENSURE EN LIGNE Par l'autorité qui m'est confiée en tant que président par la Constitution et les lois des États-Unis d'Amérique, il est ordonné comme suit: Section 1. Politique. La liberté d'expression est le fondement de la démocratie américaine. Nos pères fondateurs ont protégé ce droit sacré avec le premier amendement à la Constitution. La liberté d'exprimer et de débattre des idées est le fondement de tous nos droits en tant que peuple libre. Dans un pays qui chérit depuis longtemps la liberté d'expression, nous ne pouvons pas permettre à un nombre limité de plateformes en ligne de choisir à la main le discours auquel les Américains peuvent accéder et transmettre sur Internet. Cette pratique est fondamentalement anti-américaine et anti-démocratique. Lorsque de grandes et puissantes sociétés de médias sociaux censurent des opinions avec lesquelles elles ne sont pas d'accord, elles exercent un pouvoir dangereux. Ils cessent de fonctionner comme des tableaux d'affichage passifs et doivent être vus et traités comme des créateurs de contenu. La croissance des plateformes en ligne au cours des dernières années soulève d'importantes questions sur l'application des idéaux du premier amendement aux technologies de communication modernes. Aujourd'hui, de nombreux Américains suivent l'actualité, restent en contact avec leurs amis et leur famille et partagent leurs points de vue sur les événements actuels via les médias sociaux et d'autres plateformes en ligne. En conséquence, ces plates-formes fonctionnent à bien des égards comme l'équivalent du 21e siècle de la place publique. Twitter, Facebook, Instagram et YouTube possèdent un pouvoir immense, sinon sans précédent, pour façonner l'interprétation des événements publics; censurer, supprimer ou supprimer des informations; et contrôler ce que les gens voient ou ne voient pas. En tant que président, j'ai clairement exprimé mon engagement en faveur d'un débat libre et ouvert sur Internet. Un tel débat est tout aussi important en ligne que dans nos universités, nos mairies et nos foyers. Il est essentiel au maintien de notre démocratie. Les plateformes en ligne se livrent à une censure sélective qui nuit à notre discours national. Des dizaines de milliers d'Américains ont signalé, entre autres comportements troublants, que les plateformes en ligne «signalaient» le contenu comme inapproprié, même s'il ne violait aucune des conditions de service énoncées; apporter des changements inopinés et inexpliqués aux politiques de l'entreprise qui ont pour effet de défavoriser certains points de vue; et la suppression de contenu et de comptes entiers sans avertissement, sans justification et sans recours. Twitter décide désormais de manière sélective d'apposer une étiquette d'avertissement sur certains tweets d'une manière qui reflète clairement les préjugés politiques. Comme cela a été signalé, Twitter ne semble jamais avoir placé une telle étiquette sur le tweet d'un autre politicien. Pas plus tard que la semaine dernière, le représentant Adam Schiff continuait d'induire ses abonnés en erreur en colportant le canular russe de collusion, longtemps réfuté, et Twitter n'a pas signalé ces tweets. Sans surprise, son officier en charge de la soi-disant «intégrité du site» a affiché son parti pris politique dans ses propres tweets. Dans le même temps, les plateformes en ligne invoquent des justifications incohérentes, irrationnelles et sans fondement pour censurer ou restreindre autrement le discours des Américains ici au pays, plusieurs plateformes en ligne profitent et promeuvent l'agression et la désinformation propagées par des gouvernements étrangers comme la Chine. Une entreprise américaine, par exemple, a créé un moteur de recherche pour le Parti communiste chinois qui aurait mis sur liste noire les recherches sur les "droits de l'homme", a caché des données défavorables au Parti communiste chinois et a suivi les utilisateurs jugés appropriés pour la surveillance. Il a également établi des partenariats de recherche en Chine qui offrent des avantages directs aux militaires chinois. D'autres entreprises ont accepté des publicités payées par le gouvernement chinois qui diffusent de fausses informations sur l'emprisonnement de masse des minorités religieuses en Chine, permettant ainsi ces violations des droits de l'homme. Ils ont également amplifié la propagande de la Chine à l'étranger, notamment en permettant aux responsables du gouvernement chinois d'utiliser leurs plateformes pour diffuser des informations erronées sur les origines de la pandémie de COVID-19 et pour saper les manifestations pro-démocratiques à Hong Kong. En tant que nation, nous devons favoriser et protéger divers points de vue dans l'environnement de communications numériques d'aujourd'hui où tous les Américains peuvent et doivent avoir une voix. Nous devons rechercher la transparence et la responsabilité des plateformes en ligne, et encourager les normes et les outils pour protéger et préserver l'intégrité et l'ouverture du discours américain et la liberté d'expression. Seconde. 2. Protections contre la censure en ligne. a) Les États-Unis ont pour politique de favoriser des règles de base claires favorisant un débat libre et ouvert sur Internet. Parmi les règles de base régissant ce débat figure l'immunité de responsabilité créée par l'article 230 (c) de la Communications Decency Act (article 230 (c)). 47 USC 230 c). C'est la politique des États-Unis que la portée de cette immunité soit clarifiée: l'immunité ne doit pas s'étendre au-delà de son texte et de son objet pour protéger ceux qui prétendent offrir aux utilisateurs un forum pour la liberté de parole et la liberté d'expression, mais en réalité, l'utilisation leur pouvoir sur un moyen de communication vital pour s'engager dans des actions trompeuses ou prétextuelles étouffant le débat libre et ouvert en censurant certains points de vue. L'article 230 (c) a été conçu pour répondre aux premières décisions de justice jugeant que, si une plateforme en ligne restreignait l'accès à certains contenus publiés par d'autres, elle deviendrait ainsi un "éditeur" de tout le contenu affiché sur son site à des fins de délits tels que diffamation. Comme l'indique clairement le titre de l'article 230 c), la disposition prévoit une "protection" à responsabilité limitée pour un fournisseur de services informatiques interactifs (comme une plate-forme en ligne) qui se livre à un "blocage" bon samaritain "" de contenu préjudiciable. En particulier, le Congrès a cherché à fournir des protections aux plates-formes en ligne qui tentaient de protéger les mineurs contre les contenus préjudiciables et visaient à garantir que ces fournisseurs ne soient pas découragés de retirer du matériel préjudiciable. Cette disposition visait également à faire avancer la vision expresse du Congrès selon laquelle Internet est un «forum pour une véritable diversité de discours politique». 47 USC 230 a) 3). Les protections limitées prévues par la loi doivent être interprétées en tenant compte de ces objectifs. En particulier, le sous-alinéa c) (2) traite expressément des protections contre la "responsabilité civile" et précise qu'un fournisseur de services informatiques interactifs ne peut être tenu responsable "en raison de" sa décision de "bonne foi" de restreindre l'accès au contenu qu'il considère comme "obscène, obscène, lascif, sale, excessivement violent, harcelant ou autrement répréhensible". Les États-Unis ont pour politique de veiller à ce que, dans toute la mesure permise par la loi, cette disposition ne soit pas faussée pour protéger la responsabilité des plateformes en ligne qui - loin d'agir de "bonne foi" pour supprimer le contenu répréhensible - au lieu de cela, engager des actions trompeuses ou prétextuelles (souvent contraires à leurs conditions de service déclarées) pour étouffer les points de vue avec lesquels ils ne sont pas d'accord. L'article 230 n'était pas destiné à permettre à une poignée d'entreprises de devenir des titans contrôlant des voies vitales pour notre discours national sous prétexte de promouvoir des forums ouverts pour le débat, puis de fournir à ces mastodontes une immunité globale lorsqu'ils utilisent leur pouvoir pour censurer le contenu et le silence points de vue qu'ils n'aiment pas. Lorsqu'un fournisseur de services informatiques interactifs supprime ou restreint l'accès au contenu et que ses actions ne répondent pas aux critères du sous-alinéa c) (2) (A), il se livre à une conduite éditoriale. Les États-Unis ont pour politique qu'un tel fournisseur devrait correctement perdre le bouclier de responsabilité limitée du sous-alinéa c) (2) (A) et être exposé à une responsabilité comme tout éditeur et éditeur traditionnel qui n'est pas un fournisseur en ligne. b) Pour faire avancer la politique décrite au paragraphe a) de la présente section, tous les ministères et organismes exécutifs devraient veiller à ce que leur application de l'article 230 c) reflète correctement l'objectif étroit de l'article et prendre toutes les mesures appropriées à cet égard. En outre, dans les 60 jours suivant la date de la présente ordonnance, le secrétaire au commerce (secrétaire), en consultation avec le procureur général et agissant par l'intermédiaire de la National Telecommunications and Information Administration (NTIA), déposera une demande de réglementation auprès du gouvernement fédéral. Communications Commission (FCC) demandant à la FCC de proposer rapidement un règlement pour clarifier: (i) l'interaction entre les sous-alinéas c) (1) et c) (2) de l'article 230, en particulier pour clarifier et déterminer les circonstances dans lesquelles un fournisseur d'un service informatique interactif qui restreint l'accès au contenu d'une manière non spécifiquement protégé par le sous-alinéa c) (2) (A) peut également ne pas être en mesure de revendiquer la protection en vertu du sous-alinéa (c) (1), qui stipule simplement qu'un fournisseur ne doit pas être traité comme un éditeur ou un orateur pour rendre tiers le contenu disponible et n'adresse pas la responsabilité du fournisseur pour ses propres décisions éditoriales; (ii) les conditions dans lesquelles une mesure restreignant l'accès ou la disponibilité du matériel n'est pas «prise de bonne foi» au sens du sous-alinéa c) (2) (A) de l'article 230, en particulier si des mesures peuvent être «prises en bonne foi "s’ils sont: (A) trompeuse, prétextuelle ou incompatible avec les conditions de service d'un fournisseur; ou (B) prises après avoir omis de fournir un préavis adéquat, une explication motivée ou une occasion significative d'être entendu; et (iii) tout autre règlement proposé que la NTIA conclut peut être approprié pour faire avancer la politique décrite au paragraphe (a) de la présente section. Seconde. 3. Protéger les dollars des contribuables fédéraux du financement des plateformes en ligne qui restreignent la liberté d'expression Conseillé MAISON BLANCHETrump signe un décret visant les sociétés de médias sociaux après s'être énervé pour une vérification des faits ÉLECTION 2020Le rapport de Trump sur les experts juridiques vise les sociétés de médias sociaux (a) Le chef de chaque département exécutif et agence (agence) examine les dépenses fédérales de son agence en publicité et marketing versées aux plateformes en ligne. Cet examen doit inclure le montant d'argent dépensé, les plateformes en ligne qui reçoivent des dollars fédéraux et les autorités statutaires disponibles pour restreindre leur réception de dollars publicitaires. b) Dans les 30 jours suivant la date de la présente ordonnance, le chef de chaque agence fait rapport de ses conclusions au directeur du Bureau de la gestion et du budget. (c) Le ministère de la Justice examine les restrictions de discours basées sur les points de vue imposées par chaque plateforme en ligne identifiée dans le rapport décrit au paragraphe (b) de la présente section et évalue si des plateformes en ligne sont des véhicules problématiques pour le discours du gouvernement en raison de la discrimination des points de vue, tromperie envers les consommateurs ou autres mauvaises pratiques. Seconde. 4. Examen fédéral des actes ou pratiques déloyaux ou trompeurs. a) La politique des États-Unis est que les grandes plateformes en ligne, telles que Twitter et Facebook, en tant que moyen essentiel de promouvoir la libre circulation des idées et des paroles aujourd'hui, ne devraient pas restreindre la parole protégée. La Cour suprême a noté que les sites de médias sociaux, en tant que place publique moderne, "peuvent fournir les mécanismes les plus puissants à la disposition d'un simple citoyen pour faire entendre sa voix". Packingham c. Caroline du Nord , 137 S. Ct. 1730, 1737 (2017). La communication par ces canaux est devenue importante pour une participation significative à la démocratie américaine, y compris pour adresser des pétitions aux dirigeants élus. Ces sites fournissent un forum important au public pour permettre à d'autres de s'engager dans la libre expression et le débat. Cf. PruneYard Shopping Center c. Robins , 447 US 74, 85-89 (1980). (b) En mai 2019, la Maison Blanche a lancé un outil de rapport sur les biais technologiques pour permettre aux Américains de signaler les incidents de censure en ligne. En quelques semaines, la Maison Blanche a reçu plus de 16 000 plaintes de plateformes en ligne censurant ou prenant des mesures contre les utilisateurs en fonction de leurs points de vue politiques. La Maison Blanche soumettra ces plaintes reçues au ministère de la Justice et à la Federal Trade Commission (FTC). (c) La FTC doit envisager de prendre des mesures, selon qu'il convient et conformément à la loi applicable, pour interdire les actes ou pratiques déloyales ou trompeuses dans le commerce ou affectant le commerce, conformément à l'article 45 du titre 15 du Code des États-Unis. Ces actes ou pratiques déloyales ou trompeuses peuvent inclure des pratiques d'entités visées par l'article 230 qui restreignent le discours d'une manière qui ne correspond pas aux représentations publiques de ces entités au sujet de ces pratiques. (d) Pour les grandes plates-formes en ligne qui sont de vastes arènes de débat public, y compris la plate-forme de médias sociaux Twitter, la FTC doit également, conformément à son autorité légale, examiner si les plaintes allèguent des violations de la loi qui impliquent les politiques énoncées à l'article 4 ( a) de cette ordonnance. La FTC doit envisager d'élaborer un rapport décrivant ces plaintes et de le rendre public, conformément à la loi applicable. Seconde. 5. Examen par l'État des actes ou pratiques déloyaux ou trompeurs et des lois anti-discrimination. a) Le procureur général crée un groupe de travail sur l'application potentielle des lois des États qui interdisent aux plateformes en ligne de se livrer à des actes ou pratiques déloyaux ou trompeurs. Le groupe de travail élaborera également une législation type pour examen par les assemblées législatives des États où les lois existantes ne protègent pas les Américains contre de tels actes et pratiques déloyaux et trompeurs. Le groupe de travail invite les procureurs généraux des États à discuter et à consulter, selon qu'il convient et conformément à la législation applicable. (b) Les plaintes décrites à l'article 4 (b) de la présente ordonnance seront partagées avec le groupe de travail, conformément à la loi applicable. Le groupe de travail recueille également des informations accessibles au public concernant: (i) un contrôle accru des utilisateurs en fonction des autres utilisateurs qu'ils choisissent de suivre ou de leurs interactions avec d'autres utilisateurs; (ii) des algorithmes pour supprimer le contenu ou les utilisateurs sur la base d'indications d'alignement politique ou de point de vue; (iii) des politiques différentielles autorisant un comportement autrement inadmissible, lorsqu'elles sont commises par des comptes associés au Parti communiste chinois ou à d'autres associations ou gouvernements anti-démocratiques; (iv) le recours à des entités tierces, y compris des sous-traitants, des organisations de médias et des individus, avec des indices de parti pris pour examiner le contenu; et (v) les actes qui limitent la capacité des utilisateurs ayant des points de vue particuliers à gagner de l'argent sur la plate-forme par rapport à d'autres utilisateurs situés de manière similaire. Seconde. 6. Législation. Le procureur général doit élaborer une proposition de loi fédérale qui serait utile pour promouvoir les objectifs de politique de cette ordonnance. Seconde. 7. Définition. Aux fins de cette commande, le terme «plate-forme en ligne» désigne tout site Web ou application qui permet aux utilisateurs de créer et de partager du contenu ou de s'engager dans les réseaux sociaux, ou tout moteur de recherche général. Seconde. 8. Dispositions générales. (a) Rien dans la présente ordonnance ne doit être interprété comme portant atteinte ou autrement affectant: (i) l'autorité conférée par la loi à un département ou organisme exécutif, ou à son chef; ou (ii) les fonctions de directeur du Bureau de la gestion et du budget relatives aux propositions budgétaires, administratives ou législatives. (b) La présente ordonnance sera exécutée conformément à la loi applicable et sous réserve de la disponibilité des crédits. (c) La présente ordonnance n'est pas destinée à créer et ne crée aucun droit ou avantage, substantiel ou procédural, exécutoire en droit ou en équité par une partie contre les États-Unis, ses départements, agences ou entités, ses dirigeants, employés ou des agents ou toute autre personne. DONALD J. TRUMP SOURCE: https://www.nbcnews.com/politics/donald-trump/full-text-president-trump-s-executive-order-aimed-preventing-online-n1217126