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Leur Plan est dans leur chaudron depuis 1773 1773 - Mayer Amschel Rothschild Mayer Amschel Rothschild réunit douze de ses amis les plus influents et les convainc que s'ils mettent leurs ressources en commun, ils peuvent gouverner le monde. Cette réunion a lieu à Francfort, en Allemagne. Rothschild informe également ses amis qu'il a trouvé le candidat parfait, un individu d'une intelligence et d'une ingéniosité incroyables, pour diriger l'organisation qu'il a planifiée - Adam Weishaupt. 1er mai 1776 - Adam Weishaupt Adam WeishauptAdam Weishaupt (nom de code Spartacus) fonde une société secrète appelée l'Ordre des Illuminati. Weishaupt est professeur de droit canonique à l'université d'Ingolstadt en Bavière, une partie de l'Allemagne. Les Illuminati cherchent à établir un Nouvel Ordre Mondial. Leurs objectifs sont les suivants Abolition de tous les gouvernements ordonnés Abolition de la propriété privée Abolition de l'héritage Abolition du patriotisme Abolition de la famille Abolition de la religion Création d'un gouvernement mondial Juillet 1782 - L'Ordre des Illuminati L'ordre des Illuminati s'associe à la franc-maçonnerie lors du congrès de Wilhelmsbad. Le Comte de Virieu, participant à la conférence, en ressort visiblement ébranlé. Interrogé sur les "tragiques secrets" qu'il a rapportés avec lui, il répond : "Je ne vous les confierai pas. Je peux seulement vous dire que tout cela est beaucoup plus grave que vous ne le pensez." Dès lors, selon son biographe, "le comte de Virieu ne pouvait parler de la franc-maçonnerie qu'avec horreur." La pyramide sur le billet de un dollar américain L'insigne de l'ordre des Illuminati apparaît pour la première fois au revers des billets de un dollar américain en 1933. On peut lire, à la base de la pyramide à 13 étages, l'année 1776 (MDCCLXVI en chiffres romains). L'œil qui rayonne dans toutes les directions est l'"œil universel" qui symbolise l'agence terroriste, semblable à la Gestapo, mise en place par Weishaupt. Les mots latins "ANNUIT COEPTIS" signifient "notre entreprise (conspiration) a été couronnée de succès". En dessous, "NOVUS ORDO SECLORUM" explique la nature de l'entreprise : un "Nouvel Ordre Social" ou un "Nouvel Ordre Mondial". 1785 - Plan détaillé de la révolution française trouvé Un messager Illuminati nommé Lanze est frappé par la foudre et tué alors qu'il traversait à cheval la ville de Ratisbonne. Lorsque les autorités bavaroises examinent le contenu de ses sacoches, elles découvrent l'existence de l'Ordre des Illuminati, et trouvent des plans détaillés de la future Révolution française. Le gouvernement bavarois tente d'alerter le gouvernement français de l'imminence du désastre, mais ce dernier ne tient pas compte de cet avertissement. Les autorités bavaroises arrêtent tous les membres des Illuminati qu'elles peuvent trouver, mais Weishaupt et les autres sont entrés dans la clandestinité et sont introuvables. 1796 - La franc-maçonnerie Symbole maçonnique La franc-maçonnerie devient un enjeu majeur de l'élection présidentielle aux États-Unis. John Adams remporte l'élection en s'opposant à la maçonnerie, et son fils, John Quincy Adams, met en garde contre la terrible menace que représentent les loges maçonniques pour la nation : "Je crois consciencieusement et sincèrement que l'ordre de la franc-maçonnerie, si ce n'est le plus grand, est l'un des plus grands maux moraux et politiques sous lesquels l'Union travaille actuellement." 1797 - John Robison John Robison, professeur d'histoire naturelle à l'université d'Édimbourg en Écosse, publie un livre intitulé "Preuves d'une conspiration" dans lequel il révèle qu'Adam Weishaupt a tenté de le recruter. Il expose au monde entier les objectifs diaboliques des Illuminati. 1821 - George W. F. Hegel George W. F. Hegel formule ce qu'on appelle la dialectique hégélienne - le processus par lequel les objectifs des Illuminati sont atteints. Selon la dialectique hégélienne, thèse plus antithèse égale synthèse. En d'autres termes, vous commencez par fomenter une crise. Ensuite, il y a un énorme tollé public pour dire que quelque chose doit être fait pour résoudre le problème. Vous proposez alors une solution qui apporte les changements que vous souhaitiez depuis le début, mais que les gens n'auraient pas été disposés à accepter au départ. 1828 - Mayer Amschel Rothschild Mayer Amschel Rothschild, qui finance les Illuminati, exprime son mépris le plus total pour les gouvernements nationaux qui tentent de réglementer les banquiers internationaux tels que lui : "Permettez-moi d'émettre et de contrôler l'argent d'une nation, et je ne me soucie pas de savoir qui écrit les lois." 1848 - Moses Mordecai Marx Levy Moses Mordecai Marx Levy, alias Karl Marx, écrit "Le Manifeste communiste". Marx est membre d'une organisation de façade des Illuminati appelée la Ligue des Justes. Il ne préconise pas seulement des changements économiques et politiques, mais aussi des changements moraux et spirituels. Il pense que la famille devrait être abolie et que tous les enfants devraient être élevés par une autorité centrale. Il exprime son attitude envers Dieu en disant : "Nous devons faire la guerre à toutes les idées dominantes de la religion, de l'État, de la patrie, du patriotisme. L'idée de Dieu est la note clé d'une civilisation pervertie. Elle doit être détruite." 22 janv. 1870 - Albert Pike Dans une lettre adressée au leader révolutionnaire italien Giuseppe Mazzini, Albert Pike - Souverain Grand Commandeur de la Juridiction du Sud du Rite écossais de la franc-maçonnerie - annonce la création d'une société secrète dans une société secrète : "Nous devons créer un super rite, qui restera inconnu, auquel nous appellerons les Maçons de haut degré que nous choisirons. A l'égard de nos frères maçons, ces hommes devront s'engager au plus strict secret. Par ce rite suprême, nous gouvernerons toute la franc-maçonnerie qui deviendra le seul centre international, d'autant plus puissant que sa direction sera inconnue." Cette organisation ultra-secrète s'appelle le Rite Paladin Nouveau et Réformé. (C'est pourquoi environ 95% des hommes impliqués dans la franc-maçonnerie n'ont pas la moindre idée de ce que sont réellement les objectifs de l'organisation. Ils sont sous l'illusion que c'est juste une belle organisation communautaire qui fait de bonnes œuvres). 1875 - Helena Petrovna Blavatsky L'occultiste russe Helena Petrovna Blavatsky fonde la Société théosophique. Madame Blavatsky affirme que des hommes saints tibétains de l'Himalaya, qu'elle appelle les Maîtres de la Sagesse, ont communiqué avec elle à Londres par télépathie. Elle insiste sur le fait que les chrétiens ont tout faux, que Satan est bon et que Dieu est mauvais. Elle écrit : "Les chrétiens et les scientifiques doivent être amenés à respecter leurs homologues indiens. La sagesse de l'Inde, sa philosophie et ses réalisations, doivent être connues en Europe et en Amérique." 1884 - La Fabian Society La Fabian Society est fondée en Grande-Bretagne pour promouvoir le socialisme. La Fabian Society tire son nom du général romain Fabius Maximus, qui a combattu l'armée d'Hannibal par petites escarmouches débilitantes, plutôt que de tenter une bataille décisive. Vaud, 26 septembre 1885 Lettre d'Elysé Reclus à Jean Grave: "Compagnons, Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n'est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l'exercice du droit de suffrage. Le délai que vous m'accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j'ai à vous dire peut se formuler en quelques mots. Voter, c'est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c'est renoncer à sa propre souveraineté. Qu'il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d'une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu'ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir. Voter, c'est être dupe ; c'est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d'une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l'échenillage des arbres à l'extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l'immensité de la tâche. L'histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement. Voter c'est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l'honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l'homme change avec lui. Aujourd'hui, le candidat s'incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L'ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu'il était avant d'avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n'apprend-il pas à courber l'échine quand le banquier daigne l'inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l'honneur de l'entretenir dans les antichambres ? L'atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s'ils en sortent corrompus. N'abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d'autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d'action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c'est manquer de vaillance. Je vous salue de tout cœur, compagnons ." 14 juillet 1889 - Albert Pike révèle qui est le véritable objet du culte maçonnique Albert Pike donne des instructions aux 23 Suprêmes Conseils du monde entier le 14 juillet 1889. Il révèle qui est le véritable objet de l'adoration maçonnique : "A vous, Souverains Grands Instructeurs Généraux, nous disons ceci, afin que vous puissiez le répéter aux Frères des 32e, 31e et 30e degrés : La religion maçonnique doit être, par nous tous, initiés des hauts degrés, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne." 1890-1896 - Cecil Rhodes Cecil Rhodes, élève enthousiaste de John Ruskin, est Premier ministre de l'Afrique du Sud, alors colonie britannique. Il est en mesure d'exploiter et de contrôler les richesses en or et en diamants de l'Afrique du Sud. Il travaille à placer toutes les parties habitables du monde sous la domination d'une élite dirigeante. À cette fin, il utilise une partie de son immense richesse pour établir les célèbres bourses Rhodes. 1893 - Le Parlement des religions du monde se tient à Chicago. La Société théosophique parraine un Parlement des religions du monde qui se tient à Chicago. L'objectif de cette convention est d'introduire en Occident des concepts hindous et bouddhistes, comme la croyance en la réincarnation. 1911 - Le Socialist Party of Great Britain publie "Socialism and Religion". Le Socialist Party of Great Britain publie un pamphlet intitulé "Socialism and Religion" ( le socialisme et la religion) dans lequel il expose clairement sa position sur le christianisme : "C'est donc une vérité profonde que le socialisme est l'ennemi naturel de la religion. Un socialiste chrétien est en fait un anti-socialiste. Le christianisme est l'antithèse du socialisme." 1912 - Le colonel Edward Mandell House Le colonel Edward Mandell House, proche conseiller du président Woodrow Wilson, publie "Phillip Dru : Administrator", dans lequel il promeut "le socialisme tel que rêvé par Karl Marx". 3 février 1913 - Le 16e amendement à la Constitution américaine Le 16e amendement à la Constitution des États-Unis, qui permet au gouvernement fédéral d'imposer un impôt progressif sur le revenu, est ratifié. Le deuxième volet du "Manifeste communiste" préconisait un impôt progressif sur le revenu. (Au Canada, l'impôt sur le revenu est introduit en 1917, comme "mesure temporaire" pour financer l'effort de guerre). 1913 - Le président Woodrow Wilson Le président Woodrow Wilson publie "The New Freedom" dans lequel il révèle : "Depuis que je suis entré en politique, ce sont principalement les opinions des hommes qui m'ont été confiées en privé. Certains des plus grands hommes des États-Unis, dans le domaine du commerce et de la fabrication, ont peur de quelqu'un, ont peur de quelque chose. Ils savent qu'il existe quelque part un pouvoir si organisé, si subtil, si vigilant, si imbriqué, si complet, si envahissant, qu'ils feraient mieux de ne pas parler trop fort lorsqu'ils le condamnent." 23 déc. 1913 - La Réserve fédérale La Réserve fédérale (qui n'est ni fédérale ni une réserve - c'est une institution privée) est créée. Elle a été planifiée lors d'une réunion secrète en 1910 sur l'île Jekyl, en Géorgie, par un groupe de banquiers et de politiciens, dont le colonel House. Cela transfère le pouvoir de créer de la monnaie du gouvernement américain à un groupe privé de banquiers. Le Federal Reserve Act est adopté à la hâte juste avant les vacances de Noël. Le membre du Congrès Charles A. Lindbergh Sr. (père du célèbre aviateur) prévient : "Cette loi établit le plus gigantesque trust de la planète. Lorsque le président signera cet acte, le gouvernement invisible par le pouvoir de l'argent, dont l'existence a été prouvée par l'enquête sur le Money Trust, sera légalisé." 1916 - Le président Woodrow Wilson observe Trois ans après avoir signé la loi sur la Réserve Fédérale, le Président Woodrow Wilson observe : "Je suis un homme très malheureux. J'ai involontairement ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré. La croissance de la nation, par conséquent, et toutes nos activités sont entre les mains de quelques hommes. Nous sommes devenus l'un des gouvernements les plus mal gouvernés, l'un des plus complètement contrôlés et dominés du monde civilisé. Ce n'est plus un gouvernement par la libre opinion, ce n'est plus un gouvernement par la conviction et le vote de la majorité, mais un gouvernement par l'opinion et la contrainte d'un petit groupe d'hommes dominants." 1917 - V. I. Lénine Avec l'aide de financiers de New York et de Londres, V. I. Lénine parvient à renverser le gouvernement de la Russie. Lénine commente plus tard l'apparente contradiction des liens entre les grands capitalistes et le communisme : "Il existe aussi une autre alliance - à première vue étrange, surprenante - mais si l'on y réfléchit, en fait, elle est bien fondée et facile à comprendre. C'est l'alliance entre nos dirigeants communistes et vos capitalistes." (Vous vous souvenez de la dialectique hégélienne ?) Le 30 mai 1919 - Institut royal des affaires internationales (l'Institue Royale des affaires internationales) Des personnalités britanniques et américaines éminentes créent le Royal Institute of International Affairs en Angleterre et l'Institute of International Affairs aux États-Unis lors d'une réunion organisée par le colonel House ; plusieurs socialistes fabiens, dont le célèbre économiste John Maynard Keynes, y participent. 1920 - Winston Churchill Le Britannique Winston Churchill reconnaît le lien entre les Illuminati et la révolution bolchevique en Russie. Il observe : "De l'époque de Spartacus-Weishaupt à celle de Karl Marx, en passant par celle de Trotsky, Bela Kun, Rosa Luxembourg et Emma Goldman, cette conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base d'un développement arrêté, d'une malveillance envieuse et d'une égalité impossible, n'a cessé de croître. Elle a joué un rôle tout à fait reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française. Elle a été le ressort de tous les mouvements subversifs du XIXe siècle, et aujourd'hui enfin, cette bande de personnalités extra-ordinaires issues des bas-fonds des grandes villes d'Europe et d'Amérique a saisi le peuple russe par les cheveux et est devenue pratiquement le maître incontesté de cet énorme empire." 1920-1931 - Louis T. McFadden Louis T. McFadden est président de la commission de la Chambre des représentants sur les banques et des devies. Concernant la Réserve fédérale, le député McFadden note : "Lorsque la loi sur la Réserve fédérale a été adoptée, le peuple de ces États-Unis ne s'est pas rendu compte qu'un système bancaire mondial était en train de se mettre en place ici. Un super-état contrôlé par des banquiers internationaux et des industriels internationaux agissant ensemble pour asservir le monde pour leur propre plaisir. Tous les efforts ont été faits par la Fed pour dissimuler ses pouvoirs, mais la vérité est que - la Fed a usurpé le gouvernement. Elle contrôle tout ici, et elle contrôle toutes nos relations étrangères. Elle fait et défait les gouvernements à volonté." Concernant la Grande Dépression et l'acceptation par le pays du New Deal de FDR, il affirme : "Ce n'était pas un accident. C'était un événement soigneusement préparé. Les banquiers internationaux ont cherché à créer un état de désespoir ici afin de pouvoir émerger comme les dirigeants de nous tous." 1921 - Conseil des relations extérieures (CFR) Le colonel House réorganise la branche américaine de l'Institute of International Affairs pour en faire le Council on Foreign Relations (CFR). (Au cours des 60 dernières années, 80 % des postes à responsabilité de chaque administration - qu'elle soit démocrate ou républicaine - ont été occupés par des membres de cette organisation). 15 décembre 1922 - Le CFR approuve le gouvernement mondial. Le CFR approuve le gouvernement mondial dans son magazine "Foreign Affairs". L'auteur Philip Kerr déclare dans "From Empire to Commonwealth" : "De toute évidence, il n'y aura ni paix ni prospérité pour l'humanité tant que la terre restera divisée en 50 ou 60 États indépendants, jusqu'à ce qu'une sorte de système international soit créé. Le vrai problème aujourd'hui est celui du gouvernement mondial." 1928 - The Open Conspiracy : Blue Prints for a World Revolution par H. G. Wells Publication de "The Open Conspiracy : Blue Prints for a World Revolution" de H. G. Wells. Ancien socialiste fabien, Wells écrit : "Le monde politique de la Conspiration ouverte doit affaiblir, effacer, incorporer et remplacer les gouvernements existants. L'Open Conspiracy est l'héritier naturel des enthousiasmes socialistes et communistes ; elle peut contrôler Moscou avant de contrôler New York. Le caractère de la Conspiration ouverte va maintenant être clairement exposé. Ce sera une religion mondiale". 1933 - La Forme des choses à venir par H. G. Wells Publication de "The Shape of Things to Come" de H. G. Wells. Wells prédit une seconde guerre mondiale vers 1940, provenant d'un conflit germano-polonais. Après 1945, il y aurait un manque croissant de sécurité publique dans les zones "criminellement infectées". Le plan de l'"État mondial moderne" réussira à sa troisième tentative, à la suite d'un événement survenu à Bassora, en Irak. Le livre déclare également : "Bien que le gouvernement mondial ait été clairement annoncé depuis quelques années, bien qu'il ait été sans cesse craint et qu'on ait murmuré contre lui, il n'a trouvé aucune opposition nulle part." 21 nov. 1933 - Franklin Roosevelt Dans une lettre au colonel Edward M. House, le président Franklin Roosevelt écrit : "La véritable vérité du problème est, comme vous et moi le savons, qu'un élément financier dans les grands centres possède le gouvernement depuis l'époque d'Andrew Jackson." Mars 1942 - Conseil fédéral des Eglises Conseil fédéral des églises Un article paru dans le magazine "TIME" relate que le Conseil fédéral des Églises (qui deviendra plus tard le Conseil national des Églises, qui fait partie du Conseil mondial des Églises) prête son concours aux efforts visant à établir une autorité mondiale. Une réunion des hauts responsables du conseil se prononce en faveur de : un gouvernement mondial de pouvoirs délégués ; de fortes limitations immédiates de la souveraineté nationale ; le contrôle international de toutes les armées et marines. Les représentants (375 d'entre eux) d'une trentaine de confessions affirment qu'"un nouvel ordre de vie économique est à la fois imminent et impératif" - un nouvel ordre qui ne manquera pas de venir soit "par une coopération volontaire dans le cadre de la démocratie, soit par une révolution explosive." 28 juin 1945 - Le président Harry Truman Le président américain Harry Truman approuve un gouvernement mondial dans un discours : "Il sera tout aussi facile pour les nations de s'entendre dans une république du monde que pour nous de nous entendre dans une république des États-Unis." 24 octobre 1945 - Charte des Nations Unies La Charte des Nations Unies entre en vigueur. Le 24 octobre également, le sénateur Glen Taylor (D-Idaho) présente la résolution 183 du Sénat, qui demande au Sénat des États-Unis de se prononcer en faveur de la création d'une république mondiale, y compris une force de police internationale. 7 février 1950 - James Warburg Le financier international et membre du CFR James Warburg déclare à une sous-commission des relations étrangères du Sénat : "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non - par conquête ou par consentement." 9 février 1950 - Résolution n° 66 La sous-commission des relations étrangères du Sénat présente la résolution concurrente n° 66, qui commence ainsi : "Attendu qu'afin de parvenir à la paix et à la justice universelles, l'actuelle Charte des Nations Unies devrait être modifiée pour fournir une véritable constitution de gouvernement mondial." 1952 - Association mondiale des parlementaires pour un gouvernement mondial L'Association mondiale des parlementaires pour un gouvernement mondial établit une carte destinée à illustrer la manière dont les troupes étrangères occuperaient et surveilleraient les six régions dans lesquelles les États-Unis et le Canada seront divisés dans le cadre de leur plan de gouvernement mondial. 1954 - Le prince Bernhard des Pays-Bas crée les Bilderbergers. Le prince Bernhard des Pays-Bas crée les Bilderbergers : des politiciens et des banquiers internationaux qui se réunissent secrètement chaque année. 1961 - Le Département d'État américain publie le document 7277. Le Département d'État américain publie le document 7277, intitulé "Freedom From War : The U.S. Program for General and Complete Disarmament in a Peaceful World". Il détaille un plan en trois étapes pour désarmer toutes les nations et armer l'ONU, avec une étape finale dans laquelle "aucun État n'aurait la puissance militaire pour défier la force de paix de l'ONU progressivement renforcée". 1966 - Tragédie et espoir par Carroll Quigley Le professeur Carroll Quigley, mentor de Bill Clinton à l'université de Georgetown, rédige un énorme volume intitulé "Tragédie et espoir" dans lequel il déclare : "Il existe et a existé pendant une génération, un réseau international qui opère, dans une certaine mesure, de la manière dont la droite radicale croit que les communistes agissent. En fait, ce réseau, que nous pouvons identifier comme les groupes de la Table ronde, n'a aucune répugnance à coopérer avec les communistes, ou tout autre groupe, et le fait fréquemment. Je connais les opérations de ce réseau parce que je l'ai étudié pendant vingt ans et que j'ai été autorisé pendant deux ans, au début des années 1960, à examiner ses documents et ses dossiers secrets. Je n'ai aucune aversion pour lui ou pour la plupart de ses objectifs, et j'ai, pendant une grande partie de ma vie, été proche de lui et de beaucoup de ses instruments. Je me suis opposé, dans le passé et récemment, à quelques-unes de ses politiques, mais en général, ma principale différence d'opinion est qu'il souhaite rester inconnu, et je crois que son rôle dans l'histoire est suffisamment important pour être connu." Avril 1972 - Chester M. Pierce Dans son discours d'ouverture prononcé devant l'Association pour l'éducation de l'enfance internationale, Chester M. Pierce, professeur d'éducation et de psychiatrie à la faculté de médecine de l'université Harvard, proclame : "Chaque enfant en Amérique qui entre à l'école à l'âge de cinq ans est fou parce qu'il arrive à l'école avec certaines allégeances envers nos pères fondateurs, envers ses parents, envers une croyance en un être surnaturel. C'est à vous, enseignants, de guérir tous ces enfants malades en créant l'enfant international du futur." Juillet 1973 - La Commission trilatérale Le banquier international et membre inconditionnel du subversif Council on Foreign Relations, David Rockefeller, fonde une nouvelle organisation appelée la Commission trilatérale, dont le but officiel est "d'harmoniser les relations politiques, économiques, sociales et culturelles entre les trois grandes régions économiques du monde" (d'où le nom de "Trilatérale"). Il invite le futur président Jimmy Carter à devenir l'un des membres fondateurs. Zbigniew Brzezinski est le premier directeur de l'organisation. La Commission trilatérale Il existe trois grandes zones économiques dans le monde : l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Extrême-Orient (Japon, Corée du Sud, Taïwan, etc.). Si, sous prétexte de devoir unir leurs forces pour pouvoir faire face à la concurrence économique des deux autres régions économiques, les pays membres de chacune de ces trois régions décident de fusionner en un seul pays, formant ainsi trois super-États, alors le gouvernement mondial unique sera presque réalisé. Comme les socialistes fabiens, ils atteignent leur but ultime (un gouvernement mondial) étape par étape. Cet objectif est presque atteint en Europe avec l'Acte unique européen (traité de Maastricht) mis en œuvre en 1993, qui oblige tous les pays membres de la Communauté européenne à abolir leurs barrières commerciales et à confier leurs politiques monétaires et fiscales aux technocrates de la Commission européenne à Bruxelles, en Belgique. En janvier 2002, tous ces pays européens ont abandonné leurs monnaies nationales pour ne partager qu'une seule monnaie commune, l'"Euro". En outre, le traité de Nice a retiré davantage de pouvoirs aux pays pour les confier à la Commission européenne. Ce qui a commencé innocemment en 1952 sous le nom de CEE (Communauté économique européenne, une autorité commune pour réglementer l'industrie du charbon et de l'acier parmi les nations européennes), s'est finalement transformé en un super-État européen. Jean Monnet, économiste socialiste français et fondateur de la CEE, avait cette idée en tête lorsqu'il a déclaré : "L'union politique suit inévitablement l'union économique". Il a également déclaré en 1948 : "La création d'une Europe unie doit être considérée comme un pas essentiel vers la création d'un monde uni." En ce qui concerne l'espace nord-américain, la fusion de ses pays membres est bien engagée avec le passage au libre-échange entre le Canada et les États-Unis, puis le Mexique. Dans les prochaines années, cet accord de libre-échange est censé inclure également toute l'Amérique du Sud et centrale, avec une monnaie unique pour tous. Le président mexicain Vucente Fox a déclaré le 6 mai 2002 à Madrid : "A terme, notre objectif à long terme est d'établir avec les Etats-Unis, mais aussi avec le Canada, notre autre partenaire régional, un ensemble de connexions et d'institutions similaires à celles créées par l'Union européenne." 1973 - Le monde divisé en dix royaumes Le Club de Rome, un organisme des Nations Unies, publie un rapport intitulé "Modèle régionalisé et adaptatif du système mondial". Ce rapport divise le monde entier en dix royaumes. (Le rapport de 1973 est absent du site Web original) 1979 - FEMA La FEMA, qui signifie Agence fédérale de gestion des urgences, se voit attribuer des pouvoirs énormes. Elle a le pouvoir, en cas d'"urgence nationale", de suspendre les lois, de déplacer des populations entières, d'arrêter et de détenir des citoyens sans mandat, et de les garder sans procès. Il peut saisir des biens, des réserves de nourriture, des systèmes de transport, et peut suspendre la Constitution. Non seulement c'est l'entité la plus puissante des États-Unis, mais elle n'a même pas été créée par le Congrès en vertu de la loi constitutionnelle. Elle est le fruit d'un décret présidentiel. Un ordre exécutif devient une loi simplement par la signature du président des États-Unis ; il n'a même pas besoin d'être approuvé par les représentants ou les sénateurs du Congrès. Un état d'"urgence nationale" peut être une attaque terroriste, une catastrophe naturelle ou un krach boursier, par exemple. Voici quelques décrets associés à la FEMA qui suspendent la Constitution et la Déclaration des droits. Ces décrets sont enregistrés depuis près de 30 ans et pourraient être promulgués d'un simple trait de plume présidentiel : #10995 : Droit de saisir tous les moyens de communication aux États-Unis. #10997 : Droit de saisir toute l'énergie électrique, les carburants et les minéraux, tant publics que privés. #10999 : Droit de saisir tous les moyens de transport, y compris les véhicules personnels de toute sorte, et contrôle total des autoroutes, des ports maritimes et des voies navigables. #11000 : Droit de s'emparer de tout le peuple américain et de diviser les familles afin de créer des forces de travail qui seront transférées là où le gouvernement le jugera bon. #11001 : Droit de saisir toutes les installations de santé, d'éducation et de bien-être, tant publiques que privées. #11002 : Droit de forcer l'enregistrement de tous les hommes, femmes et enfants des États-Unis. #11003 : Droit de saisir tout l'espace aérien, les aéroports et les avions. #11004 : Droit de saisir toutes les autorités chargées du logement et des finances afin d'établir des "zones de relogement désignées", et de forcer l'abandon des zones classées "dangereuses". #11005 : Droit de saisir tous les chemins de fer, les voies navigables intérieures et les installations de stockage, tant publiques que privées. #11921 : Autorise les plans visant à établir le contrôle du gouvernement sur les salaires et les traitements, le crédit et les flux d'argent dans les institutions financières américaines. 1991 - George Bush Sr. fait l'éloge du Nouvel Ordre Mondial Le président George Bush père (père de l'actuel président américain) fait l'éloge du Nouvel Ordre Mondial dans un message sur l'état de l'Union : "Ce qui est en jeu est plus qu'un petit pays ; c'est une grande idée - un nouvel ordre mondial... pour réaliser les aspirations universelles de l'humanité... sur la base de principes partagés et de l'état de droit.... L'illumination de mille points de lumière... Les vents du changement sont avec nous maintenant". (La théosophe Alice Bailey a utilisé cette même expression - "points de lumière" - pour décrire le processus d'illumination occulte). Juin 1991 - Société Bilderberg à Baden Baden, Allemagne Les dirigeants mondiaux sont réunis pour une autre réunion à huis clos de la société Bilderberg à Baden Baden, en Allemagne. Lors de cette réunion, David Rockefeller a déclaré dans un discours : "Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de quarante ans. Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l'autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés." 29 oct. 1991 - David Funderburk David Funderburk, ancien ambassadeur des États-Unis en Roumanie, déclare à un public de Caroline du Nord : "George Bush s'est entouré de personnes qui croient en un gouvernement mondial unique. Ils croient que le système soviétique et le système américain sont en train de converger." 21 mai 1992 - Henry Kissinger Dans un discours prononcé devant l'organisation Bilderberger réunie à Évian, en France, l'ancien secrétaire d'État Henry Kissinger déclare : "Aujourd'hui, les Américains seraient scandalisés si des troupes de l'ONU entraient à Los Angeles pour rétablir l'ordre ; demain, ils seront reconnaissants ! Cela est particulièrement vrai si on leur dit qu'il existe une menace extérieure, réelle ou promulguée, qui menace notre existence même. C'est alors que tous les peuples du monde imploreront les dirigeants mondiaux de les délivrer de ce mal. La seule chose que tout homme craint, c'est l'inconnu. Lorsqu'on leur présentera ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés pour la garantie de leur bien-être que leur accordera leur gouvernement mondial." 20 juillet 1992 - "La naissance de la nation mondiale", par Strobe Talbott Le magazine "TIME" publie "The Birth of the Global Nation", de Strobe Talbott, boursier de Rhodes, colocataire de Bill Clinton à l'Université d'Oxford, directeur du CFR et Trilatéraliste (et nommé secrétaire d'État adjoint par le président Clinton), dans lequel il écrit : "La nation telle que nous la connaissons sera obsolète ; tous les États reconnaîtront une autorité mondiale unique.... Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux... Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en fait ils sont tous artificiels et temporaires... Peut-être que la souveraineté nationale n'était pas une si bonne idée après tout... Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, à la fois merveilleux et terrible, pour que le gouvernement mondial devienne une évidence." 1993 - deuxième Parlement des religions du monde Parlement des religions du monde Un deuxième Parlement des religions du monde se tient à Chicago à l'occasion du 100e anniversaire du premier. Comme la première convention, celle-ci cherche à réunir toutes les religions du monde en "un tout harmonieux", mais elle veut les faire "fusionner à nouveau dans leur élément d'origine." Les croyances traditionnelles des religions monothéistes comme le christianisme sont considérées comme incompatibles avec l'"en- lumière" individuelle, et doivent être radicalement modifiées. 18 juillet 1993 - ALENA Henry Kissinger, membre de NAFTACFR et Trilatéraliste, écrit dans le "Los Angeles Times" à propos de NAFTA (North American Free Trade Agreement) : "Ce que le Congrès aura devant lui n'est pas un accord commercial conventionnel mais l'architecture d'un nouveau système international... un premier pas vers un nouvel ordre mondial." 1994 - Gouvernance mondiale pour le 21e siècle Programme des Nations unies pour le développement humain. Dans le Rapport mondial sur le développement humain, publié par le Programme des Nations unies pour le développement, il y avait une section intitulée "La gouvernance mondiale pour le 21e siècle." (page 88). L'administrateur de ce programme a été nommé par Bill Clinton. Son nom est James Gustave Speth. La phrase d'ouverture du rapport disait : "Les problèmes de l'humanité ne peuvent plus être résolus par un gouvernement national. Ce qu'il faut, c'est un gouvernement mondial. Le meilleur moyen d'y parvenir est de renforcer le système des Nations Unies." 3 mai 1994 - Bill Clinton signe la directive de décision présidentielle 25, puis la déclare classifiée afin que le peuple américain ne puisse pas voir ce qu'elle contient. (Le résumé de la PDD-25 remis aux membres du Congrès nous apprend qu'elle autorise le président à remettre le contrôle des unités militaires américaines au commandement de l'ONU). 23 septembre 1994 - De plus en plus de gens commencent à se réveiller Les mondialistes se rendent compte qu'à mesure que de plus en plus de gens commencent à se rendre compte de ce qui se passe, ils n'ont qu'un temps limité pour mettre en oeuvre leurs politiques. S'exprimant lors du dîner des ambassadeurs des Nations unies, David Rockefeller déclare : "Cette fenêtre d'opportunité actuelle, au cours de laquelle un ordre mondial véritablement pacifique et interdépendant pourrait être construit, ne sera pas ouverte très longtemps... Nous sommes au bord d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c'est de la bonne crise majeure, et les nations accepteront le nouvel ordre mondial." Mars 1995-Sommet mondial pour le développement social Copenhague - impôts mondiaux Les délégués de l'ONU se réunissent au Sommet mondial pour le développement social à Copenhague, au Danemark, pour discuter des différentes méthodes permettant d'imposer des taxes mondiales aux habitants de la planète. Sept. 1995 - HAARP Le magazine "Popular Science" décrit une installation top secrète de la marine américaine appelée HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Program) dans l'État de l'Alaska. Ce projet projette une puissante énergie radio dans la haute atmosphère de la terre. L'un des objectifs du programme est de développer la capacité de "manipuler la météo locale" en utilisant les techniques développées par Bernard Eastlund. Il affecte le temps, detruit les plantations bio et bombarde le monde de virus (Le programme est en cours depuis 1990). 27 septembre 1995 - Forum sur l'état du monde Le Forum sur l'état du monde a eu lieu à l'automne de cette année, parrainé par la Fondation Gorbatchev située au Presidio à San Francisco. Le président de la fondation, Jim Garrison, préside la réunion de personnalités du monde entier, dont Margaret Thatcher, Maurice Strong, George Bush, Mikhaïl Gorbatchev et d'autres. La conversation est centrée sur l'unicité de l'humanité et le gouvernement mondial à venir. Cependant, le terme "gouvernance mondiale" est désormais utilisé à la place de "nouvel ordre mondial", car ce dernier est devenu un handicap politique, étant un paratonnerre pour les opposants au gouvernement mondial. 1996 - Our Global Neighborhood Le rapport de 420 pages des Nations unies intitulé "Our Global Neighborhood" est publié. Il expose un plan de "gouvernance mondiale", appelant à une "conférence internationale sur la gouvernance mondiale" en 1998 dans le but de soumettre au monde les traités et accords nécessaires à la ratification avant l'an 2000. 2003... - L'état d'urgence Le monde est au bord d'une nouvelle guerre mondiale, de l'"état d'urgence" recherché par les tenants du monde unique pour imposer la loi martiale et la puce universelle sous la peau... Mais avec l'aide de Dieu, ils n'auront pas le dernier mot !